C’est donc confirmé : aucun chef d’État, aucun chef de gouvernement de l’Amérique du Nord ou de l’Union européenne (à la seule exception de la Grèce) n’honorera de sa présence les grandioses cérémonies qui marqueront, le 9 mai à Moscou, le soixante-dixième anniversaire de la capitulation du IIIe Reich.
Poutine, « tout seul »
Le CF et une grande partie de la classe politique sont « européistes », M. Burkalter en tête.
Nous sommes clairement du mauvais côté en ce moment grâce à eux.
La plupart souhaitent que la Suisse soit totalement dans l’UE, socialement, économiquement et politiquement, quitte à piétiner les principes sur lesquels a été fondé la démocratie suisse. Dont de plus en plus de votations populaires qui ne conviennent pas à leur planification.
Le pire c’est qu’ils font cela par conviction, persuadés de savoir mieux que le Souverain.
Ils courent après l’UE, comme aveuglés par les certitudes d’une autre époque (par exemple 1992 et le NOMES) sans tenir compte le moins du monde du mécontentement populaire, étrangers y compris. Ils pensent qu’en continuant à agir, comme si de rien n’était, la réalité qu’ils n’aiment pas voir allait s’effacer par enchantement.
Si vous avez un peu de perméabilité sociale et que vous parlez avec ces personnes établies en Suisse depuis de nombreuses années (et je ne pense pas là à cette minorité de gens bien formés et hors- sol qui ne voit que des avantages à la libre circulation) vous verrez qu’ils ne comprennent pas que la Suisse ne se défende pas contre les menaces continuelles de l’UE et cette immigration de masse.
M. Burkalter, avec son ton monocorde et faussement modeste, est très doué au jeu de la dissimulation par temporisation, car c’est un homme intelligent.
Il n’y avait qu’à l’écouter attentivement lorsqu’il était président de l’OCSE, mettant sans vergogne sous le tapis ce qui se passait réellement en Ukraine, sous couvert de diplomatie et afin de ne pas froisser les « partenaires » européens et américains.
Rappelez-vous, après le massacre de Maïden, organisé par la CIA et ses satellites comme la Pologne, celui d’Odessa, prélude à la création d’un état nazi et d’une guerre indigne, à fin de propagande anti-russe primaire au service de la propagande américaine.
Rappelez-vous les décisions politiques prises tout au long de cette année par nos autorités… Pitoyables!
Pour soutenir quoi?
Ceci:
http://www.les-crises.fr/actu-ukraine-07-05-2015/
Lorsque vous aurez admis que la plupart de ces personnages, à Bern, ne sont plus au service de la population mais du dogme européen, vous aurez compris que le principe de neutralité n’existe plus et que ce pays appartient désormais à ce grand machin totalitaire de Bruxelles, et donc aux « étatzuniens ».
Avez-vous entendu un débat public sérieux sur TAFTA que s’apprêtent à signer nos autorités?
Nous demandent-ils notre opinion, alors que nous aurons droit aux OGM, aux brevets sur le vivant et au gaz de schiste, récemment autorisés par Bruxelles et dont les médias ne parlent pas ? Au démantèlement des services publiques, de la protection sociale et sanitaire, etc. pour le seul bénéfice d’entreprises privées qui ne s’embarrasseront pas de la majorité d’entre nous.
Regardez l’état réel de la Grèce, du Portugal, de l’Espagne, de l’Italie et désormais de la France et de l’Allemagne. Vous verrez le prélude de ce qui nous attend si nous n’osons pas dire non à la voie toute tracée dans laquelle nos autorités nous conduisent.
Attendez de voir les quotas de réfugiés qui vont nous être imposés par l’UE, en plus de l’immigration de masse perpétuelle, européenne et extra européenne, qui commence à nous étouffer.
Le problème, ce ne sont pas les étrangers en eux-mêmes, puisque la Suisse a été un modèle de l’intégration qui a toujours bien marché! Le problème, c’est la quantité et la rapidité, comme lorsque l’on verse un liquide dans un entonnoir disproportionné par rapport au contenant, tout en refusant de voir que celui-ci déborde
Quand vont-ils accepter ce fait comme une simple équation dont il faut absolument tenir compte aujourd’hui et avant qu’il ne soit trop tard!
Je suis suissesse depuis de nombreuses générations et j’aime ce pays, même si il y a toujours des choses à améliorer, comme partout.
Mais une des caractéristiques de la mentalité moderne suisse, et je suis affligée de devoir le dire ainsi, est la lâcheté de ses représentants politiques et d’une grande partie de sa population.
Se taire, ne pas faire de vague, ne pas se confronter, ne pas se défendre, ne pas prendre de risque, ne pas trop dire la vérité, etc. etc.
Cette attitude de couardise générale est malheureusement très prononcée en pays romand.
Une sorte de peur fondamentale d’être taxé de mauvais sujets et de ne pas être aimé, de ne pas faire assez bien et comme tout le monde, de ne pas réussir quitte à trahir ses principes.
Nos ancêtres doivent se retourner dans leur tombe!
Ce n’est pas Poutine qui est tout seul, c’est l’Occident face au reste du monde.
Et la Suisse avec , 29 pays européen, par la grâce de nos élites, et… dedans jusqu’au cou!
Pourquoi Didier Burkhalter ne se rend-il pas à Moscou ? (je précise que je ne regarde pas la TSR. A-t-il donné une explication au JT ?…)
Et il y a le grand silence de nos médias… Que n’entendrions- nous pas s’il s’agissait d’une cérémonie aux USA et que nos politiques n’y allaient pas ! Ça serait inimaginable, intolérable, irresponsable. Mais là pas un mot.
Une honte surtout en ce qui concerne la France. L’armée russe ayant libéré des camps de concentration et la première arrivée à Berlin, combien de descendants Français actuels seraient encore là sans la participation de la Russie à la défaite de l’Allemagne nazie ?
Combien de Russes ont payé de leur vies et se sont sacrifiés durant la deuxième guerre mondiale ?
N’oublions pas que sans le front russe à l’Est qui occupait une bonne partie de l’armée allemande le débarquement en Normandie aurait été soit impossible, soit une véritable boucherie.
L’Allemagne locomotive de l’UE en accord avec les sanctions économiques contre la Russie et du coté des Ukrainiens. Mais est-ce un hasard ? Les fameux einsatzgruppen ukrianiens il y a plus 70 ans. Certaines « amitiés » on la vie longue…
L’Occident est dirigée par des minables, mais la Russie n’est pas seule. Honte à la Suisse de ne pas conserver sa neutralité.
Notre chère présidente, Mme Sommaruga se précipite au défilé théâtral de » je suis Charlie » mais n’ose pas aller à Moscou. C’est affligeant, la Suisse fédérale s’applatit comme les supers grands de ce beau monde…. Les US mènent le bal.
Qu’auraient décidés ces mêmes dirigeants occidentaux s’il n’y avait pas eu le conflit ukrainien ? Auraient-ils participé à ces commémorations ? J’imagine que oui. C’est à croire que pour ces hypocrites, un conflit régional passager – et de surcroît déclenché et entretenus par eux-mêmes – et plus important à leurs yeux que l’horrible seconde guerre mondiale. Ils n’ont apparemment aucune notion de l’Histoire longue. Honte à eux. Ils le regretteront un jour. Si la Wehrmacht n’était pas allé s’embourber en Russie, avec tous les soldats russes qui ont donné leur vie pour la liberté, le sort de cette guerre aurait pu être différent. Même s’ils ne sont pas dans le même camp que les Russes, j’aimerait bien que les Polonais rappellent aux soi-disant héros américains que lors du débarquement de Normandie en 1944, les USA ont envoyé en première ligne environ 50’000 soldats polonais, qui évidemment en ont pris plein la tronche, avant que ces GI’s ne débarquent à leur tour avec forcément une opposition allemande un peu réduite (moins de cartouches, etc.).
Je tiens à rajouter que j’ai de la peine, à bientot 50 balais, de me dire que la situation géo-politique mondiale, qu’on m’avait fait accepter car les « occidentaux » m’étaient presentés comme les garants des libertés, n »est, au fait, qu’une énorme arnaque. Plus j’avance et plus je constate que les pourris c’est « nous » ! Je peux me tromper, mais j’ai vraiment l’impression que la Russie actuelle, même si elle n’est pas parfaite, est un des derniers rempart à la mondialisation et à l’inversion des valeurs si chère à nos « progressistes » europhiles… (j’ai toujours de la peine avec le mot « europhile », je le trouve vulgaire)
Après le « coup d’état » européen en Ukraine, ça ne m’étone pas… et j’imagine déjà les manuels scolaires européens sur la WW2, dans quelques années, dire que les Russes n’ont apporté qu’une négligeable participation a la victoire sur les allemands… Si la suisse rentre dans l’€urope je demande l’asile politique à Poutine !
Enfantillage scandaleux et inadmissible, la capitulation du 3ème Reich ne doit faire l’objet d’aucune négociation, d’aucune contrainte, d’aucun marchandage, il est scandaleux que l’Occident refuse d’y participer. En effet, sans l’action des russes, le destin du monde aurait peut être été différent.
L’Europe et la Russie sont des voisins directs qui doivent collaborer, s’associer et non pas se battre, c’est la seule voie d’avenir possible.
Tout seul ? pas si sûr ? l’occident moisi qui renie ses racines classiques et chrétiennes ne suscite pas l’enthousiasme de ses peuples pour employer un euphémisme. Il y a beaucoup de jeunes et de moins jeunes qui discernent les manigances guerrières et exclusives de l’Otan en Ukraine et ailleurs, et qui apprécient la résistance responsable du Président Poutine qui avait notamment mis en garde l’occident contre la déstabilisation imbécile et totalement irresponsable pour le coup de la Lybie, de même pour la Syrie. Notre politique étrangère à la solde de notre pire allié est aussi pitoyable que la politique intérieure.Pauvre France abîmée par ces hordes barbares accrochées au râtelier.
Poutine, Orban, l’espoir du continent européen contre l’Empire…
La stratégie US et UE est d’isoler Poutine afin de réaliser leur plan d’encerclement de la Russie dont ils souhaitent la ruine économique. Au passage, ces crétins oublient les quelque 20 millions de soldats Russes envoyés en vagues humaines par Staline pour faire barrage à Hitler. Sans eux, les Débarquements n’auraient pas pu réussir.
Ils jouent un jeu dangereux. La logique veut que maintenant Poutine se tourne vers la Chine et l’Inde, car le centre de gravité de la puissance se déplace vers l’Extrême-Orient. L’Histoire n’a pas dit son dernier mot, et l’on a l’impression d’être revenus en 1939.