À propos de l’extension planétaire du terrorisme islamique, Manuel Valls a évoqué une « guerre de civilisation ». Il se voit alors reprocher d’avoir utilisé des mots voisins du titre du livre de l’américain Samuel Huntington : Le choc des civilisations, paru en 1996. Plusieurs commentateurs pataugent à vrai dire dans tout un médiocre salmigondis conceptuel.
Bien sûr, naturellement, il vient aujourd’hui à l’esprit d’opposer plutôt la barbarie à la civilisation. Cela est aussi ancien que les racines grecques de notre civilisation. Mais, semble-t-il, pour les enfants athéniens ou corinthiens d’Homère, le vocable de barbare ne désignait pas le mal intrinsèque, l’abomination. Le barbare était tout simplement l’étranger à la cité. Et puis, « barbare » a désigné l’ennemi, le destructeur, le sauvage, et plus généralement l’homme capable de toutes les abominations et perversions. Selon cette évolution, le terme de barbarie a pu désigner non seulement des puissances menaçantes mais aussi des systèmes, des régimes, des entreprises, des formes et des comportements ; et ce, au sein même des civilisations.
Ainsi, les massacres, les exterminations et les génocides, phénomènes barbares s’il en est, ont-ils pu être aussi souvent le fait de sociétés « civilisées » que de primitives.
La barbarie des génocideurs de la Vendée n’a-t-elle pas été dans la continuité révolutionnaire des Lumières ? Celle du nazisme dans le contexte de la civilisation européenne et de son admirable fleuron germanique. Celle du communisme, quantitativement indépassable, imposant aussi sa monstruosité au sein de la civilisation européenne, dans les cultures juives et chrétiennes, puis dans les cultures chinoises et indochinoises…
La vérité pourtant, c’est que les racines de civilisation ne sont pas les mêmes. Les unes sont porteuses, plus que les autres, d’exemplarité bienfaisante ou de plus ou moins grande continuité barbare.
Manuel Valls, quoique adepte d’une vieille idéologie, socialiste, maçonnique, relativiste, nihiliste, ne peut ignorer que l’islam considéré en tant que civilisation, qu’il a été sous certains aspects, a constitué aussi une immense et sans doute incomparable continuité de barbarie ; barbarie notamment dans la pratique de ses modes assassins de succession, de ses déferlements de dynasties exterminatrices, de la constante pratique d’un esclavage émasculateur et sans mémoire. Sans oublier les indépassables anéantissements perpétrés par un Tamerlan et quelques autres.
La vérité, c’est que, parce qu’ils sont comme nous des hommes, la plupart des musulmans ne sont naturellement ni des terroristes ni des tortionnaires. Il y a parmi eux nombre d’hommes de bonne volonté, peu enclins à suivre les exemples de cruauté de leur prophète. Ils sont pacifiques malgré le Coran, malgré les Hâdiths.
La vérité aussi, c’est que depuis vingt siècles, tous les chrétiens n’ont pas été sur les voies de l’imitation de Jésus-Christ.
Les musulmans peuvent être pacifiques et tolérants : malgré le Coran et les Hâdiths !
Les chrétiens peuvent être méchants ou cruels : en violation de l‘Évangile !
La barbarie des chrétiens a toujours été à l’opposé de leurs racines et valeurs de civilisation.
La civilisation islamique n’a que trop été façonnée dans la conformité à l’exemple de son prophète guerrier et cruel et de sa théocratie totalitaire. Ne pas s’y soumettre signifie en effet très souvent la guerre. « Daesch », c’est un islam abominable mais c’est tout autant l’islam que le stalinisme ou le maoïsme sont des communismes.
Nous disons non à la grande part de barbarie qu’il y a dans l’islam.
Comme nous disons non à la barbarie moderne qu’a sécrétée ce qui fut notre civilisation…
Bernard Antony,
Président de l'AGRIF
La novlangue évolue ou alors une crise d’hystérie du colonel ? This is the question.
J’ai du mal à suivre Monsieur Valls sur le sujet d’une prétendue » guerre de civilisation ». Car si comme le dit Dominique Blum les décapiteurs du jour ne représentent par essence que tout le contraire d’une civilisation, je me demande ce que Monsieur Valls peut prétendre représenter lui-même en terme de civilisation. Lui qui s’agite à la tête d’une gouvernement dont le seul « résultat » probant consiste dans la liquidation , le sabordage, le dépeçage de la civilisation classique et chrétienne par les armes de destruction massive que sont l’avortement, la rééducation ou -décérébration- nationale , notamment par le gender,la destruction systématique de la cellule familiale, l’immigration-invasion, en passant par la perversion absolue du droit par la légalisation à peine déguisée de l’euthanasie, sans même parler de la privation de toutes les libertés et l’étouffement fiscalo-bancaire de la libre entreprise, soit au total autant de « sédations finales » assurant la réification utilitariste de l’homme par l’homme, présentée triomphalement à l’Assemblée nationale comme » l’aboutissement » de la révolution selon la sinistre Taubira.
En définitive il me paraît plus éloquent d’évoquer tout au plus une mise en scène d’ un combat probablement truqué de charognards sur les restes d’une civilisations que chaque camp aura contribué savamment, chacun à sa manière, à épuiser.
Monsieur Valls ment sans talent lorsqu’il invente que « la nature du combat a changé de nature depuis 2012 ».
Il y a plus de trente ans que nous avions pressenti le danger et tenté d’alerter nos compatriotes à l’appel de Jean-Marie Le Pen.Mais pour ce service patriote qui aurait pu permettre de prendre en temps utile les mesures courageuses nécessaires pour mettre nos pays à l’abri du danger,
les hordes révolutionnaires qui s’étaient emparées du pouvoir en profitant du désastre des deux dernières guerres se sont acharnées à nous bâillonner à nous discréditer et au besoin à nous persécuter dans le seul but de préserver leurs intérêts mercantiles et serviles.
Il y a pourtant des années que l’arrogance du sentiment terroriste se manifestait au quotidien dans les rues, les écoles et les quartiers.
Jai vu de mes propres yeux et entendu en septembre 2001 un délirant barbu annoncer avec véhémence en pleine Préfecture de Lyon les tragiques évènements que l’on sait pour la seule raison qu’on le priait de faire la queue comme les autres pour recevoir son passeport !
Qu’ont donc fait autant d’irresponsables coupables de l’UMP au PS face à cela, si ce n’est d’offrir gîte et couvert à tant d’aimables « touristes » quand ce n’est armement par l’imbécile croisade sans croix de Lybie du caniche agité Sarkozy ?
Si ces criminels avaient seulement le souci du bien commun, de la Patrie et le moindre sentiment de l’honneur, ils se retireraient humblement des affaires dont ils sont sont bien assez gavés.
L’histoire jugera sévèrement ces bons à rien et prêts à tout. En attendant c’est le peuple exsangue qui paye au prix fort le coût sanglant de cette incurie!
Autrement dit, à part le fait que des musulmans qui se fichent pas mal du coran et des hadiths, et qui vivent pacifiquement, ( ce que l’on accorde bien volontiers à l’auteur de cet article), l’on ne voit pas bien quelle civilisation cette religion a apportée à l’humanité.
Ne voulant pas affirmer sans preuve, je me suis plongée, ces derniers mois, dans les récits écrits par des marchands-découvreurs, et humanistes, se lançant à l’assaut des Indes (orientales).
Tous leurs témoignages , libres de tout préjugé et de jugement, concordent , sur les mahométans en Arabie, au Yémen, en Inde, aux Maldives, etc… : conquêtes au cimeterre, inégalité hommes-femmes, traites négrières, tout ce quenous voyons aujourd’hui se produire sous nos yeux est dans le droit fil de ce qui était décrit par ces voyageurs et marins des 15ème, 16ème et 17ème siècles.
Quelques noms de ces intrépides marchands et voyageurs humanistes:
DI VARTHEMA. PYRARD DE LAVAL. JOAO MASCARENHAS. GOMES EANES DE ZURARA, et tant d’autres.
L’on voit des populations islamisées, anciennement ou récemment; mais point de civilisation.