Vaud: La gauche veut « dialoguer » avec les squatteurs

L’Etat ne peut pas durcir le ton face aux squatters

Les intentions affichées en octobre 2013 ne se concrétiseront pas. Il faudrait changer le droit fédéral.

Pour Nicolas Rochat Fernandez, président du groupe socialiste "la justice doit faire son travail et nous avons une marge de manœuvre au moyen des contrats de confiance, de la médiation et du dialogue. Il ne faut pas faire de généralités à partir de cas particuliers", ajoute-t-il.

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2 commentaires

  1. Posté par Philippe le

    Des squatters chez Dolivo…vite !

  2. Posté par Frederic Bastiat le

    « la justice doit faire son travail et nous avons une marge de manœuvre au moyen des contrats de confiance, de la médiation et du dialogue. Il ne faut pas faire de généralités à partir de cas particuliers »

    Il n’y a aucune marge de manoeuvre: c’est un trouble à la propriété et le rôle de l’état c’est de protéger les personnes et les biens, c’est-à-dire la liberté et la propriété. Si l’état commence à protéger ceux qui portent atteinte aux biens et aux personnes, c’est la fin de l’état de droit.

    Contrairement à ce qu’il dit, il n’y a aucun dialogue ou médiation à avoir lorsque les uns violent l’un des droits les plus élémentaire des autres. Je ne dialogue pas avec un violeur en prétendant qu’on a une marge de manoeuvre pour trouver un modus vivendi lui permettant une fellation ou des attouchements forcés comme si cela était satisfaisant puisqu’on évite le viol intégral. C’est ridicule, absurde, dangereux et immoral.

    Il faut virer ce genre de politiciens de nos hémicyles et de nos mairies le plus vite possible si on ne veut pas prendre le chemin de la France.

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