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La fin…
« ….Génocide au ralenti.
Dans l’océan, quand un animal est blessé, les rapaces viennent de partout. Chacun veut son petit morceau. La France est aujourd’hui cet animal mourant. Jusqu’au fond de l’Afrique, le dernier des Somaliens accourt pour prendre son petit morceau.
Par leurs impôts, les Français financent les logements, la nourriture et les soins de ceux qui sont en train de les remplacer. Quand il n’y aura plus assez de travailleurs pour payer les parasites, ça sera le chaos et la violence. Pour son immigration, la France a particulièrement choisi des populations incapables de gagner ou de produire ne serait-ce que leur pain quotidien. Le peu d’Africains intégrés socialement et professionnellement et qui payent leurs loyers sont une erreur de script. Des erreurs du système en quelque sorte.
Peu à peu, le Français de souche se fait remplacer et il est heureux. Il regarde béatement sa Nation partir dans le tout-à-l’égout, mais il est content de n’avoir jamais voté pour le Front National. Pour lui, autant disparaître que de voter pour le seul parti qui veut lui remonter son pantalon… »
Aldosterone, blogueur algérien.
http://www.pvr-zone.ca/fin.htm
(Vous pouvez remplacer « France » « fran4ais »par « Suisse »; Front national par UDC, c’est tout aussi valable.)
Je me demande s’il y a encore beaucoup de gens pour prendre monsieur Kouchner au sérieux !
Kouchner vous frappe sur la joue droite: « l’Europe est dégueulasse! »
Vous lui offrez la joue gauche: » je vous comprends, moi aussi je suis dégueulasse »!
Représentant typique du lobby qui n’existe pas, les fameux « faites ce que je dis mais pas ce que je fais, puisque c’est exactement le contraire et c’est d’ailleurs à ça que l’on nous reconnait. »
Totalement d’accord Vautrin. Il semble que cela soit une spécialité française: ne jamais faire de prison, être responsable des pires atrocités et se profiler en moralisateurs avec l’argent des autres.
Kouchner ? Ahahah ! J’ai rencontré ce pitre, après qu’il eût fait son cinéma avec ses sacs de riz. Il venait en « inspection » (on se demande en vertu de quel mandat !) dans les camps de réfugiés somaliens au nord du Kénya. Un vrai cinéma, il a fallu louer deux (petits) avions pour le transporter lui, sa suite et les cameramen, sur le lieu de ses exploits d’histrion. Franchement, un vrai con, une diva imbuvable, draguant sans complexe une stagiaire (qui l’a envoyé balader !). Date : juillet 1993. Ce type soutient les marchands de pièces détachées humaines du Kossovo, et il voudrait encore ramener sa fraise ? Qu’il la ferme ! C’est le représentant typique de la bien-pensance hystérique.