Le président contesté du Conseil central islamique, le Biennois Nicolas Blancho, reçoit de nombreuses lettres de menaces. Insulté et se sentant, lui et sa famille, menacés, comme il l'a déclaré dans les colonnes du «Tages-Anzeiger», il a déposé, auprès des autorités bernoises, une demande d'autorisation pour acquérir une arme. Demande qui lui a été refusée.
Islam: Nicolas Blancho demande à être armé
Et il a toujours le passeport Suisse ce parasite
Si il aime tellement les musulmans et leurs religions il faut qu’il quitte notre beau pays
Voici deux commentaires sur le site du Tages Anzeiger!
« Wenn Nicolas Andrev Blancho (genannt Abu Ammar AbdUllah oder AbdAllah), seines Zeichens Prediger und tiefgläubiger Muslim, eine Waffe zur eigenen Sicherheit zu tragen beliebt, wo bleibt denn sein Glaube? Ist er nicht in den Händen Allahs, des Grössten? »
A-t-il si peu confiance en Allah?
« An Nat. Rat Wobmann. Sofort eine Initiative starten zum gen. Waffenabgabe und Trageverbot an Islamisten, Salafisten, Wahabiten, etc. wäre allemal gescheiter als die dümmlichen Minaret- und Burkatrageverbote die eh nichts bringen. Noch nie hat ein Minaret jemanden erschlagen, noch nie hat sich ein Passant in einer Burka verheddert und ist zu Tode gekommen. Also auf was warten Sie? »
Il y a déjà, pour l’armée, des restrictions de ports d’arme pour certaines communautés, pourquoi ne pas l’étendre, comme le demande si bien ce commentateur, aux islamistes de tout poil, voire de tout musulman?
C’est un parano!
Lors d’un débat organisé à Montreux sur le voile auquel participait le fameux et probablement dangereux nicolas blancho, Pierre Cassen et hani ramadan, il y avait deux types à la mine patibulaire. Dans l’assistance, quelqu’un a demandé qui étaient ces deux types équipés chacun d’une oreillette. L’animateur se tourne vers ramadan, celui-ci tout souriant dit qu’il ne les connait pas, en tout cas, ils ne bossent pas pour lui. Et c’est là que nous avons appris que c’étaient les gorilles de notre islamiste.
Un couteau acéré devrait lui suffire, non ?
Je croyais qu’ils aimaient la mort comme nous aimions la vie !
Si les autorités laissent un fanatique de ce genre se promener armé, il ne faudra pas s’étonner de voir les demandes de permis augmenter fortement : une majorité de la population se sent elle aussi menacée… par les coreligionnaires de Blancho.