La PS Ruth Dreifuss veut « couper les barbelés » pour accueillir massivement les clandestins

ND Ch. H. A noter le mépris total de cette femme. Pour elle, cette immigration massive n'a aucune conséquence alors que cela pèse lourdement sur les finances des communes qui sont obligées de ponctionner encore plus lourdement les citoyens. Pour elle, les trafics de drogues ou les violences, l'insécurité découlant de ces requérants n'existent pas. L'argent coule à flot et vient de nulle part. Evidemment, nous n'échapperons pas au Reductio Ad Hitlerum et au parallèle Juifs/Musulmans, comme si le nombre de musulmans était comparable à celui du judaïsme. Voilà donc "l'intelligence" d'une ex-Conseillère fédérale PS. 

«Couper des barbelés, c’est un des gestes les plus simples qui soient»

Vous y êtes allée, à l’époque.

Oui, au printemps 1999, après avoir averti mes collègues du Conseil fédéral, j’ai pris place dans un avion qui apportait du matériel humanitaire de la part de la Suisse. Au retour, j’ai ramené un petit groupe de réfugiés particulièrement vulnérables. Il s’agissait aussi d’amorcer l’accueil des Kosovars en Suisse, où ils avaient de nombreux parents. C’est la dernière fois que nous avons eu un nombre important de réfugiés sur notre territoire. Le souvenir de ces barbelés entre le Kosovo et la Macédoine demeure vif. Familles, enfants, vieillards, invalides: en général, quand un pays est en guerre, ce sont ceux-là qui s’enfuient. Les images de ces derniers jours m’ont rappelé cela. Et surtout combien il est facile de couper des fils de fer barbelés et d’accueillir des gens. C’est un des gestes les plus simples qui soient.

Ce n’est donc pas nouveau?

Non, et l’on a parfaitement raison de rappeler ces cas du passé. Cela sert d’abord à montrer que l’on s’est trouvé bien d’accueillir ces groupes de personnes, souvent nettement plus nombreux qu’aujourd’hui. Et ensuite il s’est agi chaque fois de surmonter l’exploitation politique qui était faite par certains: partis, mais aussi autorités. Trop souvent, les gens les plus menacés ont été stigmatisés. Par exemple, les Juifs fuyant l’extermination planifiée par les nazis. Dans les années 1950 encore, lorsque a été discuté le fameux rapport Ludwig sur l’attitude de la Suisse face aux réfugiés, des députés ont affirmé qu’il était légitime de se demander si les Juifs ne venaient pas par convenance, par goût du confort, ou s’ils étaient réellement menacés. Et je vous épargne la célèbre argumentation qui prétendait limiter l’entrée de Juifs en Suisse pour éviter une montée de l’antisémitisme. On entend semblables sottises aujourd’hui sur l’islam.

La tentation de stigmatiser fait partie de l’histoire?

Oui, il faut sans cesse souligner cette tentation qui se fait jour pour justifier de ne pas agir. En 1956, il y a ainsi d’abord eu un formidable élan de solidarité, comme à chaque fois que des gens fuyaient le régime communiste. C’était souvent – je le sais car ma mère s’occupait d’un foyer qui en accueillait – de très jeunes hommes. Et on entendait aussi un discours sur le fait qu’ils feraient mieux de rester là-bas, en Hongrie, que c’étaient des voyous, des gamins tentés par l’aventure. Il y a eu la stigmatisation des Tamouls, des Kosovars, qui dure parfois encore. Quand on fait ce travail de mémoire, qui me semble très important, on retrouve cette ambivalence, ce mélange de solidarité et de craintes. Et l’exploitation politique de ces dernières, délibérément attisées.

C’est tout de même devenu le thème unique des élections.

Oui. D’ailleurs j’ai beaucoup hésité à donner des interviews sur ce thème. Cela m’irritait de voir que ce thème occultait les vrais défis auxquels la Suisse est confrontée. Il est vrai que c’est un problème qui aujourd’hui touche nos concitoyens émotionnellement. Mais cela ne les touche pas matériellement, cela n’a aucune conséquence sur eux. Ils n’en souffrent pas, n’en subissent aucune conséquence négative, rien.

Source

Petit rappel sur la violence importée par les ressortissants des Balkans en Suisse, celle qui ne dérange aucunement Ruth Dreifuss qui ose parler de "stigmatisation" alors que ce sont les Suisses qui en ont payé le prix:

13 commentaires

  1. Posté par Ueli Davel le

    Genève, quel beau canton! Malheureusement, Dreifuss, Calmy-Rey, Brunschwig sont les dignes représentantes de la suissophobies gériartriques, payées par nos impôts. Les médias comme des guêpes leurs collent au cul. Là aussi on les payent avec nos impôts à la SSR!

  2. Posté par C. Donal le

    @ SilvanaC
    En Suisse je ne sais pas, mais en Allemagne ce sont à 90 % des jeunes hommes (qui feront venir la smala).

  3. Posté par aldo le

    Photo beaucoup trop ancienne, avec l’insigne de l’OTS. Maintenant elle cache tout cela. Elle qui a fait revenir dans l’avion officiel de la Confédération qui la ramenait des Balkans, un criminel jugé et expulsé par nos tribunaux, on peut s’attendre à ce qu’elle n’ait aucun scrupule à vider toutes les prisons nord africaines pour nous soumettre à un déluge de coups de feux de kalachnikov, de coups de couteaux, d’assassinats, de trafics de cannabis (pour faire baisser le coût de sa consommation) de cambriolages, de maladies sexuelles, de vols à main armée, de prises d’otages. (pour le reste suivez l’actualité, rubrique fait divers, même si les nationalités étrangères sont systématiquement occultées, elles sont d’emblée présumée parce que révélées lors des jugements).

  4. Posté par Vautrin le

    Je ne cesserai de me poser la question : comment peut-on être oligophrène au point d’accueillir l’envahisseur et même de l’aider à envahir ? Est-ce de l’imbécillité ou de la traîtrise ? Ou les deux ?

  5. Posté par SilvanaC le

    « Familles, enfants, vieillards, invalides: en général, quand un pays est en guerre, ce sont ceux-là qui s’enfuient.  »
    A mon avis elle commence à avoir des problèmes de vue…. Il y a-t-il des statistiques concernant la provenance et l’âge des « migrants »? Non? C’est vrai, les chiffres et la vérité sont devenus des stigmatisations…. :/

  6. Posté par Eganrof le

    Je rappelle aux bonnes mémoires la générosité de Christoph Blocher lorsqu’il s’engageait à verser un million de CHF au fonds de solidarité souhaité par ses collègues du Conseil fédéral. Il demanda que chacun y mette de sa poche, par collégialité, justement. Etrange: c’est tombé à l’eau, on a changé de sujet. Lorsqu’il s’agit d’engager l’argent des caisses publiques, c’est aisé. Y mettre le sien propre – s’il l’est – c’est une autre paire de manches.
    Quant à Mme Dreifuss, qu’elle continue de tricoter des chaussettes, selon son habitude.: ein Fuss + ein Fuss + ein Fuss = ? Qu’elle y prenne son pied, et pour longtemps: des milliers de migrants arrivent qui vont, plus vite qu’on ne l’imagine, nous botter les fesses… à moins que l’on ne se camoufle sous une burqa. J’exagère? Pas du tout: ce sont les migrants et les collectifs qui font la loi. Voyez la TV, la presse, les BHL en herbe (qui en fument?) qui m’invitent à conclure par ces mots (maux): pauvre(s) Suisse(s)!

  7. Posté par Jacques le

    Ma pauvre Ruth, tu divagues. […]

  8. Posté par G. Vuilliomenet le

    Je pense qu’il serait bien de faire des lettres-types à l’attention de ces hypocrites et grands donneurs de leçons et publier leurs adresses. Ainsi chaque patriote suisse mécontent de toujours devoir se farcir leur logorrhée le leur fasse savoir. J’ai constaté qu’il y avait de bonnes plumes sur ce site, alors à vos stylos.

  9. Posté par fergile le

    Il y a un pays qui a construit un mur sur sa frontière avec la Palestine, mais je ne me rappelle plus lequel.
    Il est vrai qu’il ne s’agit pas de barbelés mais d’une construction en béton, c’est probablement pourquoi cela ne choque pas cette individu.

  10. Posté par A. Vonlanthen le

    Elle ferait mieux de couper sa moustache. Bientôt elle va ressembler à un homme que je connais.

  11. Posté par Derek Doppler le

    C’est marrant, les socialopes on ne les entendait pas tellement entre 1961 et 1989 en ce qui concerne le descellement des briques du Mur Socialiste de la Honte à Berlin.

  12. Posté par Pehem Veyh le

    Allez Ruth ! On fait un deal: comme tu gagnes à peu près 35 fois ce que je gagne, si tu prends 35 réfugiés chez toi, j’en prends un chez moi !
    Vous pariez qu’elle n’en fera rien. Ben non, si elle les prend chez elle, ce n’est pas l’Etat qui va payer mais elle. Pour une socialiste, c’est absolument incohérent et impensable..

  13. Posté par Pierre H. le

    Il faut combien de signatures déjà pour faire enfermer quelqu’un dans un asile psychiatrique ?

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