Entretien avec Didier Tauzin, général de division, auteur de Rebâtir la France.
Vous souhaitez vous mettre au service de la France en vous engageant en politique.
Deux événements vous y poussent : l'un est passé, les grandes tensions nationales consécutives à la loi Taubira ; l'autre, vous l'anticipez, c'est une éventuelle vacance du pouvoir. Pourquoi imaginer un tel scénario ?
Deux événements vous y poussent : l'un est passé, les grandes tensions nationales consécutives à la loi Taubira ; l'autre, vous l'anticipez, c'est une éventuelle vacance du pouvoir. Pourquoi imaginer un tel scénario ?
Tout concourt à ce que nous allions au drame : le chômage, la dette, l’immigration, l’islam, le laïcisme, la régression culturelle et morale…
C’est un terreau.
Mais le principal facteur de risque, c’est ce que de Gaulle appelait « le système désastreux des partis ».
C’est parce qu’ils étaient divisés que les Gaulois ont été vaincus par Jules César ; rappelons-nous des Armagnacs et des Bourguignons, des guerres de religion, de la Fronde, etc.
C’est un terreau.
Mais le principal facteur de risque, c’est ce que de Gaulle appelait « le système désastreux des partis ».
C’est parce qu’ils étaient divisés que les Gaulois ont été vaincus par Jules César ; rappelons-nous des Armagnacs et des Bourguignons, des guerres de religion, de la Fronde, etc.
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@ Laurent Lefort,
Il faut prendre en compte, qu’a chaque crise sociétale, le peuple admet que le rôle de l’armée est de défendre les lois du pays et cela principalement depuis Napoléon en tout en France.
Le rôle de gardien de la constitution de l’armée aurait bien sauvé des choses en France si elle avait été plus souvent observée. Et si la constitution du pays est laïque, l’armée doit respecter les règles de la laïcité, ce qui n’a jamais été le cas en France, ni avec pétain ni avec le Charlot.
Hier soir (je suis à Krungthep etc) j’ai commencé la lecture du livre du général. Je l’ai laissée à 90%
Je suis très intéressé de connaître les avis qui précèdent après lecture du livre. Un passage sur la laïcité ne prend que quelques lignes. La religion n’y est pas une charia dont beaucoup ont souffert, dont moi.
J’ai appris, par un documentaire, que les romains avaient leur religio, et qu’il considéraient les chrétiens comme tenants d’une superstitio. C’est tout dire. Ceci dit, je ne me prive pas de critiquer les marxiste que j’ai rencontrés, mais pas Marx que je n’ai pas lu. J’ai calé à la deuxième page du premier volume de Capital. Je m’abstient donc, et certains gagneraient à le faire aussi. Ou tout au moins à cerner leur péremptoires avis d’une mince clôture d’humilité.
Son vécu sur le Rwanda est peut-être intéressant à écouter. J’imagine que cela ne plaira pas énormément à un intervenant de ce forum… https://www.youtube.com/watch?v=tQbqGqpt0ls
Celui-ci est laïc et reconnaît que la France, de par son histoire, après avoir été celte, est la fille aînée de l’Eglise. Cela peut paraître choquant aux yeux de certains, mais c’est ainsi. De balayer ses propos sous prétexte qu’il s’appuierait un peu trop sur cette vision, je trouve cela assez malvenu en ses temps de guerre civile et de totalitarisme à peine voilé (voir la dernière loi sur le renseignement). Faut croire que de voir à nouveau le nabot bourré aux métabloquants, arriver au second tour en 2017, ne gênerait pas plus que cela, certains, alors même que la situation est désespérée. Le Fn n’est plus une solution, ou alors très provisoire, à la vue de la dernière visite de la Marine aux Etats-Unis. Si j’ai bien suivi un autre dialogue de ce Tauzin avec Jovanovic, celui-ci ne préconise pas de coup d’Etat, mais j’ai encore un peu de peine à voir les tenants et aboutissants de son « groupe de réflexion ». Mais à choisir entre tous les autres pantins, si j’étais Français, il est clair que je m’intéresserais un peu plus à ce personnage.
Vautrin, cette débâcle a commencée avec le Charlot qui partait se cacher dès que la moindre menace touchait la France, si il était encore vivant, il se cacherait au pôle-nord !
Chère Aude, je n’ai jamais écrit que le Général cherchait à imposer sa foi au peuple Français. J’ai vécu ma prime jeunesse sous de Gaulle, et jamais celui-ci n’a procédé ainsi. Et jamais il n’a évoqué quelque Divinité pour soutenir son action, sinon Notre Dame La France. Et pourtant il était très catholique, et seuls les communistes et les gauchistes y voyaient un inconvénient.
Là n’est pas la question : oui, nous avons un héritage, je le répète : celte, grec, romain, chrétien et même germanique. Il n’est pas question de s’en défaire, mais au contraire de s’appuyer sur lui, notamment pour vaincre l’islam. Mais il est aussi un principe, qui a mis fin à huit guerres de religion, c’est un édit de tolérance, que complète le principe très radical, il faut bien le reconnaître, de laïcité. Celui-ci reconnaît le libre exercice des rites de chaque croyance, pourvu qu’ils n’entrent pas en conflit avec la sphère politique. Cela ne va pas plus loin. Aucune religion ne peut prétendre être le couronnement de l’édifice politique, sinon c’est la charia.
Les valeurs, dites-vous. Soit ! Mais quelle religion pourrait exciper de la détention de valeurs universelles (en fait elles le font toutes, donc c’est très douteux) ? Et j’irais plus loin, quelle religion pourrait exciper de la morale ? Toutes… DONC aucune, dirait le héros du « Nom de la Rose » ! J’écris en ce moment même un chapitre : « religions, morale et éthique », où il est dit que l’éthique, principe de refoulement et de transfert, n’est pas la morale. Les valeurs ne sont pas transcendantes, elles sont un partage historique entre hommes d’une même nation et d’une même civilisation. Un partage éthique. Mais aussi relatif. Bien sûr, nos décadents n’ayant aucune éthique, hédonistes et pervers qu’ils sont, ils vont au gré de leurs désirs jamais satisfaits, jamais refoulés. Il est vrai qu’ils appellent cela « progrès », mais ce n’est qu’un vain mot. Si le progrès c’est essayer de changer l’homme comme le potier façonne l’argile, alors aucun progrès n’est possible, car l’humain demeure l’humain. Et, en fin de compte, considérant les délires progressistes, c’est heureux !
Pauvre général !!!
Comme si qui ou quoi que ce soit allait empêcher la décadence et le fascisme islamo/FN de s’installer dans ce beau pays !
Il faut une solide expérience de la vacuité intellectuelle pour parvenir à débiter plus d’une connerie par phrase. Ce brave soldat y parvient pourtant sans peine:
« C’est uniquement parce qu’il est créé que l’homme est sacré. Alors que si l’homme se refuse comme créature, s’il refuse la souveraineté de Dieu, il se retrouve orphelin et centré sur lui-même. Mais lui-même sans Dieu, c’est le néant. A partir de là, tout est permis : il n’y a aucune raison qu’on n’aille pas jusqu’à légaliser l’inceste ou la pédophilie ! »
Voter pour qui ?
Cher Vautrin, qui vous dit que le Général Tauzin imposera sa foi au peuple français? Il a un respect prononcé pour toute personne, simplement , il ne souhaite pas que la France devienne musulmane mais conserve ses racines chrétiennes. En quoi cela dérange?
N’est-il pas au-dessus de tous ces carriéristes politiques qui se fichent comme d’une guigne du peuple.
Où sont les valeurs par les temps qui courent? C’est un concentré de décadences… Et ils appellent cela du progrès…Pauvres ignorants!!!
Une des premières interview que le Général Tauzin a accordé à la presse fut TVliberté. Ce haut fonctionnaire m’a particulièrement impressionnée. J’ai eu le réconfort de croire que la France, ma douce France n’était pas simplement et uniquement livrée à des pillards, des islamistes, des partis politiques de plus en plus nauséabonds, des médias vendus et corrompus.
Le Général Tauzin incarne la France de Gaulle.
Combien a-t-il raison de déclarer que l’homme sans Dieu est un homme à la dérive, sans idéal, sans moral , sans intérêt de servir sinon de se servir. Les idéologies de l’argent et de politiques dépravées et corrompues.
L’idéologie à ses raisons que la raison ne connaît pas…Elle mène au chaos.
Que le Créateur, L’Archange St-Michel, Jeanne d’Arc le conduise à bon port et le soutienne!
Vous révez, la France ne peut pas changer.Essayez déjà de supprimer une stupidité comme la semaine de 35 heures :Vous verrez le lendemain des millions de « syndicalisés » dans la rue et organiser des grèves…
Bien d’accord avec vous Vautrin, j’ignorais avant de lire cette entrevue que cet homme était tant axé sur la religion.
C’est à mon avis sa principale faiblesse car vouloir imposer une croyance à un peuple c’est l’asservir.
Voilà un homme!
Est-ce qu’on aurait quelqu’un de similaire en Suisse ?? Blocher est colonel, non ? On peut le nommer Général, puisque nous sommes en guerre contre nos « élites » !
« Rebâtir la France »? Assurément! En quelques lignes je voix un homme debout! Et ça, ça remonte!
Oui Vautrin, bonne question! Il serait intéressant, et même capital, d’apprendre la pensée du général à ce sujet. Si je l’ai dite, je la répète: le plus grand malheur d’Israël, à dit une « lampe sainte » d’un temps passé, c’est quand on a fait de la Torah une religion. J’ai beaucoup ri car j‘avais trouvé ça tout seul mais en ce qui concerne les chrétiens et la bible. Dans le premier chapitre de la Genèse j’ai constaté deux erreurs dans les traductions. Tellement énormes qu’elles tiennent depuis presque 2000 ans. Comme quoi ils ont traduit à partir du connu. Ca relève de la psychanalyse!
Bref, tout est à revoir! J’y reviendrai, à petits pas.
Quand à ce général, je jubile. Le livre est disponible en format Kindle, donc téléchargé! C’est pour cela que j’abrège.
Il y a des points sur lesquels on ne peut qu’être d’accord avec le Général. Mais pourquoi Diable y mêler la religion ? Nous sommes de culture celto-romano-judéo-chrétienne, c’est un fait, seuls les gauchistes le contestent. Mais ne voit-on pas que ce sont précisément les idées chrétiennes perverties qui ont donné le socialisme et les « droits de l’homme » ? Une société n’a que faire des croyances : au contraire, elle doit les tenir en lisière. Ce n’est pas un dieu qui décide de l’organisation sociale, mais le contrat implicite ou explicite que passent les hommes entre eux. C’est évidemment transitoire, cela s’appelle : « l’Histoire ». Mais c’est ainsi.