Hier, au 12h30 la RTS avait invité Alexis Nouss, un champion du monde de la xénophilie et du métissage obligatoire. Son credo : "Elargir le droit d'asile à un droit d'exil" et "Plaidoyer pour un monde métis"
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Ce professeur de littérature générale et comparée à l’université d’Aix-Marseille, est responsable de la recherche "Non lieu de l’exil" à la Fondation Maison des sciences de l’homme à Paris; il est l'auteur de "Plaidoyer pour un monde métis" et récemment de "La condition de l’exilé", aux Editions de la Maison des sciences de l'homme.
Ecoutez :
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Ce matin, rebelotte avec un autre invité, François Crépeau, rapporteur de l'ONU sur les droits de l'homme des migrants qui propose des solutions complètement déraisonnables sur le problème de l'immigration/invasion.
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Merci à ces personnages de préparer la ruine de notre civilisation européenne !
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Et pour que, peut-être, ils soient poussés à réfléchir un peu différemment, je me permets de leur conseiller la lecture du "Camp des Saints" .
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De plus, je suggère aux journalistes de la RTS, pour varier leurs interviews et, pour une fois, donner la parole à des personnes qui pensent différemment, d'inviter par exemple Jean Raspail, Bat'Ye Or ou René Marchand.... et la liste n'est pas exhaustive.
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D. Borer
Je n’écoute plus la radio depuis longtemps…..
Il est déjà scandaleux voir toxique de faire à cette heure des émissions de ce type avec de tels oiseaux. La digestion est contrariée, les nerfs sont à fleur de peau, le stress complet, tous ce que les académies de médecines déconseilles! Du délire, de l’intox et le pire, c’est nous qui payons. Les alémaniques devraient arrêter de soutenir les romands et les grisons.
Entièrement d’accord accord avec les intervenants au forum et merci à Bischoff de mettre en évidence la distinction entre politique et morale, entre nécessité de la vie sociale et conscience individuelle.
Manifestement la RTS effectue un travail d’intoxication intellectuelle extrêmement nocive et de destruction de la Suisse !
Je suis profondément choqué de voir l’invasion que subie la Suisse.
En France , beaucoup pensent que la Suisse sait se protéger pour garder son identité , son lien social, son mode de vie , sa sécurité /tranquillité afin d’éviter les graves problèmes que connait la France ( 850 quartiers de non droit où la police ne peut plus rentrer, ces quartiers communautarisés, ethnicisés où des villes entières Africanisées, délabrées, insécures avec des émeutes récurrentes. Ce n’est plus la France, mais des états dans l’Etat.
Vu l’exemple Français, je pensais que le bon sens Suisse leur éviterait cette grave dérive irréversible , mais je réalise que les Suisses ( dont beaucoup n’osent pas dire les choses) vont rejoindre la France pour se créer , en payant de leurs impôts, des ghettos avec des populations ingérables, in intégrables.
Quand je me promène dans des petites villes retirées qui étaient authentiques, charmantes , calmes, et que je vois des populations Africaines et autres déambuler; je prie pour la Suisse …une bombe à retardement …
Je dois dire que dès que j’ai entendu qui était l’invité de la rédaction, j’ai éteint ma radio, et je le fais souvent en fonction des invités, trop souvent biaisés. Je ne veux pas que mes oreilles souffrent et je préfère aller me faire un bon espresso all’italiana. On devrait tous se retrouver au bas d’une lettre (signatures) et l’envoyer à la direction de notre radio. Mais on nous répondra (ce qu’en son temps on m’a répondu) que c’est difficile de trouver un contradicteur. Qu’ils aillent voir la chaîne TV italienne La 7, et ils verront de vrais débats contradicteurs, quelques fois assez musclés il est vrai, ce qui en somme est très peu Suisse, il faut qu’on reste dans le consensus, n’est-ce pas ?
L’argumentaire de M. Crépeau consiste à dire : les migrations ont toujours existé. C’est un phénomène inévitable. L’actuelle est également inévitable et va se poursuivre. Il faut donc se résoudre à accueillir les migrants. Voilà pour la logique. Vient ensuite l’inévitable culpabilisation de l’autochtone européen : il faut passer de l’oppression des migrants à l’octroi du droit à la migration. Enfin, l’enfumage économique : la science montre que la migration est bénéfique au pays d’accueil. Tout cela est d’une mauvaise foi abyssale, d’une lâcheté répugnante, d’une bêtise à front de taureau, mais peut être dit sans recevoir de contradiction sur une chaîne de radio publique.
L’opinion de Crépeau est bien exposée dans l’article suivant : http://www.theguardian.com/world/2015/apr/22/uns-francois-crepeau-on-the-refugee-crisis-instead-of-resisting-migration-lets-organise-it. La réflexion morale est intéressante. Une illustration typique de nihilisme politique, c’est-à-dire d’absence de toute perception des intérêts collectifs d’une communauté humaine (l’helvétique, en l’espèce). Le nihiliste politique ne raisonne qu’en termes d’intérêts d’individus. Il pause l’impératif catégorique « ne fait pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’on te fasse », il enchaîne avec « si vous étiez vous-même dans la situation des migrants qui viennent en Europe, accepteriez-vous d’être rejeté ? Réponse : non », et vient alors la conséquence imparable : alors, laissez les migrants s’installer en Europe. La seule question qui vaille est d’organiser cette migration au mieux. Il pose une question morale et aboutit à une réponse politique, mais sans le dire.
Ce nihilisme politique, donc, perd complètement de vue la distinction entre la politique et la morale, distinction indispensable que rappelle, par exemple, un penseur éminent comme Julien Freund. La première répond à une nécessité de la vie sociale alors que la seconde est de l’ordre de la conscience individuelle. Confondre morale et politique, c’est aussi ignorer le bien commun, qui assure la cohésion des citoyens, et sur lequel Julien Freud, en 1967, dit notamment ceci : « Une collectivité politique qui n’est plus une patrie pour ses membres, cesse d’être défendue pour tomber plus ou moins rapidement sous la dépendance d’une autre unité politique. Là où il n’y a pas de patrie, les mercenaires ou l’étranger deviennent les maîtres ».
Face à la migration massive, que l’on est sommé d’accueillir sans discussion, il faut affirmer avec ardeur et confiance l’existence de l’intérêt commun des hommes et des femmes qui composent une collectivité politique (les Suisses, pour ce qui nous concerne), et méditer ce qu’est la fonction politique au sein d’une société, selon cette profonde définition du même Freund : « Elle est l’activité sociale qui se propose d’assurer par la force, généralement fondée sur le droit, la sécurité extérieure et la concorde intérieure d’une unité politique particulière en garantissant l’ordre au milieu de luttes qui naissent de la diversité et de la divergence des opinions et des intérêts «
Le premier, le prof, c’est un martien! En tous cas, s’il me traite « d’être humain », il trouvera à qui parler! Basta, à la trappe! Au suivant.
Quand au « rapporteur de l’ONU », il a besoin de mettre un peu de pain sous son beurre. Aïe! On atteint des sommets avec la « décriminalisation de l’immigration clandestine »! J’ai déjà le vertige. A la trappe.
A Annik: je ne me suis pas forcé jusqu’à la fin.
Je passe sans plus tarder à l’article de Bruno Bertez.
Un « journaliste » RTS profite d’un travail stable, d’un salaire abondant et de conditions sociales irrésistibles. Pour conserver ces avantages, il lui suffit de demeurer servile, assujetti à la direction RTS. Ce poltron bien payé n’a aucune envie de prendre des risques. Même si ce faisant il contribue à l’anéantissement de son propre pays et propose à ses enfants un avenir lugubre.
Malheureusement, il a été formaté à la pensée unique depuis bien longtemps, s’est habitué à nier la réalité et à déformer l’évidence pour promouvoir son idéologie et celle de ses supérieurs. Il est passé maître à faire avaler des couleuvres à ses auditeurs.
C’est à nous de régurgiter cette désinformation indigeste et de rechercher la vraie information ailleurs.
La RTS ne changera pas de cap, et les millions supplémentaires qui affluent dans sa direction ne serviront qu’à convier des intervenants encore plus déplorables.
Je n’arrête pas de répéter tous azimuts que Le Camp des Saints est en train de devenir réalité. Je l’avais lu le Camp des Saints il y a des années et je suis effaré de voir à quel point les prévisions de ce roman étaient exactes. Non seulement effaré, mais attristé, parce que nous voyons notre civilisation d’effondrer sous nos yeux. Nous sommes malheureusement cuits, à moins d’une révolte conduisant à une guerre civile.
INCROYABLE les commentaires de cet abrutis !….comment peut on éructer des mensonges pareils…..j’en tombe des nues des propos de cet imbécile !..et cette RSR qui jubile d’en rajouter encore et encore et ce type est fou à lier !!!….en 45, ce fou aurait été fusillé sans préavis !
Je suis effaré que des gens sensé être intelligents puissent dire des âneries pareilles !
Pourquoi s’abaisser à leur demander quoi que ce soit quand il suffit tout simplement de les empêcher d’émettre?
Je dois me forcer d’écouter jusqu’à la fin les propos débiles et idéologiques de M. Crépeau, c’est tout simplement insupportable! Il est complètement déconnecté de la réalité. Honte à notre radio étatique avec sa désinformation continue.