Coran, djihad et migrants, véritable Triangle des Bermudes

Michel Garroté
Politologue, blogueur
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Le Coran serait le texte fondateur de la « religion de paix ». Cette même religion pratique néanmoins le djihad et justifie celui-ci en le comparant aux Croisades. Enfin, l’Occident demande aux Chrétiens d’Orient de rester en terre d’islam, tout en accueillant des centaines de milliers de « migrants » musulmans. Coran, djihad et migrants, c’est un véritable Triangle des Bermudes qui envahit une Europe qui n’est plus que l’ombre d’elle-même. Une Europe islamo-compatible qui renie sa culture judéo-chrétienne au nom du soi-disant « vivre ensemble » et qui renie sa culture judéo-chrétienne en vertu d’une pseudo « société multiculturelle ».

Les islamophiles ont-ils lu le Coran ?

Pour François Billot de Lochner, lire le Coran est un impératif absolu : À l'heure actuelle, en France, plus de sept millions de musulmans se réfèrent à une constitution politico-religieuse qui s'appelle le Coran. Ce livre leur sert de guide suprême, de référence absolue et indiscutable. Des milliers d'imams le répètent en permanence, jour après jour, dans les mosquées, dans les cénacles de formation, dans les prières publiques ou privées : le Coran, livre politico- religieux, prime sur tout autre livre, constitution, loi et autres coutumes.

La question que chacun est en droit de se poser est la suivante : compte tenu de la prééminence du Coran sur tout autre écrit, quel qu'il soit, et compte tenu du nombre considérable de musulmans dans la société française, ce livre est-il compatible avec la Constitution française, les lois, les codes qui régissent notre pays, les coutumes et les valeurs qui sont les nôtres, les modes de pensée et la culture qui nous imprègnent ? Pour le savoir, il est de première nécessité de le lire, afin de savoir s’il correspond ou non aux fondements de notre société.

Une analyse précise et objective de ce livre montre à quel point il est en opposition frontale avec de tels fondements. Le Coran comporte des centaines de versets qui, non seulement sont en complète opposition avec notre culture au sens le plus large, mais sont susceptibles d'action pénale dans la mesure où ils constituent une évidente provocation à la haine, à la violence, à la discrimination, au racisme, au sexisme, à l'antisémitisme... etc. En voici quelques illustrations. Sur le plan de la justice, la loi du talion est admise par le Coran, alors que notre droit pénal l'interdit évidemment.

L'esclavage est parfaitement justifié dans un certain nombre de circonstances, alors qu'il est réprimé de façon très sévère dans notre pays. Les provocations à la discrimination religieuse et à la haine figurent dans une centaine de versets, s'opposant frontalement aux différentes lois françaises sur le sujet. Plusieurs dizaines de versets relèvent d'un antisémitisme primaire, en opposition flagrante aux lois de 1881, de 1972, de 1990 et de 2004. Une centaine de versets contient des provocations explicites au meurtre et à la guerre pour cause de discrimination religieuse. Quatre-vingt versets sont une véritable provocation à la discrimination sexuelle, assortie de châtiments corporels que l'homme peut exercer assez librement sur la femme. De même, le mensonge peut être assez librement utilisé pour arriver à ses fins.

Une lecture attentive du Coran nous révèle l'incompatibilité évidente de ce livre avec la culture française au sens le plus large et le plus noble. Le problème qui se pose est le suivant : la quasi-totalité des musulmans connaît tout ou partie du Coran, le considère comme supérieur à tout, et sait que ce livre n'est pas compatible avec la société française dans laquelle elle vit, alors que la quasi-totalité des élites françaises n'a jamais ouvert un Coran mais ne cesse d'affirmer doctement que ce livre, qu’ils ne connaîtront jamais, est en parfaite adéquation avec tout ce qui constitue notre pays aux racines chrétiennes. Alain Juppé en offre le plus bel exemple, puisqu'il ne cesse d'affirmer son émerveillement pour le Coran, après avoir révélé publiquement, il y a quelques semaines, qu'il n'avait jamais ouvert ce livre. Quand on aime, on ne lit pas.

Chacun d'entre nous doit donc prendre son courage à deux mains, et prendre le temps de lire un livre ô combien difficile et ennuyeux, mais dont la lecture permettra de savoir ce qu'il contient, et de se faire une idée précise et raisonnée sur son évidente incompatibilité avec notre culture. Le Coran ne se partage pas entre un Coran modéré pour musulmans modérés, et un Coran fondamentaliste pour islamistes jusqu'au-boutistes, conclut François Billot de Lochner.

Ne pas confondre croisade et djihad

Spécialiste de l’histoire des idéologies et des mentalités religieuses, directeur de recherche honoraire au CNRS, le médiéviste Jean Flori considère que comparer les croisades d’hier au djihad d’aujourd’hui n’a pas de sens. Extrait d'un entretien à La Vie :

La Vie : La comparaison entre croisades d’hier et djihad d’aujourd’hui est-elle pertinente ?

Jean Flori : Non ! La seule comparaison valable à laquelle on peut procéder concerne les différences existant entre la formation de la croisade « chrétienne » et celle du djihad musulman pendant la même période (du VIIe au XIIe siècle). Dans le christianisme latin, la valorisation puis la sacralisation de la guerre ont eu lieu lentement et en totale contradiction avec le pacifisme radical de Jésus et des premiers chrétiens. Dans l’islam, en revanche, la guerre est naturelle dès l’origine, le Prophète étant à la fois chef d’État et chef de guerre. Cette comparaison révèle aussi des nuances importantes : le djihad avait pour but de « dilater » les territoires musulmans à partir des Lieux saints initiaux, à savoir La Mecque, Médine et Jérusalem. C’est une guerre de conquête. La croisade, elle, intervient au XIe siècle, alors que l’Occident chrétien est assiégé. C’est une entreprise de reconquête de Jérusalem, premier des Lieux saints de la chrétienté, à une époque où le pèlerinage a pris une dimension importante dans la spiritualité chrétienne latine.

La Vie : Le djihad est décrit par certains extrémistes comme une réponse, neuf cents ans plus tard, aux croisades. Cet argument est-il, selon vous, largement partagé par les musulmans d’Orient ?

Jean Flori : Les « extrémistes » qui font régner la terreur coupent la tête des juifs, des chrétiens ou des musulmans ne partageant pas leur « foi », ont une conception simpliste de la culture et de l’histoire. Pour eux, tout ce qui n’est pas islamique doit disparaître : monuments, écrits ou êtres vivants. Ils veulent ignorer que de nombreux peuples autochtones d’Orient étaient déjà chrétiens avant la conquête musulmane, a fortiori bien avant les croisades. La persécution exercée actuellement sur ceux-ci par les djihadistes ne fait qu’accélérer leur génocide sans que l’Occident intervienne ; il ne faudrait pas mécontenter nos « alliés » musulmans, à savoir les Turcs, auteurs du génocide des chrétiens arméniens, l’Arabie saoudite et le Qatar, proches des djihadistes, où sévit la charia et où la possession de la Bible est passible de mort.

Jean Flori : Dès la conquête des territoires chrétiens d’Orient par les armées musulmanes du VIIe siècle, ces populations ont subi des périodes de soumission protégée alternant avec des périodes de persécution et d’exclusion. La croisade leur a semblé une libération, mais ils ont vite déchanté. La précarité de leur situation a repris après l’échec des États croisés. Elle s’est accentuée avec la malencontreuse intervention militaire en Irak sous George W. Bush. Leur persécution n’a cessé de croître depuis. Les progrès des djihadistes accélèrent leur génocide sans émouvoir les États européens, qui cherchent à s’en laver les mains. L’Italie, débordée par les migrants fugitifs, ne reçoit même pas leur aide financière !

La Vie : À quoi tient, selon vous, cette « frilosité » des États européens à l’égard du sort réservé aux chrétiens d’Orient, et du djihadisme en général ?

Jean Flori : Les gouvernants occidentaux avouent tous qu’ils ne feront rien pour sauver les chrétiens d’Orient. Leur disparition programmée est déjà inscrite aux « profits et pertes ». On constate la même dérobade devant le péril djihadiste. Chaque État cherche à ne rien faire – c’est trop coûteux ! – et laisse les autres s’engager. En France, nos politiques de tous bords semblent ne pas avoir réalisé que les djihadistes gagnent du terrain et des adeptes ; ils ne menacent pas seulement les juifs et les chrétiens d’Orient, mais aussi ceux d’Occident, et même les musulmans « modérés », que d’ailleurs on entend trop peu condamner les exactions de leurs coreligionnaires, conclut Jean Flori.

« Migrant » - Le mot magique (1ère partie)

Dans le nouveau numéro du Monde & Vie : Le mot « migration » était rarement employé à propos d’êtres humains, sinon de manière très technique ou scientifique. Aujourd’hui, ce terme avec toute sa déclinaison (migrants, migrer) tend à remplacer les mots formés autour de l’immigration (immigrant, immigré). On n’immigre plus. On n’émigre pas davantage d’ailleurs. On migre. Le mot est neutre, sans indication ni d’une provenance ni d’une destination, comme s’il désignait un statut de l’homme moderne. L’homme moderne est forcément un migrant. Les migrants ce ne sont pas seulement ces gens qui arrivent dans des barques de bois et sont secourus par la marine italienne.

Ce sont aussi tous ces jeunes ouverts au monde et qui, parce que la France est décidément trop petite vont migrer, c’est-à-dire s’installer à l’étranger. Reviendront-ils ? Ne reviendront-ils pas ? Ils n’en savent rien. Mais de plus en plus, la France ne compte pas pour eux, pas plus que ne comptent l’Erythrée ou la Syrie pour ceux qui fuient leurs pays livrés aux guerres de clans et aux guerres religieuses. La terre n’est plus « le sol natal ». Elle appartient – Marché oblige ! – à celui qui sait la mettre en valeurs. Ainsi en Afrique des milliers de kilomètres carrés ont-ils été vendus aux Chinois.

De la même façon, Jean-Pierre Raffarin proposait récemment de mettre à la disposition des migrants des villages français inoccupés ou peu occupés, estimant sans doute que des populations jeunes sauraient mieux mettre en valeur le territoire. On instrumentalise les drames que vivent les migrants sur leur terre et on oublie qu’ils ont, eux aussi, droit à leur terre et que nous avons le devoir de les aider à y rester au lieu de bombarder et d’encourager la Guerre civile. Mais peu nous chaut ces drames-là où ils arrivent. Et au fond, pensons-nous, tant mieux s’ils favorisent la disparition de nations entières (Irak, Syrie Erythrée etc.). Migrer devient un état d’esprit, hautement positif et à encourager, une expression de l’idéologie nihiliste en vogue. Puisqu’il importe de donner un nom aux réalités nouvelles pour mieux les désigner, pourquoi ne pas parler à ce sujet d’une nouvelle idéologie : l’idéologie migratoire ?, conclut Monde & Vie.

« Migrant » - Le mot magique (2ème partie)

Phénomène des « migrants » africains : Bernard Lugan parle vrai. Lu sur son blog : La vague migratoire africaine que subit actuellement l'Europe se fait par l'entonnoir libyen. Ce dernier fut créé par ceux qui déclenchèrent une guerre insensée contre le colonel Kadhafi qui avait fermé son littoral aux passeurs-esclavagistes. Face à la déferlante, les forces navales européennes recueillent les clandestins... pour les transporter jusqu'en Italie. La différence avec le prophétique Camp des Saints de Jean Raspail est que chez ce dernier, les migrants débarquaient en Europe alors qu'aujourd'hui ils y sont débarqués pour y être installés.

Les responsables de l'ectoplasme bruxellois ont comme seule préoccupation de répartir ces intrus dont les indigènes ne veulent pas entre les pays de l'UE, ne voyant pas qu'ils vont ainsi amplifier le phénomène en créant une pompe aspirante. Cette migration-peuplement est essentiellement la conséquence d'une démographie devenue folle qui tue l'Afrique à petit feu, lui interdit tout développement et exacerbe ses conflits. Or cette explosion démographique s'explique parce que les missionnaires, les religieuses soignantes, les médecins et les infirmiers coloniaux ont, hier, au nom de leur « amour des autres », délivré les Africains de la lèpre, de la rougeole, de la trypanosomiase, du choléra, de la variole, de la fièvre typhoïde ; cependant que les militaires les libéraient de l'esclavage arabo-musulman.

Résultat : en un siècle, la population du continent a presque été multipliée par 10. De 100 millions d'habitants en 1900, elle était passée à environ 275 millions dans les années 1950-1960, puis à 640 millions en 1990 et à un milliard en 2014. Dans les années 2050 les Africains seront entre 2 et 3 milliards (dont 90% au sud du Sahara), puis 4,2 milliards en 2100 ; ils représenteront alors 1/3 de la population mondiale. En 2050, 40% des naissances mondiales seront africaines, ce qui, ajouté à la baisse heureuse de la mortalité infantile en raison des campagnes de vaccination menées par les ONG et de l'annonce d'un prochain vaccin contre le paludisme, va conduire à un cataclysme encore plus destructeur que l'actuel.

Comment espérer alors que les migrants cesseront de se ruer vers un « paradis » européen non défendu et peuplé de vieillards ? Un paradis où, par hédonisme, les femmes ne font plus d'enfants ? Un paradis où les hommes s'interrogent sur leur identité sexuelle et où toute attitude virile est considérée comme machiste, autant dire fascisante ? Désarmés par l'hystérie émotionnelle de la classe politique et des médias ainsi que par la compassionnelle sollicitude des clercs, les Européens sont sommés de devoir accepter de subir. Un ancien Premier ministre de « droite » est même allé jusqu'à proposer que les forceurs de frontière soient envoyés à repeupler les campagnes françaises. Là où les « aides » en tous genres ont depuis longtemps fait taire les salutaires cris de « Haut les fourches », conclut Bernard Lugan.

Michel Garroté, 8 juillet 2015

   

5 commentaires

  1. Posté par BLUM Dominique le

    A rebours de ce que recommande M.Garroté, dans son article où il rappelle, avec beaucoup de mérite , le contenu du Coran, je n’en imposerais pas la lecture aux Français — ni aux Suisses, ni aux Européens, qui, dans leur ensemble, ont vécu une année plutôt difficile.
    Non.
    M’en étant infligé la lecture, par conscience professionnelle, dans mes très jeunes années, je tâchai d’en atténuer les effets déprimants en entrelardant cet indigeste pavé haineux, de polars de Frédéric DARD , les fameux SAN ANTONIO, vous vous souvenez?
    Alors, pourquoi punir les Français, entre autres, partis sur les plages se changer les idées, en les forçant à lire le coran? Ne leur suffit-il pas d’en vivre, au quotidien, les effets dévastateurs?
    Deux suggestions me viennent, par contre:
    —Obliger TOUS LES HOMMES POLITIQUES, LES CANDIDATS AUX PROCHAINES ELECTIONS, LES RESPONSABLES DE PARTIS ET LEURS MILITANTS à ingurgiter le coran, avec les hadiths.
    En sorte qu’ils soient à-même d’interpeller les innombrables imams qu’ils font venir en France, et les placent devant leurs responsabilités.
    Obliger tous les demandeurs d’asile à maîtriser le français, à connaître la culture et l’histoire de notre pays. Après quoi, ils décideraient d’opter pour la France, ce qui les engagerait A DES DEVOIRS, non PAS SEULEMENT A DES DROITS.

  2. Posté par G. Vuilliomenet le

    @ Boboss

    Vous savez, l’ex chef du DIP (MARTINE BRUNSCHWIG GRAF) a lu le coran et n’a rien trouvé à y redire.

    Je n’en dis pas plus mais je n’en pense pas moins de ces sinistres qui veulent absolument nous gaver d’un islam d’amour, de tolérance et de paix.

    Quant à nos hommes politiques, à quelques exceptions près, ce sont juste des larves qui ne pensent qu’à leur petit égo et qui se barreront comme des lâches quand des problèmes sociaux sérieux se déclencheront et la Suisse n’est pas à l’abri, il ne faut pas croire. Et quand on voit qu’une poignée de parasites a réussi à faire plier Poggia au sujet des requérants d’asile déboutés (les fameux NEM, pas l’excellent petit rouleau vietnamien mais l’infect Tunisien qui se plairait à BAISER une vieille de 40-50 ans).

  3. Posté par Boboss le

    Il faut absolument lire le Coran en tenant compte des versets abrogeant et abrogés.
    Le peu de versets tolérants sont en fait abrogés.Il faut lire également les hadiths !!!! qui se lisent mieux que le Coran !
    Ensuite on comprend parfaitement ce qui se passe actuellement. Nos hommes politiques sont dans les choux, par contre les musulmans sont très cohérents avec cette théocratie !

  4. Posté par marc le

    Si on consacrait autant d’argent aux français en difficulté qu’a faire vivre des horde de migrants qui en demanderont toujours plus et ne seront jamais intégré dans notre culture, vont vivre de corruption, magouilles et délinquance comme ils l’ont fait dans leurs pays d’origine?
    Les conseilleurs ne sont jamais les payeurs, comme ce péteux de suffisance de raffarin méprisant si fort la « france d’en bas » qu’il veux la spolier de son héritage.
    Il y a un malentendu avec le mot migrant : Il s’agit plutôt d’envahisseurs profitant de la trahison des responsables ( élite est un mot de moins en moins justifié! ) de l’UE envers sa population. Même au temps de la plus lointaine préhistoire, chaque population avait un territoire et le défendait.

  5. Posté par Henri le

    J’ai déjà observé à plusieurs reprises des jeunes issus de la diversité qui lisent un truc bizzare dans les transports publics. Le dernier en date, hier, murmurait en lisant. C’était peut être Rousseau traduit en arabe…

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