Entretien avec Alain de Benoist
Peu de temps avant son décès, François Mitterrand avait eu ces mots définitifs vis-à-vis d’un Jean-Pierre Elkabbach éberlué : « La France n’a pas à s’excuser. »
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Réduite à sa plus simple expression, la repentance peut se résumer ainsi : des gens s’excusent de méfaits qu’ils n’ont pas commis pour complaire à d’autres qui ne les ont pas subis.
Comme c’est bien répondu.
Quand les Français s’apercevront que ce désir de repentance de la France réclamé par l’Algérie, ne tient qu’à quelques milliards d’euro et des dizaines de milliers de visas, il sera peut-être trop tard.
« le Président Miterrand fut un très grand résistant » , juste et pertinent éloge funèbre d’un autre très grand résistant d’un même niveau de culture et d’éloquence : le Président d’honneur à vie ,Jean-Marie Le Pen.
La repentance s’apparente à la calomnie et la diffamation
Toute ma reconnaissance Mr. de Benoist, l’analyse est plus que parfaite. Mettez la lumière sur le boisseau tant d’autres s’ingénuent à la cacher..
Souvent les grands de ce monde sortent des vérités à l’heure du passage….La carrière est derrière, l’éternité devant…