Berne: La vidéo choc de l’affrontement entre Kurdes et Turcs que les médias ne vous montreront pas

ND Ch. H. Voici la diversité que l'on veut nous imposer. Et gare à vous si vous osez vous y opposer: vous êtes alors devenus un "facho à abattre", bien plus méprisable que tous les violeurs et assassins réunis.

Vous noterez comme la femme déjà blessée continue de se faire frapper sans le moindre état d'âme par ces "représentants de l'enrichissement multiculturel". Bien évidemment, aucune féministe pour s'en émouvoir. Une femme tabassée à terre, une voiture qui fonce "dans le tas", un groupe qui essaie de se protéger d'attaques multiples, un homme déjà blessé qui reçoit des coups... On constate ici la différence entre la propagande de gauche qui prétend que tout cela est un enrichissement et la réalité.

Et au-dessus, ce qui semble être des Suisses qui hurlent d'arrêter (évidemment sans aucun résultat, cela démontre leur naïveté), ne comprenant rien à cette violence que l'on avait jamais subie dans nos rues.

Si les médias faisaient leur travail, c'est ce genre de vidéos qui tourneraient en Une de leurs sites et non les caprices des stars. Il est désormais évident que la diffusion des informations les plus importantes n'est plus leur priorité. Les Suisses ne doivent rien savoir sur l'état de leur pays bradé par leurs propres politiciens.

Nos remerciements à Edel Weiss

14 commentaires

  1. Posté par snne le

    Ça suffit d accepter tt ca chez nous. .
    Ici ou ailleurs…leurs natures…leurs éducation revient. .la Suisse doit cesser d accueillir ces barbares. .Ces malades..Ces non respectueux de l être humain en général. ..

  2. Posté par Quartenoud le

    … et on tolère ça chez nous….. Retour immédiat à la case « départ »…

  3. Posté par Laurent Lefort le

    Ca fait froid dans le dos tous ces barbares…

  4. Posté par Pehem Veyh le

    @ Pierre Bonnard: On en a goûté des explications à deux balles sur l’origine de ces braves étrangers qui se donnent à fond dans notre pays mais qui n’arrivent pas à s’extraire de leurs racines….bla bla bla, etc… Même si les images sont plutôt brèves, elles permettent juste d’avoir un aperçu de la sauvagerie des personnes en question. Racines ou pas. Je me demande donc quelle serait la réaction des kurdes eux-mêmes, donc à fortiori des turcs, si deux clans de suisses (béliers et sangliers par ex) se permettaient de transformer les rues de leurs villages ou villes en lieu d’affrontement ? Là est réellement la question ! Si l’exode en notre pays était une question de sécurité, ces gens ne se permettraient pas de pareilles actions ou exactions…

  5. Posté par Christian Hofer le

    @ Pierre Bonnard

    Votre parallèle est incorrect. Ces gens ne sont pas ici chez eux. Ils ont été accueillis, sous la forme de réfugiés ou autres. Dès lors, non seulement leur hyperviolence est totalement déplacée mais encore cela démontre tout le mépris qu’ils ont pour notre pays et les efforts qui ont été faits de notre côté (écoles, soins, tranquillité, futur économique stable et bon niveau de vie). Car vous pensez bien que ces exactions ne se limitent pas simplement entre eux mais aussi sur le reste de la population.

    Pour la petite histoire, lors d’une réunion entre professeurs et élèves à Renens, une institutrice a été menacée par des familles turques. Cela a tellement été violent que les réunions ont été abolies par la suite. Aucun média n’en a fait état. C’est un ami présent sur place qui a pu le confirmer. Je vous laisse imaginer les conséquences pour notre population et notre jeunesse, dans nos écoles. Cette violence, nous ne la connaissions pas. Elle s’est banalisée avec l’arrivée de certaines ethnies.

    Si vous désirez faire une comparaison, il faudrait pour cela trouver des Suisses capables d’une telle violence dans un pays où ils auraient été accueillis dans les mêmes conditions, avec un tel niveau de vie, et avec ce que cela suppose comme cadeaux financiers de la part du pays d’accueil. Et ce n’est pas possible.

  6. Posté par philippe frioud le

    Voilà ce que l’on veut nous imposer……voilà à quoi l’on va se confronter,,,, parmi ces faux réfugiés, il y a des djihadistes prêts à tout…. ils n’attendent que le mot d’ordre pour agir,….il faudra bien à un moment donné faire condamner pénalement ceux qui porteront la responsabilité d’avoir fait introduire sur notre sol ce genre d’élément… par dol, par intérêts médiatique, par intérêt électoral….et si il y a des victimes innocentes Suisse … leur faire assumer leur actes….
    Philippe Frioud

  7. Posté par Pierre Bonnard le

    Certes, ce genre d’images ne passera pas sur les télés bien-pensantes, mais passe ici… pour le moment!
    Cela fait bien longtemps que je ne regarde plus la grande machine à enconnarder qu’est la télé, toutes chaînes confondues ou presque. Parce que la brièveté des « nouvelles » empêche de voir ou comprendre la complexité de ce qui est montré.
    Une drogue à vider la tête.
    Et malheureusement cette fois-ci, Les Observateurs se laisse aller au même mécanisme, du genre « réfugiés = sauvages ».

    Permettez-moi de rappeler que ces violences se sont passées dans le cadre d’une manifestation pro-kurde avec une contre-manif pro gouvernement turc (ou l’inverse?).
    Et que, si une bonne partie des turcs et kurdes vivant ici se tournent vers leur avenir ici et s’y investissent à fond, il y en a toujours qui, déchirés entre leurs racines et leur présent, ne peuvent s’abstraire des conflits de leur pays originel qui les ont poussés chez nous.
    Essayer d’expliquer n’est pas excuser, bien sûr. Mais un petit regard en arrière sur les manifs des années 70-80, par exemple du côté de MoUtier où ça cognait fort entre Béliers et Sangliers, devrait nous inciter à un peu de retenue…

  8. Posté par Jean-Francois Morf le

    Vous constatez aussi les délits de fuite des 2 chauffeurs…

  9. Posté par Pehem Veyh le

    Au vu de leur comportement, sans aucun doute, ils sont une chance pour la Suisse !! N’est-il pas Mme Sommaruga ?

  10. Posté par LAURENT 77 le

    On n’ arrête pas de penser et on en est fatigués…il serait temps d’agir, et très vigoureusement…:-(((

  11. Posté par Lochaberaxe le

    Voilà ce que nos politricards ne voudront jamais montrer, ce que la télévision française de désinformation (Ipoubelle, LCIdiot et BeurFaridMouloudTV) ne proposera jamais de la réalité car les merdias sont aux ordres.
    Bravo pour avoir le courage sur LesObservateurs.ch de montrer la réalité de l’immigration/invasion musulmane en Europe!

  12. Posté par Jean-Francois Morf le

    Allah=Satan
    Googlez!

  13. Posté par Vautrin le

    Édifiant ! Mais il est évident que jamais ces images-vérités ne passeront sur les écrans officiels du Propaganda Staffel européen ! Les « autorités » ( !!! ) européâstres ont donné des ordres stricts, à moins que les médiastres s’abstiennent spontanément (ce qui ne serait guère étonnant). Cela s’appelle « censure ». Jadis, vers 1870, la Censure portait le nom d’ « Anastasie » , « résurrection » : elle ne meurt jamais. Aujourd’hui, on pourrait au choix l’appeler « Anesthésie », ou plus pragmatiquement « Euthanasie » puisqu’elle vise à l’extinction de notre civilisation sous la poussée des barbares.

  14. Posté par Myrisa Jones le

    Ceux qui résistent à l’UERSS sont stigmatisés!
    Il est interdit pour une nation ou un pays -que l’on n’aime ou que l’on n’aime pas sa politique et ses méthodes- de vouloir autre chose pour lui-même que ce qui est exigé.
    Il n’y a plus aucune liberté autre que celle d’obéir à des fonctionnaires non élus et grassement payés, qui dans une torpeur bienheureuse, nous mènent à la ruine et au chaos…
    Alors pour le plaisir du grain de sable dans ce rouage qui s’emballe, je dis aussi :

    Vive la Hongrie !

    Extrait:
    « Il en faut, du courage, pour tenir face à la frénésie diplomatique et médiatique de coteries et de réseaux déchaînés. Il faut aussi qu’il se sache entièrement soutenu par son peuple. Heureusement, les Hongrois n’en ont jamais manqué face à la menace venue de l’Est.

    Vive Viktor Orbán, vive la Hongrie et vive les Hongrois ! Ils combattent, aujourd’hui, le même ennemi qu’en 1956 : le totalitarisme mondial. Et tant pis pour nous s’il n’a plus le visage de l’Union soviétique mais notre propre visage. C’est notre honte, et c’est notre faute. »

    http://www.bvoltaire.fr/martinpeltier/vive-la-hongrie,206633

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