«Un individu ne peut se sentir « blanc » que par opposition au « noir » ou au « jaune »»

Ndlr : certains "travaillent" beaucoup pour rien...

 

Gérard Noiriel, directeur émerite à l'Ecole des hautes études en sciences sociales, qui a beaucoup travaillé sur l'histoire de l'immigration, se penche sur la pertinence des «études blanches».

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4 commentaires

  1. Posté par Pierre H. le

    @Pehem Veyh

    Oui, ce que vous dites est juste. Et s’ils revendiquaient leurs racines blanches, on dirait peut-être qu’ils sont racistes !

  2. Posté par Vautrin le

    On aura beau faire, l’humain différencie aussi de l’humain. Les races se différencient d’abord génotypiquement et phénotypiquement, et toutes les arguties de certains savants ni celles des idéologues n’y changeront rien. Elles se différencient aussi sociologiquement. Et la différenciation ne peut se faire que si l’on oppose : il n’y a rien de génial à le constater.

  3. Posté par Pehem Veyh le

    @ Pierre H. : ce que vous dites est juste. Mais avant le fait de se sentir plus noir que blanc, je pense que les déclarations à la con de ces gens sont surtout conditionnées par deux choses. La première étant de ne pas être (ou surtout ne pas se sentir) entièrement faisant partie de cette race et la seconde est, de par le lavage de cerveau continuel de nos médias, d’être plus In Time et plus tendance de n’être pas blanc. Enfin d’être ce chouia rebelle qui donne un petit charme discret (si on peut dire comme ça) ou un peu exotique. Quant à Coudenhove-Kalergi, son alliance sentimentale à lui seul, nous permet de comprendre sa haine envers le blanc européen et chrétien. Pas besoin de chercher plus loin !

  4. Posté par Pierre H. le

    Ce que je veux dire est un peu différent mais c’est je pense le bon endroit pour le faire car c’est par rapport aux races. En effet, j’ai remarqué que les gens métis, que ce soit noir/blanc ou jaune/blanc (je ne connais pas de jaune/noir mais il me semble que le problème se pose davantage quand la race blanche fait partie du métissage) semblent avoir une mentalité spéciale. J’ai remarqué que les métis connus comme Obama ou Noah ou d’autres (bien-sûr l’observation se limite à ceux qu’on connait soit personnellement soit parce qu’ils sont célèbres) revendiquent toujours leurs racines noires. Jamais leurs racines blanches. Souvent d’ailleurs, c’est la mère qui est blanche et le père qui est de couleur. Ce qui me fait me demander si ce mélange n’a pas un impact psychologique sur le métis, que ce soit purement psychologique ou physiologique dû à un mélange génétique et sanguin qui mettrait mal à l’aise la personne en question. Je ne sais pas si quelqu’un d’autre a aussi observé ce fait. Je connais bien un enfant de 9 ans dont la mère est blanche et le père noir. Sans que personne n’aie jamais rien dit à l’enfant, celui-ci a remarqué bien évidemment que ça peau était un peu plus foncée que celle d’un blanc mais plus claire que celle d’un noir et de ce fait, il ne se sent pas comme les autres et se sent spécial. Il ne le dit pas mais ça se voit dans quelques réflexions qu’il fait. Je n’ose imaginer ce qui pourrait se passer si un jour des blancs lui disent qu’il n’est pas des leurs et des noirs qu’il n’est pas des leurs non plus. C’est pourquoi je me demande si, sans arrière pensée raciste ou autre, il ne serait pas préférable que les races ne se mélangent pas au niveau de la procréation afin de ne pas avoir des enfants avec des problèmes psychologiques inutiles. D’ailleurs, Coudenhove-Kalergi qui est l’instigateur de la théorie du grand remplacement en Europe pour lui, la race idéale pour l’Europe serait un métis africano-asiatique. Or qu’est-ce qu’on constate par rapport à Coudenhove-Kalergi ? Qu’il est lui-même un métis dont le père était austro-hongrois et la mère japonaise. Aurait-il eu les mêmes théories s’il avait été 100% blanc ou 100% japonais ? Etait-il mal dans sa peau et voulait-il inconsciemment se venger d’être ni l’un ni l’autre en faisant subir à tout le monde sa condition ?

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