7 commentaires

1. Ce serait discréditer les droits démocratiques agir de la sorte le peuple ne l’acceptera pas et la situation évolue il faudra bien que l’ UE aborde le problème .

2. Le sketch des mesures d’accompagnement, on a déjà eu. De nouveau de l’enfumage pour concurrencer l’UDC. Cette Europe me fais définitivement ch***.
   Je reviens de Derborance, bonne nouvelle, la zone n’est pas encore sinistrée; un ultime espoir de pouvoir aller s’y cacher. Il faut monter de plus en plus haut.

3. @G. Vuilliomenet

   Je le sais bien, hélas !

4. @ Pierre H.

   Vous comme moi sommes trop vieux pour immigrer au Canada, en Australie ou en Nouvelle-Zélande.

5. Nous, les Suisses, devrions tous émigrer au Canada ou en Australie et laisser les zélotes europhiles se démerder avec leurs immigrés qui vont surpeupler le pays et qui ne voudront pas payer 5 centimes d’impôts mais exigeront des allocations faramineuses. Peut-être alors comprendront-ils quelque chose.

6. Les chefs des divers partis de gauche et libéraux, depuis de nombreuses années, sont à la tête de groupes de pressions comme le NOMES, UNIA, Economie suisse, Avenir Suisse, ont formé un lobby.
   Ce lobby, alléguant la défaite de notre pays, s’est mis en rapport avec l’ennemi pour cesser le combat.
   Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force, de l’ennemi.
   Infiniment plus que leur nombre, ce sont les socialistes, les verts, les diverses gauches et les libéraux de notre pays qui nous font reculer. Ce sont les politiciens corrompus, les internationalistes, la tactique du salami des mouvement de gauche qui ont surpris notre peuple au point de nous amener là où nous en sommes aujourd’hui.
   Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
   Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n’est perdu pour la Suisse. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus à certaines occasions peuvent se retourner contre notre ennemi et faire venir un jour la victoire. Protégeons la démocratie directe pour les défaire.
   Car la Suisse n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle a un vaste réseau derrière elle. Elle peut faire bloc avec les nations libres qui tiennent leur nation. Elle peut, comme, l’Australie, la nouvelle Zélande, compter sans limites sur l’immense sagesse de son peuple et de sa démocratie.
   Cette guerre n’est pas limitée au territoire de notre pays. Cette guerre n’est pas tranchée par la bataille du 6.12.1992 ou celle du 9.02.2014. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n’empêchent pas qu’il y a, dans l’univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd’hui par la force corruptrice, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force démocratique supérieure. Le destin du monde est là.
   J’invite les patriotes, les citoyennes et citoyens suisses qui se trouvent partout dans le monde, avec leurs idées et leur cœur, j’invite les entrepreneurs et les travailleurs à protéger notre démocratie direct de toutes leur force.
   Quoi qu’il arrive, la flamme de la résistance suisse ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas.

7. Après chaque votation, ceux qui ont perdu pourraient dire : « Il faut revoter car ceux qui ont gagné n’ont pas correctement évalué les conséquences de leur vote ! » Exemple : Lorsque le peuple a accepté la libre-circulation, c’était à mes yeux une erreur monumentale. Mais, en véritable démocrate, je me suis dit : « Le peuple doit assumer ses choix (et éventuellement en tirer les conséquences) » ! Dans le cas du vote du 9 février, les conséquences n’ont même pas pu être évaluées puisque la décision du peuple n’a même pas été mise en oeuvre, ce qui est scandaleux !