L’armée hongroise autorisée à tirer sur les migrants

Crise migratoire

Une nouvelle loi autorise l'armée et la police à ouvrir le feu à condition que les tirs ne soient pas «mortels».

18 commentaires

  1. Posté par Daflon le

    Je pense que l’avenir de nos descendants est en jeu. Depuis les invasions des Huns l’Europe n’a jamais connu un si grand danger. L’enjeu est si colossal qu’il justifie de ce fait une riposte sans état d’âme. Nous sommes menacés et notre civilisation risque la destruction. Nous devons traiter ces envahisseurs comme nos grands parents et parents ont traités l’envahisseur nazi. En les repoussant par la force des armes et en les chassant de notre territoire. N’attendons pas une réaction positive de nos dirigeants, ils sont complices, mais regroupons nous, organisons nous avant de passer à l’action. Vive la Résistance des ouvriers, des travailleurs et des paysans français contre les hordes barbares et le grand capitalisme. Quand aux collabos et traîtres qui ont favorisé leur invasion, nous reglerons nos comptes avec eux comme en 1945.

  2. Posté par De Salamine à Lépante le

    Les hongrois sont un peuple qui n’a pas la mémoire courte et il connaît son histoire, se souvient de la bataille de Mohacs, perdue contre un envahisseur ottoman, musulmans, sunnite et de ses troupes fanatisées.
    Trois siècles de soumission suivront.
    Et ces mêmes « réfugiés » transitent par Edirne, l’ancienne capitale ottomane d’où ces turcs lançaient leurs razzias contre l’Occident.

  3. Posté par Laurent Lefort le

    @Fergile Vous, vous avez visionné la dernière vidéo de Jovanovic 🙂

  4. Posté par De Salamine à Lépante le

    Churchill revient, nous subissons un nouveau blitz!

  5. Posté par Pierre Müller le

    @ Bernard :

    Ordo ab chao, ça y est, on y est… Et c’est que le début…

    Instaurer le chaos, mettre en place une gouvernance mondiale et profiter de ressources inépuisables et d’une foule d’esclaves-consommateurs à gogo…

    Nicolas Sarkozy (16 janvier 2009) :

    « 2009 sera peut-être l’année de naissance d’un nouveau capitalisme, d’un nouvel ordre mondial […]

    On ira ensemble vers ce nouvel ordre mondial, et personne, je dis bien personne, ne pourra s’y opposer. »

  6. Posté par Chouette le

    Et pourquoi les membres de cette commission de l’UE ne quittent pas leurs bureaux confortables pour aller eux-mêmes vivre la réalité et faire le tri entre les véritables et faux réfugiés?
    Descendus de leurs hauts perchoirs ils se rendraient enfin compte que la parole est bien plus simple que l’action.

  7. Posté par Pierre Müller le

    @aldo : Absolument pas pacifiques !

    Vu leur déchaînement de haine et de violence :
    – contre les forces de l’ordre (Italie, Allemagne, Hongrie, etc., etc.),
    – contre les femmes et les fillettes (viols en Allemagne, en France, etc., etc.).

    Vu leurs exigences musclées (demande belliqueuse de « leur » argent de poche au gouvernement italien, puis demande de 2000 euros, etc., etc.).

    Et bien sûr téléguidés :
    – appel d’air de Merkel et Juncker, gros industriels allemands qui recrutent bon marché via la déferlante migratoire,
    – zodiaques achetés directement à des ambassades européennes en Afrique,
    – « manuel du parfait migrant » avec cartes des routes à suivre pour débarquer chez nous, numéros de téléphone des organisations humanitaires à appeler une fois sur place.

    On n’est qu’au début d’un chaos innommable. Ou qu’on a peur de nommer : l’état de guerre…

    Les nouvelles générations ont oublié la guerre subie par leurs aînés. On a la mémoire courte. On a cru que ça ne se reproduirait plus. Erreur monumentale.

    La guerre est là. Il y a quelques mois déjà, les aînés en reconnaissaient les premiers signes…

    Préparez-vous. Protégez-vous. Survivez. Comme nos aînés l’ont fait.

  8. Posté par Frederic le

    Questions! Demandons-nous à quoi servent les services de renseignements? Appartiennent-ils déjà à nos ennemis, corrompus par des « participations » occultes de l’Europe ? Est-ce que les Etats-Unis sont de manches en matière de renseignement, ou alors peut-on suggérer qu’ils sont partie prenante dans ces invasions ? Curieusement ils susurrent du bout de lèvres qu’ils vont en prendre quelques uns dans un ou deux ans. Et puis avec la flopée de traducteurs jurés qui inondent les prétoires au nom de droits de l’homme, combien ont-ils réellement perdu le contact avec leurs pays respectifs ? Ne parcourent-ils pas les sites d’informations de leur pays d’origine de préférence aux pravda locales ? Sont-ils parties prenantes dans l’organisation de filières ? Quand on sait que la Consule de France en Turquie vend des bateaux et des gilets on peut craindre que toutes ces personnes soient parjures. Et toute notre diplomatie corrompue grâce aux pions installés par Calmy Rey, infestée de femmes du même tonneau ? A Genève, l’ex-procureur du parti radical Zappeli, qui était parti en fanfare comme conseiller pour les pays arabes riches, ceux qui ne peuvent pas prendre des réfugiés, tellement ils sont riches, pourquoi est-il soudainement revenu en toute discrétion ? http://www.lematin.ch/suisse/Daniel-Zappelli-s-envole-pour-Dubai/story/20475441.

  9. Posté par fergile le

    @ Sophie Edouard: l’Australie a récemment été victime d’un coup d’état et, grâce à une manipulation interne du parti au pouvoir, le premier ministre fameux pour protéger l’Australie de l’invasion a été démis et remplacé par un collaborateur de Goldman Sachs qui a immédiatement annoncé son désir d’accueillir 10000 « Syriens ».

  10. Posté par Philippe le

    Tout en voulant limiter et contrôler l’immigration, selon nos possibilités d’accueil et notre sécurité, il ne faut pas non plus tomber dans la haine… Ce sont d’hommes comme vous et moi que vous parlez. Il n’y a ici ni anges ni démons.

  11. Posté par G. Vuilliomenet le

    À onze heures du soir, un journaliste de l’ORTF donna lecture d’un nouveau communiqué :
    « Le gouvernement a noté avec un certain étonnement l’exode généralisé des populations du
    Midi. Tout en le déplorant, il ne se sent pas autorisé, devant une situation aussi nouvelle, à le
    déconseiller. Des ordres très stricts ont été donnés à la gendarmerie et à l’armée pour que cette
    migration s’effectue dans l’ordre et qu’elle ne gêne pas, en priorité, l’acheminement des convois militaires qui descendent du nord du pays. L’état d’urgence est décrété dans les quatre départements côtiers, sous l’autorité de M. Jean Perret, secrétaire d’État et délégué personnel du président de la République. L’armée assurera la sécurité des biens abandonnés, dans la mesure du possible et dans la limite de ses autres missions. Le gouvernement confirme que le président de la République adressera un appel solennel à la nation, ce soir, à minuit. »

    — Français, Françaises, mes chers compatriotes… La voix était calme, bien timbrée, grave et
    énergique à la fois. On sentait que le Président n’improvisait pas, qu’après de longues et
    douloureuses réflexions il avait pesé ses mots avant de les écrire, n’ayant laissé à personne le soin de la rédaction. Parmi les vieillards qui l’écoutaient, beaucoup pensèrent aux lointaines années sombres de 1939 à 1945, quand les chefs d’État s’adressant à leurs peuples avaient vraiment quelque chose à dire et les peuples de quoi méditer. Les autres, moins âgés, n’avaient jamais rien entendu de semblable, si bien que beaucoup découvrirent le vide qui les habitait et qu’ils croyaient être le mouvement de la vie sous l’habillage du sens de l’histoire. Inutile contrition parfaite ! Mais si Dieu dispensateur de la résurrection des morts et de la vie éternelle ressuscite aussi les Blancs à leur place, le jour du jugement dernier, tout n’aura peut-être pas été perdu…
    — … Dans cinq heures, à l’aube de ce lundi de Pâques, notre pays aura perdu ou conservé son
    intégrité préservée depuis plus de mille ans. En cette circonstance, nous avons le redoutable honneur de servir de test, d’exemple et de symbole, car d’autres nations occidentales, menacées au même moment par des phénomènes de même nature, hésitent, tout comme nous, à s’y opposer. Dans cinq heures, un million d’immigrants de race, de langue, de religion, de culture et de traditions différentes des nôtres, mettront le pied pacifiquement sur le sol de notre pays. Ce sont principalement des femmes, des enfants, des paysans sans travail et sans ressources, chassés par la famine, la misère et le malheur, surplus dramatique et toujours croissant de cette surpopulation qui est le fléau de notre fin de siècle. Leur destin est tragique, mais, par voie de conséquence, le nôtre ne l’est pas moins. Si la nature de l’homme avait été différente, si elle avait pu être modifiée par le jeu des idées nouvelles auquel nous nous soumettions depuis si longtemps en paroles, peut-être aurions-nous pu, en effet, accueillir le tiers monde chez nous en recevant généreusement son avant-garde, et fonder tous ensemble cette société originale adaptée à l’avenir d’un monde surpeuplé. Or, il nous faut reconnaître
    franchement que c’est avec répulsion qu’au dernier moment notre pays a réagi, délivrant cette sorte de terreur qui est toujours née, dans le passé, de l’affrontement des races. Hormis quelques groupes d’idéalistes et d’asociaux irresponsables ou fanatiques, le sud de notre pays s’est vidé de ses habitants. L’une de nos plus riches provinces est devenue un désert par la volonté de ceux qui l’habitaient et qui ont préféré tout abandonner plutôt que de partager, plutôt que de cohabiter. Ce n’est pas nouveau et nous avons connu d’autres exemples, dans le passé, que nos consciences, peut-être à leur honneur, n’avaient pas voulu retenir. Mais là est l’essentiel et moi, votre président, élu de la nation, je dois en tenir compte. Je sais aussi que la plupart d’entre vous ont jugé humainementimpossible de s’opposer par la force à des affamés désarmés et épuisés. Je les comprends etcependant, je le déclare tout net : la lâcheté devant les faibles est une des formes les plus actives, les plus subtiles et les plus mortelles de la lâcheté. Chacun s’est alors réfugié dans l’espoir que l’armée n’aurait pas de ces scrupules, sans trop y croire, d’ailleurs, puisque tout le monde a fui. J’ai, en effet, dès les premières manifestations de l’exode, donné l’ordre à l’armée de prendre position sur le rivage, si bien que nous sommes en état, dans la mesure où nous le voulons, de repousser l’envahissement et d’anéantir l’envahisseur. À la seule condition, évidemment, de tuer avec ou sans remords un million de malheureux. Les guerres précédentes ont été prodigues de ce genre de crime, mais les consciences, à l’époque, n’avaient point encore appris à hésiter. La survie absolvait le
    massacre. Au demeurant, c’étaient des guerres entre riches. Aujourd’hui, alors que nous sommes attaqués par des pauvres qui emploient l’arme absolue du pauvre, si nous devons commettre le même crime, sachez que personne ne nous absoudra et que, dans notre intégrité préservée, nous en resterons marqués à jamais. Les forces occultes qui s’acharnent à détruire notre société occidentale le savent bien, prêtes à s’engouffrer dans le sillage de l’envahisseur, sous le bouclier commode que leur offrent nos consciences troublées. Français, Françaises, mes chers compatriotes, j’ai donné l’ordre à notre armée nationale de s’opposer par les armes au débarquement de la flotte immigrante à qui je refuse solennellement la dernière chance, justement pour vous conserver les vôtres. Il s’agit là d’une mission…
    […]
    — … Il s’agit là d’une mission atroce qu’en mon âme et conscience je demande à chaque soldat, chaque policier, chaque officier, de mesurer très exactement, chacun demeurant libre ensuite d’accepter ou de refuser. Tuer est difficile. Savoir pourquoi l’est plus encore. Moi, je le sais, mais je n’ai pas le doigt sur la gâchette et la chair d’un malheureux à quelques mètres de mon arme. Mes chers compatriotes, quoi qu’il arrive, Dieu nous garde… ou nous pardonne.

    Extraits du « camp des saints  » par Jean Raspail.

  12. Posté par Bernard le

    Le bon sens voudrait que les pays européens soutiennent la Hongrie. Cracher sur V. Orban c’est cracher sur la démocratie, c’est fouler aux pieds le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, c’est traduire dans les faits les idées génocidaires du plan Coudenhove-Kalergi qui schématiquement vise à créer une nouvelle « race » métissée facile à manipuler et qui vise également à supprimer progressivement l’autodétermination des peuples. Quant aux politicards qui méprisent le peuple, je ne les qualifierai pas, ils n’en valent pas la peine.

  13. Posté par lucie le

    Si ce n’est pas dissuasif, demain a balles réelles ? On voit qu’en Croatie, les Croates sont véritablement attaqués… Mais le gouvernement ne refoule toujours pas !

  14. Posté par Jacques le

    Finie l’armée d’opèrette. Elle va enfin pouvoir remplir sa mission !

  15. Posté par Pierre H. le

    @Aldo

    Tout est dit !

  16. Posté par Madelaine le

    « Ouvrir le feu »: c’est faux. L’armée aura le droit de tirer des balles en caoutchouc. Un point c’est tout! Et ça fait tout de même une différence! Mais je me demande combien de journaux publieront un rectificatif dans les jours qui viennent.

  17. Posté par aldo le

    Les tirs pas mortel, c’est très dissuasif… surtout s’ils foncent à 10’000 contre 100. Avec des armes de tir-pipes ? Dans cette situation c’est durant 30 jours, les couvre-feux, abrogation des droits de l’homme et on tire à vue dès que ça devient trop périlleux. Et si les bonnes consciences qui rappliquent, en tôle immédiatement. Avec 2000 ou 3000 morts d’un coup, là on pourrait faire baisser la pression, sinon la submersion continuera. On voit très bien que c’est une guerre. Les meneurs ont reçu des instructions militaires, ils revendiquent n’importe quoi comme s’ils se sentaient les maîtres du jeu et l’Europe leur sert la soupe en allant les chercher pour bien les disséminer sur les territoires.
    Donc ils ont déjà menacé de tuer leurs enfants, c’est dire si on peut douter que ce soit les leurs. Et ceux qui réclament 2000 euros par mois, qui a bien pu leur faire savoir que c’était du domaine du possible ? Les téléphones portables devraient être saisis pour des investigations. Et comme ils refusent de se soumettre à la prise d’empreinte plus toutes les opérations liés à Schengen, c’est qu’ils ont déjà un passé judiciaire, soit dans leur pays, soit en Europe. Une des vidéos en Grèce montrait que face à la caméra un de ces escrocs faux réfugiés baissait sa visière pour ne pas être reconnu. On voit bien que le jeu est encore entre leurs mains. Et leurs instructeurs leur ont certainement fait la leçon avec les croisades et en leur montrant les photos des caricatures de Mahomet. Quand on a vu les déchaînements de haine des musulmans hystériques en Asie, au Pakistan et ailleurs, on ne peut pas gober que ces envahisseurs sont des pacifiques, à moins d’être complice de cette invasion.

  18. Posté par sophie edouard le

    Enfin un pays qui réagit !!! Maintenant il faudrait que les pays qui laissent entrer les migrants par la voie marine prennent la même décision que l’Australie pour vraiment stopper cet afflux, et ensuite renvoyer tout ce beau monde chez eux. La colère du peuple est telle dans toute l’Europe que peut-être, je dis bien peut-être, enfin des décisions sensées seront prises par les différents états. Le point de non retour n’est pas très loin, alors espérons que l’Europe prendra pour une fois, la première bonne décision depuis sa création.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.