Le gouvernement Français représente la plus grande menace pour la liberté d’expression

Francis Gruzelle
Francis Gruzelle
Journaliste 

En attaquant régulièrement l’hebdomadaire Valeurs Actuelles pour ses prises de position courageuses contre l’immigration, via des associations subventionnées par le pouvoir, en voulant « faire taire » Riposte Laïque qui dénonce les actes terroristes commis sur notre sol contre notre population, via des actions penales initiées par le Ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve en personne, ou en attaquant, en Province, les collaborateurs de Riposte Laïque, via, ici ou là, un sous-préfet ayant épousé une « femme musulmane » rencontrée lors d’une affectation dans les îles de la République, le gouvernement Valls « assassine » ouvertement les droits les plus fondamentaux de la liberté de la Presse.

Du jamais vu en France, au niveau de la férocité, depuis 1898, année où le général Billot, emile-zolaministre de la Guerre, porte plainte contre Émile Zola (photo) et Alexandre Perrenx, le gérant du journal L’Aurore, suite à l’article « J’accuse » prenant la défense d’un officier Israélite, le capitaine Dreyfus, injustement condamné. Les deux prévenus sont jugés devant les Assises de la Seine du 7 au 23 février 1898, soit quinze audiences (au lieu des trois initialement prévues). Le ministre ne retient que trois passages de l’article, soit dix-huit lignes sur plusieurs centaines.

Le procès s’ouvre alors dans une ambiance de grande violence et Emile Zola, comme Valeurs Actuelles ou Riposte Laïque aujourd’hui, fait l’objet « des attaques les plus ignominieuses ». Fernand Labori, l’avocat de Zola, fait citer environ deux cents témoins. La réalité de l’Affaire Dreyfus, inconnue du grand public, est diffusée dans la presse. Plusieurs journaux publient les notes sténographiques in extenso des débats au jour le jour, ce qui instruit leurs lecteurs. Cependant, les nationalistes, derrière Henri Rochefort, sont alors les plus visibles et organisent des émeutes, forçant le préfet de police à intervenir afin de protéger les sorties de Zola à chaque audience.

Ce procès est aussi le lieu d’une véritable bataille juridique, dans laquelle les droits de la défense sont sans cesse bafoués, comme le révèle le site Wikipedia. De nombreux observateurs prennent conscience de la collusion entre le monde politique et les militaires. À l’évidence, la Cour a reçu des instructions pour que la substance même de l’erreur judiciaire ne soit pas évoquée. La phrase du président Delegorgue « la question ne sera pas posée », répétée des dizaines de fois, devient célèbre. Toutefois, l’habileté de Fernand Labori permet l’exposition de nombreuses irrégularités et incohérences, et force les militaires à en dire plus qu’ils ne l’auraient souhaité.

Le général de Pellieux, annonce à la neuvième audience, l’existence « d’une preuve décisive ». L’impossibilité qui est faite aux militaires de présenter leur preuve force le général de Boisdeffre, chef de l’état-major, à effectuer un chantage moral aux jurés en déclarant : « Vous êtes le jury, vous êtes la nation ; si la nation n’a pas confiance en les chefs de son armée, dans ceux qui ont la responsabilité de la défense nationale, ils sont prêts à laisser à d’autres cette lourde tâche. Vous n’avez qu’à parler ». Etranges similitudes avec l’offensive que subissent aujourd’hui Riposte Laïque et l’hebdomadaire Valeurs Actuelles.

zola-aux-outragesCi-contre, Zola aux outrages, huile sur toile de Henry de Groux, 1898

Zola est alors condamné à un an de prison et à 3 000 francs d’amende, la peine maximale. Cette dureté de l’époque, comme les assignations d’aujourd’hui, est imputable à l’atmosphère de violence entourant le procès : « La surexcitation de l’auditoire, l’exaspération de la foule massée devant le palais de Justice étaient si violentes qu’on pouvait redouter les excès les plus graves si le jury avait acquitté M. Zola. » Cependant, le procès Zola est plutôt une victoire pour les dreyfusards. En effet, l’Affaire et ses contradictions ont pu être largement évoquées tout au long du procès, en particulier par des militaires. De plus, la violence des attaques contre Zola, et l’injustice de sa condamnation renforcent l’engagement des dreyfusards : Stéphane Mallarmé se déclare « pénétré par la sublimité de [l’]Acte [de Zola] » et Jules Renard écrit dans son journal : « À partir de ce soir, je tiens à la République, qui m’inspire un respect, une tendresse que je ne me connaissais pas. Je déclare que le mot Justice est le plus beau de la langue des hommes, et qu’il faut pleurer si les hommes ne le comprennent plus. » C’est à ce moment que le sénateur Ludovic Trarieux et le juriste catholique Paul Viollet fondent la Ligue pour la défense des droits de l’homme.

Le 2 avril, une demande de pourvoi en cassation reçoit une réponse favorable. Le site Wikipedia consacré à l’affaire Dreyfus révèle : « Il s’agit de la première intervention de la Cour dans cette affaire judiciaire. La plainte aurait en effet dû être portée par le Conseil de guerre et non par le ministre. Le procureur général Manau est favorable à la révision du procès Dreyfus et s’oppose fermement aux antisémites. Les juges du Conseil de guerre, mis en cause par Zola, portent plainte pour diffamation. L’affaire est déférée devant les assises de Seine-et-Oise à Versailles où le public passe pour être plus favorable à l’armée, plus nationaliste. Le 23 mai 1898, dès la première audience, Maître Labori se pourvoit en cassation en raison du changement de juridiction. Le procès est ajourné et les débats sont repoussés au 18 juillet. Labori conseille à Zola de quitter la France pour l’Angleterre avant la fin du procès, ce que fait l’écrivain. Les accusés sont de nouveau condamnés…. ».

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Le gouvernement a décidé de tuer la liberté d’expression

George Washington Law School

Pour Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C., « la plus grande menace sur la liberté d’expression en France n’est pas le terrorisme. C’est le gouvernement ».

Les plus grands spécialistes de la Presse Américaine avouent, depuis plusieurs mois, leurs inquiétudes pour la survie de la Liberté de la Presse en France, à l’image de Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. . Pour cet universitaire chercheur de renommée mondiale, « Les meurtres à Charlie Hebdo, quoique tragiques, ne sont pas le problème.

« Dans l’heure qui a suivi le massacre dans les locaux de Charlie Hebdo, des milliers de Parisiens se sont rassemblés spontanément place de la République. Au cours de ce rassemblement sous les statues représentant la Liberté l‘Égalité et la Fraternité, ils ont scandé « je suis Charlie » et « Charlie liberté ». C’était un rare moment d’unité à la française, touchant et sincère.

« Pourtant on peut légitimement se demander pourquoi ils se rassemblent. La plus grande menace envers la liberté en France n’est pas venue des terroristes qui ont commis ces actes horribles la semaine dernière mais des Français eux-mêmes qui ont été parmi les meneurs du monde occidental à prôner des restrictions importantes à la liberté d’expression…. ».

Du coup, Jonathan Turley, professeur de droit public à l’Université Georges Washington à Washington D.C. recadre le débat en affirmant : « En fait, si les Français veulent commémorer le souvenir de ceux qui ont été tués à Charlie Hebdo, il pourraient commencer par inverser la portée de leurs lois criminalisant l’insulte, la diffamation, ou l’incitation à la haine, à la discrimination ou à la violence sur des bases religieuses, raciales, ethniques, liées à la nationalité, au handicap, au sexe ou à l’orientation sexuelle.

« Ces lois ont été utilisées pour littéralement harasser le journal satirique et menacer son personnel des années durant. La liberté d’expression a été conditionnée à un usage responsable en France, suggérant que c’est plus un privilège qu’un droit pour ceux qui usent de controverse…. En 2006, après que Charlie Hebdo eût imprimé les caricatures de Mahomet qui avaient initialement été publiées dans un journal danois, le président français, Jacques Chirac, a condamné la publication et mis en garde contre de telles « évidentes provocations ».

Jacques Chirac avait même osé ces mots : « Tout ce qui peut heurter les convictions de quelqu’un d’autre, en particulier les convictions religieuses, devrait être évité. » Et d’ordonner « La liberté d’expression devrait toujours être utilisée dans un esprit de responsabilité. »

Charlie Hebdo déjà victime de la Grande Mosquée de Paris et de l’Union des Organisations Islamiques Françaises

La Grande Mosquée de Paris et l’Union des Organisations Islamiques Françaises ont poursuivi, sans relâche en justice le journal Charlie Hebdo pour « avoir insulté les musulmans, un crime passible d’une amende allant jusqu’à 22.500 € ou six mois d’emprisonnement ». La justice française a finalement délivré un jugement en faveur de Charlie Hebdo. Mais depuis, la volonté de contrôle de cette liberté d’expression en France n’a cessé de grandir, certains politiques, à l’image de Bernard Cazeneuve, affichant une soiffe de censure, de répression immodérée.

Jonathan Turley analyse parfaitement la « mise à mort de la liberté de la Presse en France : « Les différentes affaires judiciaires ont tapé tous azimuts. En 2008, par exemple, Brigitte Bardot a été condamnée pour avoir écrit une lettre au ministre de l’Intérieur de l’époque, Nicolas Sarkozy, dans laquelle elle exprimait sa pensée selon laquelle les musulmans et les homosexuels mettaient en danger la France.

« En 2011, le styliste de mode John Galliano a été déclaré coupable d’avoir prononcé des paroles antisémites à l’encontre de trois personnes dans un café parisien.

En 2012, le gouvernement criminalisa la négation du génocide arménien (une loi ultérieurement retoquée par le Conseil Constitutionnel), mais la négation de l’Holocauste reste un crime.

En 2013, une mère française fut condamnée « apologie de crime » après avoir autorisé son fils, baptisé Jihad, à aller en classe vêtu d’un tee-shirt qui disait « Je suis une bombe »…. L’année dernière, le ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, prit des mesures pour interdire le spectacle du comédien Dieudonné M’bala M’bala déclarant qu’il n’était « désormais plus un comédien » mais « plutôt un antisémite et un raciste ». Il est facile de réduire au silence les personnages publics qui éructent des mots haineux ou des idées insupportables, mais la censure ne fonctionne que très rarement avec ceux qui sont en marge de notre société….. ».

Jonathan Turley relève avec précision : « Parmi les manifestants de janvier 2015, à Paris, place de la République se trouvait Sacha Reingewirtz, président de l’Union des Étudiants Juifs, qui déclara à NBC News :

« Nous sommes présents pour rappeler [aux terroristes] que la religion peut être librement critiquée ».

« L’Union des Étudiants Juifs n’était apparemment pas aussi magnanime en 2013, quand elle poursuivit avec succès en justice Twitter, à propos de publications jugées antisémites sur son site. Son président à l’époque balaya de la main les objections d’entrave aux libertés publiques déclarant que le réseau social se faisait lui-même « complice en offrant un boulevard aux racistes et aux antisémites. » Le gouvernement déclara les tweets illégaux, et une Cour de Justice française ordonna à Twitter de fournir les identités des auteurs des publications antisémites.

« Récemment, les restrictions à la liberté d’expression en France ont étendu leur domaine au-delà de la haine proprement dite avec des tribunaux intervenant de manière coutumière dans de simples délits d’opinion. Par exemple, l’année dernière, un tribunal français a infligé une amende à Caroline Doudet, une bloggeuse, et lui a ordonné de changer le titre de son sujet pour réduire sa visibilité sur Google concernant un commentaire négatif sur un restaurant.

« Alors que la France a remisé depuis longtemps ses lois sur le blasphème, la marge est très ténue pour les orateurs et les écrivains poursuivis pour des motifs de diffamation ou d’incitation à la haine. De même pour les extrémistes, cette différence est également très ténue à l’image de ceux qui, à Paris, ont appliqué leur justice personnelle à une liberté d’expression que le gouvernement lui-même qualifiait de délit. De leur point de vue, il ne s’agit que d’un degré d’appréciation en réponse à ce que le gouvernement a appelé des provocations illégales. A l’image du religieux musulman radical Anjem Choudary qui a écrit en janvier 2015, « Pourquoi dans ce cas le gouvernement français a-t-il autorisé le magazine Charlie Hebdo à continuer à provoquer les musulmans ? »… ».

Une intolérance croissante à l’égard de la Liberté d’expression

Ce fut l’intolérance française croissante à l’égard de la liberté d’expression qui a motivé l’équipe de Charlie Hebdo — en particulier son rédacteur en chef Stéphane Charbonnier — à se moquer de toutes les religions en usant de dessins et d’éditoriaux irrévérencieux. Charbonnier devait faire face de manière continuelle à des menaces de mort par des extrémistes, mais aussi de poursuites judiciaires devant les tribunaux. Et Jonathan Turley insiste : »En 2012, dans les protestations internationales à propos d’un film anti-islamique, Charlie Hebdo publia de nouveau des caricatures de Mahomet. Le Premier Ministre français, Jean-Marc Ayrault, avertit que la liberté d’expression « ne peut s’exprimer que dans les limites de la loi et sous le contrôle des tribunaux. »

« Charbonnier ne se laissa pas impressionner, ni par la pression gouvernementale ni par les protestations publiques ou l’inclusion de son nom sur une liste de cibles d’Al-Qaeda. Dans une interview au journal Le Monde, il repris à son compte une phrase du révolutionnaire mexicain Emiliano Zapata et déclara, « je préférerais plutôt mourir debout que vivre à genoux. » Stéphane Charbonnier fût le premier que les tueurs recherchèrent lors de l’attaque dans ses bureaux, et il fût parmi les premiers à être tué.

Les Français bien sûr n’ont pas été les seuls à revenir sur les lois et protections relatives à la liberté d’expression.

« La Grande-Bretagne, le Canada et d’autres nations les ont rejoints. Nous avons les mêmes bruits de fond ici aux États-Unis. En 2009, l’administration Obama de manière choquante apporta son soutien à ses alliés musulmans en essayant de définir un nouveau standard international du blasphème. Et Hillary Clinton, Secrétaire d’État, invita des délégations à Washington pour travailler sur la définition de ce nouveau standard et pour « renforcer nos muscles [afin] d’empêcher le retour des anciens schémas de division ». De la même manière, en 2012, le président Obama se rendit à l’ONU et déclara que « ceux qui diffament le prophète de l’Islam ne doivent plus pouvoir le faire dans le futur. »

« Il fut pourtant un temps où la liberté d’expression était précisément la promesse du futur. C’était même la ‘première pierre’ de la civilisation Occidentale et des libertés civiles.

« Une personne physique ne peut pas réellement diffamer une religion ou des personnages religieux en tant que tels (même s’il est vrai que la diffamation des morts est prohibée aux États-Unis). Les volontés de requalifier la critique d’une religion comme incitation à la haine ou diffamation sont précisément ce que Charbonnier, en tant que résistant, combattait. Il dit un jour qu’en titillant l’Islam il espérait le rendre « aussi banal que le Catholicisme » pour pouvoir en débattre en société.

« Stéphane Charbonnier est mort, comme il l’avait affirmé, debout plutôt qu’à genoux. La vraie question est : Combien parmi ceux qui se rassemblent sur la place de la République seraient réellement prêts à se tenir debout avec lui ? Ils devraient tous prêter une attention soutenue aux trois statues de la Place. Au nom de l’Égalité et de la Fraternité, la Liberté a été considérablement réduite en France. La terrible vérité est qu’il suffit d’un simple tueur pour abattre un journaliste mais qu’il faut une Nation entière pour assassiner un droit. » note encore Jonathan Turley, collaborateur régulier du Washington Post et du Le Journal du Siècle.

Les volontés de Manuel Valls et de Bernard Cazeneuve de requalifier la critique politique ou la critique d’une religion en crime ou délit témoignent d’une volonté d’asservissement de la Presse Libre, celle qui était défendue par Emile Zola, Jean Jaurès, ou encore André Malraux lorsque la France vivait des heures sombres et tragiques !

Francis GRUZELLE

Carte de Presse 55411

9 commentaires

  1. Posté par zzz le

    Le probleme ne vient pas de gauche ou droite, de socialiste ou capitalisme. il vient de l’ignorance des peuples sur la dialectique hegelienne que les rotshchild/vatican et familles royales imposent sur l’humanite depuis des centaines d’annees. Le cancer de la vraie liberte etant la franc maconnerie et les organisations secretes luciferiennes dont TOUS les acteurs du pouvoir sur cette planete font partie. Nous assistons en France a une petite partie de l’iceberg qui emmerge. Evidemment ces differentes factions de la franc maconnerie se battent entre elles pour imposer leur propre vision/paradigme du nouvel ordre mondial, aka le clan de la cabale (US,Europe, moitie Amerique du sud,Inde, japon) et le clan des familles royales (Russie, Chine, pakistan, etc)

  2. Posté par FERRET Jean-Patrick le

    UDC et FN chacun dans son pays , comme je suis ressortissant des deux , je vote FN en France et UDC en Suisse, 2 ans en France à attendre , rien d’autre que des larmes et peu être du sang. Après, si les Français sont cohérents, Marine sera la Présidente, s’ils mettent un Jupé ou autre guignol on sera reparti pour 5 ans de galère

  3. Posté par FERRET Jean-Patrick le

    La plus grande menace pour la France c’est son gouvernement actuel, à la solde des USA, quand on voit ce que veut signer avec les USA , FH et MV, TRAITE TRANSATLANTIQUE, le baiser de la mort pour nos exploitations en France 40.000 qui disparaitront, et nos alliés come l’a dit Hollande , Saoudien et Qatari, vont nous aider a combattre l’Islam, eux qui le finance, MDR et pas qu’un peu, je suis completement abasourdi

  4. Posté par Loutchia le

    Vous ne croyez pas si bien dire:
    1/ Une pétition de 127.000 signatures a été mise à la poubelle
    Le roi d’Arabie saoudite est arrivé samedi en fin d’après-midi à Nice, avant de rallier sa propriété de Vallauris surplombant une plage privée désormais interdite d’accès. Un élu de l’opposition, Jean-Noël Falcou a lancé une pétition contre cette privatisation
    La plage de la discorde. Le roi d’Arabie saoudite Salmane ben Abdel Aziz est arrivé samedi en fin d’après-midi sur la Côte d’Azur, et pour sa sécurité comme pour son confort, la petite plage publique de la Mirandole a été fermée. Une décision qui ulcère le conseiller municipal d’opposition Jean-Noël Falcou, qui a mis en ligne une pétition pour la contester.Dimanche après-midi, près de 125.000 personnes avaient signé. (127.000 aujourd’hui)
    Ces mesures devraient rester en vigueur le temps du séjour du monarque, une bonne partie du mois d’août. Un millier de ses compatriotes ont également pris leurs quartiers d’été dans les palaces de Cannes et d’Antibes.
    La rédaction vous conseille :
    À Golfe-Juan, la colère gronde contre le roi d’Arabie saoudite
    Alpes-Maritimes: la famille royale saoudienne accapare une plage publique
    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/07/26/01016-20150726ARTFIG00094-plus-de-120000-signatures-contre-la-privatisation-de-la-plage-de-vallauris-par-le-roi-d-arabie-saoudite.php
    « … Le monarque devrait être accompagné de près d’un millier de Saoudiens, dont 700 de sa suite.  »
    http://www.lejdd.fr/Societe/Golfe-Juan-une-plage-publique-fermee-pour-un-prince-saoudien-743818
    « L’ambassadeur d’Arabie saoudite en France et du préfet des Alpes-Maritimes Adolphe Colrat ont participé à une cérémonie d’accueil du monarque à l’aéroport de Nice Côte d’Azur. Deux motards de la police ont ensuite escorté une Mercedes blanche jusqu’à la villa de Vallauris où elle a pénétré peu après 19h. La route qui longe la demeure royale a été fermée à la circulation pendant quelques minutes. D’autres berlines de luxe regroupées en cortèges ont suivi peu après, en présence des forces de l’ordre. »
    http://www.20minutes.fr/nice/1657651-20150725-cote-azur-roi-saoudien-arrive-plage-devant-villa-fermee
    ———
    Une nouvelle crise institutionnelle secoue la ville : Le maire de Nice demande la révocation du Préfet ! – 19 octobre 2014
    Le préfet des Alpes-Maritimes a tenu des propos irrespectueux, inacceptables envers les niçois et la ville de #Nice. J’ai demandé à @manuelvalls de tirer les conséquences de l’attitude anti-républicaine du préfet à notre égard.
    C’est par ces déclarations sur son compte twitter que Christian Estrosi a tout simplement demandé la révocation du Préfet de Nice Adolphe Colrat en l’accusant de « lesa majestatis » et ouvrant de ce fait une crise institutionnelle entre les services de l’Etat (que le préfet représente) et l’élu démocratique qui est le Maire de Nice.
    http://www.nice-premium.com/actualite,42/une-nouvelle-crise-institutionnelle-secoue-la-ville-le-maire-de-nice-demande-la-revocation-du,15380.html
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    Des enfants dignes de leurs parents…. Des socialistes quoi!
    Justice : nouveaux scandales autour des fils Touraine et Taubira
    « Alors que les journalistes ont du mal à passer sous silence l’incarcération pour « extorsion de fonds » et « séquestration », du fils de Marisol Touraine, ministre de la Santé, Valeurs actuelles vient de sortir un document selon lequel Christiane Taubira, ministre de la Justice, avait fait pression en 2001 afin de faire annuler la condamnation de son fils pour complicité de vol. Après les fils de Trierweiler et de Fabius, on commence à comprendre pourquoi les socialistes sont si laxistes. »
    Flingue sur la tempe et petit mot d’excuse
    « On apprend cette semaine avec stupeur que le fils de Marisol Touraine vient d’être mis en prison pour des faits qui se sont déroulés en 2011. Âgé de 19 ans, le garçon et un ami étaient entrés armés chez une vieille dame de 60 ans à qui ils avaient fini par voler 990 euros, après que l’un ait tenté d’utiliser sa carte bancaire dans un distributeur pendant que l’autre la tenait prisonnière chez elle. »
    «Ils voulaient aussi m’attacher les mains. Ils m’ont demandé ma carte bancaire. Je leur ai donné le code mais je me suis trompée, sous le coup de l’émotion. L’un d’entre eux est parti à la Poste pour faire un retrait au distributeur. Pendant ce temps-là, son complice me pointait le canon de son arme sur la tempe… Quand il a fini par revenir, il n’était pas très content parce que ça n’avait pas marché. Je leur ai alors dit que j’avais un peu d’argent chez moi, puis ils sont partis», a expliqué la victime du fils d’un membre de notre gouvernement socialiste. »
    « Lors de son procès, le fils de Marisol Touraine a expliqué avoir commis ce braquage car il avait une dette à rembourser. Une déclaration étonnante de la part du fils d’une ministre socialiste soumise à l’ISF… En bonne socialiste, Marisol Touraine a écrit une lettre d’excuse à la vieille dame, afin qu’elle pardonne au jeune homme pour avoir été braquée avec une arme sur la tempe. Espérons que la carte était jolie… »
    lesoufflet le 12 septembre 2013.
    La suite: http://24heuresactu.com/2013/09/12/justice-nouveaux-scandales-autour-des-fils-touraine-et-taubira/#.VbXY4gt2ABE.twitter

  5. Posté par fergile le

    @ Oblabla: « Le gouvernement français actuel est le plus liberticide que le pays ait connu depuis la révolution ».
    C’est bien pour cela que le mot République est celui qu’il prononce le plus souvent, cette République Universelle étant le paradigme de l’égalitarisme niant les nations, les peuples, les cultures, les sexes, les traditions et les religions.
    À une exception près.

  6. Posté par Daniele le

    Et en Suisse, la liberté d expression est respectée ? Je ne crois pas, non. Pour d autres sujets, bien sur tels que les ftontaliets ou les immigrés. Regardez n importe quel journal télévisé, n importe quel débat et vous comprendrez tres vite : les frontaliers sont absolument nécessaires a la Suisse, si quelqu un ose parler de chomage de nos résidents et du dumping salarial, il est immédiatement écarté. Les immigrés, idem, déboutés ou pas, ils sont tous de pauvres diables, souvent avec plus d argent que nos familles au chomage et mangent tous les jours. Tous les residents suisses ne peuvent le faire. Pourquoi tout cela ? Concernant la Suisse, pour paraitre très embrigadée avec l Europe. Pour la France, elle ne veut pas etre critiquée, elle l est déjà assez par son propre peuple. Pour les Suisses et les Francais, même combat, nous voulons une justice et avoir le droit de travailler chez nous, nous voulons un appartement que nous pouvons payer, manger décemment et vivre. Il y a tres longtemps que bcp de vont plus au ciné, au resto, sans parler de vacances. Alors les socialistes qui ont créé cela et le cultive NON, les partis du centre, MEFIANCE car eux ne pensent qu a la prospérité du pays pas des habitants donc je pense que bcp se tournerons vers l UDC et Marine en France. On a jamais essayé, ce serait peut etre pas pire qu aujourd hui. Car dans ces deux pays, la liberté d expression est bannie.

  7. Posté par Pierre-Henri Reymond le

    Francis Gruzelle cite Charb, le Charb qui n’aimais pas les gens. Son adresse électronique suivait chacun de ses articles. J’en ai fait usage. Il répondait toujours, laconiquement mais il répondait. Il disait au moins merci. A mon reproche, quand il a comparé Marine le Pen à un étron, il a dit que « ça soulage », ou quelque chose de cet ordre. Quand l’information a été diffusée, il fut le premier auquel j’ai pensé… « pas lui ». C’est étrange car je hais la raillerie. J’aurais voulu lui dire ce qui nous distinguait et ce en quoi nous étions proche. M’aurait-il entendu? Je ne sais pas. Je ne crois pas. car il en faut, du chemin, pour distinguer la religion et les religieux des textes fondateurs. Et encore plus pour commencer à discerner,, dans les textes ce qui est de la main de l’homme de ce qui est inspiré.
    Francis mentionne le blasphème. Ce qui me propulse immédiatement dans « La démocratie en Amérique ». Que je viens de citer, sur ce site? Tocqueville affirme que l’on reconnait ce que sera l’enfant dès sa naissance, et qu’il en est de même pour les nations Il ajoute que les Etats-Unis sont la seule nation dont on ait assisté à la naissance. Et il dit leur fondement: « avoir la liberté de vivre droitement et honnêtement, selon les principes bibliques. Ici j’ai vu la faille, et même la faillite qui bientôt sera consommée. Mais leurs lois sont encore plus révélatrices. Dans mon commentaire j’ai mentionné celle punissant de mort l’adultère. Je savais en oublier deux. J’en retrouve une! Une loi de 1860, dans je ne sais plus quel état, punissait aussi le blasphème de la peine de mort! Rien de moins. Moins de cent ans plus tard, des enfants dont je fut, étaient menacé de l’enfer. Uns sanction non appliquée, mais une menace fabriquant des tricheurs et des hypocrites. Ce genre de « pédagogie » induit immanquablement un mai 68. Ce qui me conduit à dire que s’il est aisé de condamner une erreur, il est ardu d’en identifier les origines. Surtout si elles sont fondées sur le BIEN! C’était donc hors de portée de Charb. C’est même hors de portée de tout homme qui, selon le voeux de Coluche qui ne croyait pas si bien dire, n’est pas mort de son vivant!

  8. Posté par Oblabla le

    Le gouvernement français actuel est le plus liberticide que le pays ait connu depuis la révolution. La loi de programmation militaire de l’automne 2014 et celle de cet été sur le renseignement sidèrent même les américains dont on connait dans ce domaine le savoir faire avec le Patriot Act et la NSA. Ce qui est consternant est que ces lois ont été approuvées par le conseil constitutionnel, l’ensemble de la classe politique mais pire encore par la très grande majorité des citoyens totalement manipulés et lobotomisés. Ils ne se sont absolument pas rendu compte qu’au prétexte de lutter contre le terrorisme, on leur a fait avaler des lois qui vont permettre une surveillance digne de l’ex RDA sans aucun contrôle de la Justice.

  9. Posté par G. Vuilliomenet le

    SOCIALISME = NAZISME

    ON NE PEUT PLUS CLAIR.

    IL EN SERA DE MÊME EN SUISSE SI LES SOCIALISTES DEVENAIENT MAJORITAIRES DANS TOUTES NOS INSTITUTIONS!

    SOCIALISME = NAZISME

    LA PREUVE NOUS VIENT DE LA FRANCE RANCE.

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