Unil : hommes discriminés

Ndrl : Un étudiant nous a fait parvenir cette information avec la mention "encore une discrimination envers les hommes". Voilà comment nos jeunes hommes, souvent à juste titre, commencent à ressentir cette discrimination "positive".

Subvention pour les femmes de la relève

Le Bureau de l'égalité de l'UNIL annonce le nouveau délai de soumission pour la Subvention Tremplin fixé au 11 septembre 2015.

Subvention Tremplin
Cette subvention, qui consiste en un subside de maximum CHF 25'000.- sous forme de décharge, permet aux femmes de la relève de libérer du temps pour la recherche et la publication et d'étoffer ainsi leur dossier académique en des phases critiques/décisives de leur carrière.

Elle est destinée aux femmes de la relève académique de l'UNIL.

Les candidates souhaitant postuler pour obtenir cette subvention doivent déposer leur dossier auprès du Bureau de l'égalité.

Délai de dépôt des candidatures: 11 septembre 2015 (tampon de la poste faisant foi)

Subventions Egalité
Les dossiers de candidature pour cette aide financière ponctuelle, d'un montant maximum de CHF 5'000.-, peuvent être déposés en tout temps et doivent servir à financer des projets académiques (travail de terrain, participation à des colloques, séjour à l'étranger, publications, etc.).

 

Source Unil

9 commentaires

  1. Posté par aldo le

    Beaucoup de femmes pensent et veulent nous faire croire qu’elles sont au sommet de l’arbre, en toute relativité, par la seule force de leur volonté et de leur intelligence. Un trait particulièrement masculin. Dans ce cas, elles nient les contraintes de leur sexe, parce qu’elles ne s’aiment pas elles-mêmes en tant que femmes. Plus elles s’enferrent dans le rôle d’homme, plus elles forcent le trait féminin distillé par les médias publicitaires, pour repousser cette vanité qui les paralyse. Au point de devenir des caricatures de femmes et de ressembler à des monstres. On voit bien les résultats dans la réalité et pas seulement sous le bistouri du chirurgien esthéticien.

    Tabler sur l’excellence d’un dossier, fut-il académique, c’est très dérisoire! Dans la mesure où l’on sait bien que ces tigres de papiers sont souvent pour les femmes le fruit d’une culture intensive de l’émotion. Combien d’examinateurs ne sont-ils pas tombés dans les rets d’une mante religieuse experte en séduction-émotion ?

    Pour une fois, je serais pour soutenir les musulmans et je pense que le meilleur uniforme pour les femmes de l’Université, c’est le niqab. Ainsi, bien des hommes ne seraient pas « niqués » par ces dames, puisqu’un certain nombre d’échecs permet de rester académiquement crédible, tout en lésant un certain nombre d’hommes, parfois, à l’évidence, plus compétents.

    Tout ceci pour expliquer que la nature de ces déviances « féministes » en tout cas pas féminines, portent préjudice à l’ensemble des femmes. Les quotas, les subventions etc., tout ce bazar d’inégalités bien réelles, rend leurs performances suspectes. Un bon exemple, dans le domaine médical: Les trois quart des femmes, si ce n’est plus, s’inscrivent comme chefs de clinique, mais passent toute l’année à la maison parce qu’elles ont soigneusement programmé leur grossesse avec des certificats médicaux octroyés en toute complaisance. Au final, je sais que je ne me hasarderai pas à confier ma santé, voir ma vie à de telles tartuffettes bardées de tigres de papiers même avec la mention chef de clinique…

    Pour conforter mon analyse, j’appelle le lecteur à revoir la vidéo de Zemmour à la RTS, avec une super tartufette, invitée de gauche évidemment, censée lui clouer le bec. Je veux citer « Madame » Stéphanie Pahud. Une socialiste, toujours invitée dans le Matin, tout comme la Savary, pour nous distiller la bonne parole et intoxiquer les masses. Rien à voir avec Madame Pahud de François Sylvan… Pour les détails, les thèmes de ses conférences etc. prenez rendez-vous sur Google, afin de rire ou de pleurer un bon coup.

    http://ericzemmour.blogspot.ch/2014/11/videos-zemmour-infrarouge-RTS-suisse.html

  2. Posté par Anne B. le

    @ Dereck Doppler
    La « moi je subventionnée » avait des arguments encore faut-il bien vouloir les lire.
    Les bourses de recherche dépendent de la qualité du dossier académique. Si vous estimez qu’une personne qui a un excellent dossier académique et qui reçoit une bourse de recherche est un parasite pour la société, vous avez des sérieux problèmes de perspective. Vous voulez les attribuer à qui ? Aux médiocres ? Et au nom de quel principe refuseriez-vous qu’une aide particulière soit accordée aux femmes qui ont atteint un niveau d’excellence? Qu’est-ce que cela enlève aux hommes? En quoi est-ce que cela les discrimine ?
    Et pour les attaques ad hominem « typiques des fragiles sans arguments », regardez-vous dans le miroir.

  3. Posté par Hotch le

    @ Anne : celui qui voudrait créer une même bourse, aux mêmes conditions, mais réservée exclusivement aux hommes, serait immédiatement crucifié par vos amies féministes. Où est l’égalité ?

  4. Posté par Sergio Morosoli le

    Subventions, positive action, choix dirigé par la grâce des quotas, toutes les mauvaises solutions possibles ont été introduites dans les cerveaux à coup de marteau. Résultat: un bien mauvais service rendu par la gauche féminine à toutes les femmes. Dans les pays nordiques, toujours à la pointe, on assiste au naufrage d’une société en perdition.

  5. Posté par Derek Doppler le

    Tiens, encore une « moi je » subventionnée qui pense que se sentir offensée signifie automatiquement avoir raison (attitude étonnamment similaires à tous les parasites qui attaquent actuellement la société occidentale, ils se reconnaitront), et qui bien entendu en rajoute une couche avec les attaques ad hominem typiques des fragiles sans arguments (attitude étonnamment similaire…)

  6. Posté par Anne B. le

    Je trouve les réactions à cette subvention excessives. Il faudrait quand même réfléchir avant de s’indigner chaque fois qu’une mesure est prise pour soutenir les femmes, comme si cela enlevait forcément quelque chose aux hommes.
    Personnellement, j’ai fait mes études doctorales grâce à une bourse d’excellence au Canada (la bourse du CRSH), mais le montant de cette bourse d’étude est évaluée en fonction des besoins de personnes célibataires, et non en fonction de personnes qui ont des charges familiales. Or, j’avais un enfant et était seule (mon mari est décédé). À l’Université, il y avait une association pour aider les étudiantes et étudiants monoparentals. Le seul homme qui a rejoint l’association a rapidement déclaré que lui, en tant qu’homme, n’était pas confronté aux mêmes problèmes et aux mêmes difficultés financières que les femmes. Le contexte social explique facilement pourquoi certaines femmes inscrites aux cycles supérieurs ont des difficultés matérielles qui leur sont propres, et il est heureux qu’une aide leur soit accordée. Par ailleurs, toute aide dépend de la qualité du dossier académique. Tout le soutien financier que j’ai reçu, je l’ai reçu grâce à l’excellence de mon dossier académique.
    Je trouve particulièrement insultant de lire des remarques telles que celles de aldo : « Ce n’est pas parce que des femmes « capables » sont rares qu’on va en fabriquer avec des subventions. Au contraire, on va nous intoxiquer avec des nunuches qui passeront leur vie à courir le piston et les subventions et qui grâce à la promotion canapé  »
    Ce genre de commentaire est profondément méprisant, et profondément méprisable. Je n’en dirai pas plus.

  7. Posté par aldo le

    Tout ceci est la conséquence de l’idéologie de l’égalité. Un obscurantisme de plus qui vient saper les équilibres déjà instables et favoriser des individus incapables au détriment des meilleurs. Ce n’est pas parce que des femmes « capables » sont rares qu’on va en fabriquer avec des subventions. Au contraire, on va nous intoxiquer avec des nunuches qui passeront leur vie à courir le piston et les subventions et qui grâce à la promotion canapé (qui est elle bien distribuée entre les sexes et les genres) finiront bien comme socialistes au C.F. avec les dégâts et les conséquences désastreuses que l’on connaît aujourd’hui. Pour les exemples consulter svp lesobservateurs.ch

  8. Posté par Vautrin le

    Hélas, jeune homme ! Même affublée de l’adjectif « positive », une discrimination est une discrimination. Ce n’est plus la qualité du travail, ni la compétence, ni le mérite qui priment dans notre continent dévasté, mais seulement l’idéologie.
    Ceci dit, cette « discrimination positive » est bel et bien paradoxalement négative : si l’on accorde des avantages à un groupe humain par rapport aux autres, c’est que l’on estime qu’il est moins capable, moins doué que les autres. Une jeune femme, dans ces conditions, devrait légitimement se révolter contre la « discrimination positive » dont elle semble bénéficier mais qui en réalité la rétrograde au rang de sous-humanité.
    Décidément, les idéologues sont sexistes et racistes !

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