Gestion des clandestins : Merkel contre son peuple

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Alors que les migrants syriens, afghans, irakiens… déjouent les barrages et murs montés à leur encontre en Macédoine et en Hongrie afin de rejoindre l’Allemagne, Angela Merkel a fait l’objet mercredi de huées de la part de manifestants allemands en arrivant dans un centre de réfugiés à Heidenau dans l’est du pays. La chancelière a qualifié les événements de « répugnants et honteux », mais son long silence qui a précédé s'est davantage fait entendre que ses paroles d'apaisement.

Tout en appuyant les propos d’Angela Merkel, Frank-Walter Steinmeier, ministre des Affaires étrangères, a souligné de son côté que : «L'Allemagne aujourd'hui est un pays ouvert au monde, même au regard des récents événements à Heidenau, je maintiens qu'il s'agit d'un pays tolérant, riche culturellement et divers » .

 

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4 commentaires

  1. Posté par C. Donal le

    Cette femme à la solde des US, mise au pouvoir par eux, sait exactement ce qu’elle fait.

  2. Posté par Claudine le

    Lettre ouverte à Angela Merckel et François Hollande, cc Jean-Claude Juncker
    Petit à petit, de façon de plus en plus pressante, et sans que vos décisions péremptoirement ‘démocratiques’ aient fait l’objet d’un quelconque referendum populaire, vous utilisez à présent le harcèlement auprès des pays membres pour imposer une immigration massive, subie, -donc non choisie- et, vraiment inquiétant, superficiellement contrôlée… alors que la sécurité en Europe se trouve menacée de toute part par des attentats terroristes émanant d’extrémistes musulmans déterminés !…
    Comment être rassurés, et vous accorder notre confiance, lorsqu’en plus de dangers d’insécurité intra muros réellement avérés, vous avouez qu’il n’existe aucun centre d’enregistrement -ni en Grèce, ni en Italie- pour identifier les migrants qui débarquent sur notre territoire. Alors que ces deux pays représentent la porte principale d’entrée en Europe !
    Vous confirmez ce que nous soupçonnions : l’Europe est une immense passoire qui accueille aussi bien le bon grain que l’ivraie. Il suffit de voir, dernier exemple en date, comment les migrants ont forcé les clôtures en Macédoine, pour s’engouffrer par milliers vers la Hongrie. Etaient ils tous de vraies victimes d’une guerre qu’ils fuyaient, ou parmi eux se trouvaient ils des combattants missionnés par DAECH ?
    De toute façon, depuis des mois, nos frontières restent béantes et les ‘malintentionnés’ qui se sont infiltrés parmi ces flux intarissables de migrants, ont eu tout le temps de se regrouper pour établir minutieusement des plans stratégiques d’attentats à commettre, tout en profitant du maillage inexistant de l’espace Schengen pour disparaître dans un total anonymat
    Vous précisez :  » Cette immigration s’inscrira dans la durée…  »
    — Entendez vous par là, d’accorder massivement la nationalité européenne aux nouveaux arrivants pour élargir l’Europe de 5, 10 millions d’habitants,voire plus ? Et de favoriser ainsi un développement fulgurant du taux de natalité pour rajeunir une population vieillissante tant redoutée? En ce cas, la survie de nos traditions européennes, maintes fois jugées -souvent violemment-, et ajustées par complaisance pour favoriser le ‘vivre ensemble’, sera inexorablement menacée.
    — Ou plutôt entendez vous une immigration temporaire, liée à la fin des conflits, dont le but, essentiellement humanitaire et très louable, est de sauver le plus grand nombre de vies menacées?
    Voici 3 mois à peine, Monsieur Juncker annonçait que 40.000 personnes étaient arrivées et devaient rapidement trouver refuge dans nos pays. Trois mois plus tard, rien qu’en Allemagne, ce ne sont pas moins de 800.000 personnes qui s’apprêtent à s’y installer. Et d’autres centaines de milliers ailleurs.
    Avez vous déterminé un nombre de personnes que l’Europe serait capable d’ accueillir et de prendre en charge sur son territoire, ou bien avez vous décidé de laisser les frontières ouvertes à tout qui décidera de les franchir?
    En ce cas, il ne faudra pas s’étonner qu’une partie du continent africain, asiatique, etc.. tentent de rejoindre également l’Europe. Que vous ne pourrez refuser par souci d’équité et de politique d’accueil inscrite dans la Convention.
    Mais que deviennent les milliers de réfugiés économiques (cfr. Calais, Catalogne, Italie, …) laissés errants à travers le territoire, sans ressources, dont les comportements interpellants font la une des médias mais qui attendent depuis des mois une résolution à leur situation … Continuez vous de les ignorer et de les écarter de votre plan d’action?
    Une question tout de même. Que bon nombre d’Européens se posent.
    Pour quelles raisons ces demandeurs d’asile ont ils précisément choisi l’Europe? Et non un des pays du Moyen-Orient ou d’Arabie qui partagent ensemble les mêmes traditions culturelles et cultuelles? Ce choix logique et sensé, pour nous, ne semble pas partagé par ceux qui franchissent la Méditerranée. Pourquoi?
    Autre questionnement : comment ces migrants parviennent ils à financer leur exil et le coût exorbitant des traversées, alors que les salaires moyens des pays dont ils proviennent représentent le quart des nôtres?
    Et pourquoi ceux qui débarquent en Grèce, à Chypre, dans le sud de l’Italie… ne sont ils intéressés que par le coeur de l’Europe, le plus peuplé?
    Contraindre l’Europe à accepter tous les migrants, quels qu’ils soient, (Chrétiens d’Orient, prioritaires ?) est une obligation indiscutable, pensez vous.
    Ne sentez vous donc pas, qu’une partie de la population européenne entre en résistance contre vos décisions indiscutables ?
    Désamorcez donc les inquiétudes légitimes et fendez vous d’une communication claire et explicite envers les citoyens, quant à la façon dont vous entendez gérer le volet social de ces nouveaux arrivants, le travail que vous allez leur proposer (!?), la charge financière pour le citoyen de cet accueil, la politique d’intégration que vous avez décidé ( le l’espère, car prioritaire!) de mettre en place et le renfort des instruments de contrôle pour déceler les ‘chevaux de Troie’ qui se seront dissimulés parmi ces requérants.
    L’inquiétude a sa raison d’être : le devenir de notre identité et de nos valeurs -jusqu’à présent mollement reconnues et défendues- : nous ne souhaitons pas nous, Européens de souche, connaître le sort des tribus indiennes que leur ont réservé (sans jeu de mot) les migrants qui ont envahi le continent Nord-Américain. Utopie? Non, réaliste. Rendez-vous dans 20 ans. Après le baby-boom des communautés non européennes installées et en voie d’installation sur nos territoires
    Claudine Schuhmacher

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