4 commentaires

  1. Posté par Marie-France Oberson le

    @Marchand
    Ah bon? Pourtant ceci ne se passe pas en Suisse !Alors, si vous préférez le système français de démocratie parlementaire… on ne vous retient pas…
    https://www.youtube.com/watch?v=PP7VgKF15s8
    « En 2011, 11.400 personnes se sont donné la mort en France métropolitaine. Un chiffre qui fait de la France un pays qui enregistre l’un des plus hauts taux de suicides en Europe, après la Finlande, la Belgique et la plupart des pays de l’Est. »
    http://www.lefigaro.fr/conjoncture/2015/07/21/20002-20150721LIVWWW00009-en-direct-eleveurs-agriculture-prix-distribution-le-foll.php

  2. Posté par Marchand le

    En Suisse on ne s’entretuent pas, on se suicide. 😉

  3. Posté par BLUM Dominique le

    « Faire en sorte que cela devienne un état d’esprit », dites-vous, Monsieur.
    Je le crois souhaitable, en effet, mais en France, par exemple, nous en sommes terriblement éloignés.
    Alors que vous pointez que, même en Suisse, les autorités fédérales snobent les votations populaires, depuis quelque temps, ici, nos gouvernants procèdent à coups de 49-3.
    Quant à l’opposition, qui aspire à l’alternance, sans idées spécialement « participatives » concernant le peuple que tous redoutent, après l’avoir tant trahi, elle ne me semble, hélas, pas près de se prêter à des « votations populaires ».
    J’en retiens l’idée, cependant, car les élections qui se profilent, seront propices à certaines suggestions de la part des citoyens. Merci pour votre clarté d’esprit.

  4. Posté par Marc le

    Ce n’est pas la démocratie directe mais le fédéralisme : chacun s’occupe de ses affaires. À presque chaque initiative populaire acceptée, les cantons perdent en souverainté. Les peuples suisses (notion supprimée de la constitution en 94) étant different à beaucoup de niveau, plus de centralisation ne peu que causer des conflits.

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