Nous ne sommes pas prêts à faire face à la guerre islamique

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Par Alain Schlachmuylder (Riposte Laïque)

Nous y sommes. Le djihad, avec ce qu’il comporte de cruauté, de perdition morale et intellectuelle, est à nos portes et nous lui avons laissé les clés. La troisième génération à problème d’immigrés arabo-musulmans incontrôlables nous défie de leurs fiefs arides mais aussi de leurs sols d’adoption. Merah, Koulibaly, Nemmouche et plus récemment Sid Ahmed Ghlam sont quelques uns des tristes exemples dont se revendiquent aujourd’hui certains jeunes des banlieues. Mais le plus inquiétant est que leur message de haine a aussi un écho auprès des ados de la classe moyenne qui veulent s’affirmer loin des valeurs trop poussièreuses transmises par leurs aînés.

Hier, j’étais dans le métro. Un jeune coq maghrébin accompagné de ses « frères » gueulait dans la rame bondée que nous ne pouvions rien contre eux… qu’il était l’avenir.

Personne n’a bougé. Ils ont tous regardé par terre… sauf quelques ados peu rassurés qui riaient.

Nous ne sommes pas prêts à faire face. Nos politiciens sont des lâches et l’exemple ne viendra pas d’eux, imbus de leurs personnes et satisfaits -ou soulagés- de ne pas faire de vagues et de ne pas brusquer une opinion publique lâchement silencieuse mais qui paradoxalement ne les soutient plus. Ils sont juste bons à faire des moues sévères, attristées et offusquées devant les caméras racoleuses. Nous avons oublié que les mots honneur, respect et dignité ont une vraie définition dans le dictionnaire et sont bien plus que de simples baudruches qui se dégonflent sur un plateau de télévision.

Et à bien écouter et voir, pour ceux qui ont encore la faculté de discernement, il y a toujours l’adjectif de trop, l’intonation ou la mimique inutile qui en dit long sur la soi-disant impartialité des journalistes ou de la chaine. Mais pour la plupart des assistés nourris au politiquement et socialement correct, c’est « normal » de gober sa dose quotidienne d’indulgence et de compassion. Alors, quand un citoyen perdu et dégoûté ose aller à contre-courant de la pensée unique et manipulée, le mot terrible est lâché. Raciste. Honte sur lui ! Comment peut-il encore être aussi replié sur sa petite identité au 21ième siècle alors que tout est fait pour qu’il reste sous l’influence d’un charlatanisme et d’une mauvaise foi acharnés ? La réponse tient en une évidence universelle. Le repli identitaire est naturel. Nous défendons ce que nous sommes. Mais alors pourquoi vouloir nous museler ? Là aussi la réponse est lumineuse. Pour cacher des décennies de bêtise politique, d’erreurs de gouvernance. Et comme il est trop tard, le seule fuite possible est en avant pour rester dans la continuité de cette irresponsabilité flagrante simplement parce qu’elle n’est plus corrigeable. Ce serait avouer un échec que l’on essaie encore vainement de déguiser en succès social et culturel alors que le monde s’entre-déchire d’être mélangé. Me voilà donc dans l’embarras face à l’insouciance de nos élus bien-pensants. Comment dois-je me définir ? « Intolérant » si je n’accepte pas la décapitation médiatisée ? « Xénophobe » si je me rebiffe contre la prière en rue, « Arrièré » si je dénonce les mutilations faites aux femmes…je ne sais plus. Le choix est difficile. Peut-être suis-je juste moi-même avec mes limites. Et je suis heureux d’en avoir quand je vois ce qui se passe autour de moi.

Mais nos jeunes se radicalisent aussi sur le net et dans la rue . Ils participent aux manifestations pro-palestiniennes. Des cimetières juifs sont vandalisés. Ils remettent en question des valeurs transmises par des générations avant eux et ils s’approprient le langage et le style vestimentaire des jeunes freluquets arabo-maroco-musulmans. La relève est assurée. Elle se fera par le ventre de nos femmes et par le manque de recul que nos enfants ont vis à vis de l’Histoire. L’école n’est plus une chance, elle est devenue un refuge et un tremplin pour la médiocrité et le nivellement par le bas. Racket, drogue, laxisme, profs bobos un peu gauchisants, manque de volonté, de courage et de moyens…une vraie porte ouverte à l’arabisation de nos enfants et à un suicide culturel.

Oui, les médias et les élus sont coupables de complaisance et de non-assistance à personne en danger à voir les juifs et les chrétiens persécutés par un état auto-proclamé de dégénérés mais pourtant bien organisé et financé et qui tente de réécrire l’histoire en effacant les traces de son passé. Aujourd’hui, le regroupement familial, les clandestins, les mosquées, la prison sont des vecteurs qui facilitent la progression de cet islam d’incultes et de gangsters. Nous n’avons plus affaire à des organisations criminelles mais à des cellules dormantes. Des individus isolés attendant leur heure, ne faisant pas de vague jusqu’au jour fatidique.

Nous avons donc été tenus sous perfusion d’incompétence pendant que de l’autre côté on se préparait à prendre sa revanche sur les croisades, une revanche sur une histoire dont ils ne connaissent rien, une vengeance longuement mûrie. Le message de nos élus a été le même depuis des années. Tolérer et tendre la joue gauche. Il a été aussi relayé par différentes associations anti-racistes qui ont proliféré avec l’immigration galopante. Elles ont, avec le relais des médias, martelé un message tronqué. Une sorte d’obligation morale. « La différence nous enrichit ». Quel slogan mensonger ! La différence nous caractérise et c’est seulement son respect qui nous enrichit.

Les récents évènements survenus à TV5 notamment sont également la preuve que même le virtuel n’a plus de secret pour eux. Allah tisse sa toile et nous allons nous faire avoir par là où nous prêchons l’ouverture. Il est quand même amusant de constater que c’est bien le monde moderne qui leur donne les outils nécessaires à notre propre soumission. Tous ces attentats, ces rapts, ces assassinats, ces viols ne sont aujourd’hui que les outils vengeurs d’une seule culture. Un jeune musulman est un djhadiste en puissance. Des milliers de nos enfants sont venus renforcer les rangs d’arrièrés assoiffés de justice divine. Il suffit aussi de voir la tiédeur avec laquelle ces actes sont dénoncés dans le monde musulman dont certains états financent la lutte islamique. La religion leur confère un pouvoir, celui de soumettre.

Islam ne veut-il pas dire soumission ?

Alain Slachmuylder

3 commentaires

  1. Posté par Erkangilliers le

    C’est que les ennemis qu’on nous a montrés durant notre éducation sont tous des Européens, les nazis et les (pseudo, selon l’enseignement) communistes d’URSS.
    Jamais on ne nous a suggéré que des Arabes ou des Noirs pouvaient être une menace pour nous.
    Bien au contraire on nous a gavés de culpabilité à leur égard et encouragés à les aimer plus que nous-mêmes, à voir en eux des pauvres gens que nous devions aider, choyer.
    Ce « paternalisme blanc » qu’on nous a enfoncé dans la tête par une propagande massive et incessante nous empêche de voir la réalité, à savoir que les Arabes et les Noirs sont tout à fait assez intelligents pour profiter de nous et qu’ils n’ont pas le projet de nous considérer comme leurs bienfaiteurs, bien au contraire.
    Ils nous considèrent ainsi souvent, et avec raison, comme des « faibles » des « boloss », des « victimes » stupides qui même lorsqu’ils violent nos soeurs leur pardonnons et refusons de les voir en ennemi.
    Nous avons cru que nous pouvions choisir notre ennemi, alors que c’est lui qui nous a choisis.
    Nous avons cru que tendre l’autre joue, aimer son ennemi et se repentir de crimes que nous n’avons jamais commis était la voie juste et unique vers l’amour et l’harmonie universelles, universalisme qui nous a fait croire que notre projet était celui de l’humanité entière.
    Devenus faibles et mous, nous ne pouvons plus nous battre qu’intellectuellement contre des gens qui donnent raison au plus fort, quelle que soit son idéologie ou sa philosophie profonde.
    Et qui se moquent de notre intellectualisme inactif et vain, qu’ils comparent volontiers à la mort de l’âme.
    Et c’est bien en adoptant une croyance spirituelle qui n’était pas la nôtre (le Christianisme Universel) que nous avons perdu tout contact avec notre âme, nos racines, nos ancêtres, nos traditions, notre nature, notre courage, notre honneur et le désir même de survivre.
    Comme le Christ, nous sommes heureux de nous laisser crucifier pour le bien de l’humanité.

  2. Posté par Pierre H. le

    Un de mes amis suisses s’étaient marié voilà une dizaine d’années à une Saoudienne et de ce fait a dû se convertir à l’islam. Il n’y connaissait rien à l’époque mais son impression était que l’islam était plus évolutif que le christianisme qui lui, devenait poussiéreux. Aujourd’hui, il est en train de divorcer et m’a dit qu’il avait vu l’enfer de ses propres yeux. Il a lu le Coran complet, les Hadith, la vie du prophète, etc. et « sa » famille était à peu près au nombre de 600. Il m’a dit qu’il est impossible de discuter avec ces gens, que ce sont des bornés et des menteurs pathologiques. Ils n’ont aucune parole, aucun honneur. Mentir pour une bonne cause est culturel chez ces gens là, mais m’a-t-il dit qu’il fallait encore voir qui définit ce qu’est une bonne cause et que souvent, une cause est bonne aujourd’hui mais ne l’est plus demain. Il m’a aussi dit que la plupart de ces gens étaient des tarés et des cas psychiatriques de par le fait qu’ils se marient tous entre cousins et cousines de même famille avec tous les problèmes de consanguinité qui s’y rapportent. Il m’a dit que sa femme lui a menti sur toute la ligne avant le mariage et a radicalement changé après le mariage et qu’elle montrait des signes de démence de plus en plus évident. De son expérience, il dit aujourd’hui que l’islam est une religion de tarés fait pour des tarés par des tarés et des menteurs pathologiques. Il a eu un fils avec cette femme et la famille de cette femme emploie tous les moyens financiers à leur disposition pour carrément l’enlever à son père. A un autre ami lui demandant quel était alors l’intérêt de ces femmes orientales de venir épouser des hommes occidentaux, il a répondu que c’était simple. Si elle mariait un gars de là-bas et divorçait, elle n’avait droit à rien du tout de matériel ni aux enfants. Avec nos lois, par contre, elles peuvent vous sucer jusqu’à la moelle !

  3. Posté par conrad.hausmann le

    On est d’accord à 100%.Mais qui a financé une grande partie de ce desastre : L’argent du pétrole via les états que nous savons…

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