Exclusif. Quand Valls évoque l’interdiction du FN

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Vers une interdiction du FN ?

Devant une quarantaine de cadres du mouvement, la présidente du Front national s’est inquiétée à haute voix : « J’ai appris que Manuel Valls étudie la question de l’interdiction du Front national », a-t-elle attaqué, citant une note juridique commandée par le premier ministre à ses services pour savoir si une telle interdiction est possible.

Les membres du FN se sont ensuite alarmés devant la sortie publique de l’avocat ultra-médiatique Éric Dupond-Moretti, selon qui « il faut interdire le Front national ». « C’est une opération de com pilotée par Manuel Valls, accuse un ténor frontiste. Il connaît notre faiblesse structurelle et donc il attaque sur tous les fronts en même temps. »

Certains voient dans les offensives contre le financement du parti et les emplois des assistants parlementaires du FN une campagne « montée » par la gauche et pilotée par le premier ministre.

 

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7 commentaires

  1. Posté par conrad.hausmann le

    Il est toujours possible de changer de nom pour commencer, par exemple: »Les vrais-repulicains. »

  2. Posté par C. Donal le

    « Lorsque l’Etat force l’installation multiethnique, il crée les conditions pour une éventuelle guerre civile. Lorsqu’il insiste et poursuit dans cette voie, il crée forcément une crise structurelle proportionnelle à la masse de populations importées aux valeurs très différentes. L’Etat crée des conflits, encourage la justice par autodéfense, détruit le consensus social des valeurs et détruit la précondition à une paix sociale. Par haine et soif de pouvoir. Une simple population, consistant en une douzaine de groupes ethniques en animosité les unes contre les autres, ne prendra jamais le pouvoir sur l’Etat. Une démocratie a besoin d’un peuple pour l’existence d’un débat. Une dictature, un système despotique, totalitaire, a besoin d’une population. Les institutions, ONU, UE, etc. ne sont pas contrôlable depuis le bas mais déterminent nos vie; règles de vie, alimentation, avec qui nous devons vivre dans notre propre pays, contre qui il faut partir en guerre et dans quels conglomérats bancaires et impôts notre argent disparaît. »
    Manfred Kleine-Hartlage (discours en allemand) https://www.youtube.com/watch?t=295&v=xaOMmLABb7U

  3. Posté par Consterné le

    @Pierre H. le 22 mai 2015 à 10h34 : Bien vu !

  4. Posté par Jacouille le

    Et ça ose défiler une plume dans le cul et la bouche en cœur dans des parades grotesque « je suis charlie » en prônant la liberté d’expression ????…..quelle bande d’ordures ces socialistes !….ils doivent avoir une sacrée montagne de cadavres sous le tapis pour vouloir s’accrocher ainsi au pouvoir !

  5. Posté par Pierre H. le

    @Vautrin : « …il ne resterait plus que la dissidence, donc, à terme, la guerre civile. »

    C’est peut-être ce qu’ils cherchent ! C’est en tout cas ce qu’il faut en vue du grand remplacement ! Une bonne guerre civile et le chaos puis, des cendres et des ruines, renaissance d’une nouvelle civilisation. Les « élites », elles, seront probablement aux Bahamas pendant ce temps… Les lieux sont fictifs mais l’idée est là !

  6. Posté par Vautrin le

    Il est très probable que, dans la logique totalitaire socialiste, Valls envisage d’interdire le FN, même si par ailleurs ce Parti n’a jamais violé la légalité. C’est un signe de panique, que corroborent les envolées délirantes de Valls, consécutif à la crainte éprouvée par les socialistes lorsqu’ils constatent que près de 30% des suffrages exprimés sont en faveur du FN. Les socialistes savent que le bilan de leur despotisme est désastreux, mais, pour des raisons combinant l’appétit de pouvoir et des délires idéologiques, ils veulent à tout prix conserver les commandes du pays. Ou, à la rigueur, les céder momentanément au parti frère, l’UMP.
    Il n’est pas impossible que des juristes gauchistes, capables de distordre les textes, trouvent prétexte à interdire de FN, donc à dénier à 1/3 des citoyens le droit démocratique à s’exprimer. Mais les conséquences de ce coup d’État – car c’en serait bien un – risquent d’être très dangereuses, car privés des moyens légaux de faire pièce aux déprédations socialistes, il ne resterait plus que la dissidence, donc, à terme, la guerre civile.

  7. Posté par Pierre H. le

    Moi, je crois plutôt que c’est le socialisme qu’il faut interdire ! Il a prouvé sa nocivité et toxicité et a déjà passé le milliard de morts. Le prix de la liberté est l’éternelle vigilance ! Eradiquer le socialisme est faire preuve de bonté et de civisme !

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