La politique monétaire de la Banque nationale suisse (BNS) inquiète de plus en plus de monde. Son bilan met son indépendance et son avenir immédiat en danger. De plus, elle devrait être soumise selon la Constitution à la Confédération mais dans les faits, elle n’est auditée que par une entreprise américaine privée qu’elle paie elle-même. […]
Extrait de: Source et auteur
sachant qu’ils savent très bien ce qu’il font .Ils savent que l’euro c’est du PQ . Ils sont pas bêtes à la BNS , on peut donc parler que de pression et de chantage. Dans ce cas les termes gouvernants occultes et conspiration sont pas le fait de malade mentaux ,mais bien ceux de aveugles bisounouours
Elle n’est pas obligée de mettre de la dette européenne pour s’arrimer à l’Europe? Elle doit juste augmenter la taille du bilan. Elle est condamné à vivre avec certains voisins en difficulté. Une situation qui n’est pas prête de changer. Il est plus probable, que l’on assiste à nivellement par le bas de la Suisse que l’inverse. Est ce que l’on s’on doit s’européaniser pour autant, je ne pense pas. Nous pouvons subir un ralentissement, même une période difficile, mais elle ne doit pas remettre en question notre indépendance. Nous sommes dans une période de ce que l’on peu qualifier de taux de change « flottant manipulé ». Ces manipulations ne sont pas saines. Elles sont surtout le moyen de combattre pour certain la globalisation en évitant les règles de l’OMC et d’ouverture au commerce internationale. Le système des barrières douanières jouait ce rôle de façon beaucoup plus efficace et moins hypocrite! Disons que la doctrine néo-libérale a chassé un instrument de régulation efficace et nettement moins pernicieux que celui de la manipulation des cours de change.
Une entrée dans la zone monétaire limiterait notre marge de manoeuvre à l’avenir et elle nous rendrait plus interdépendant des autres pays de la zone. Finalement, quel pays tire vraiment bénéfice d’être dans la zone euro, si ce n’est l’Allemagne?