Suisse: L’homophobie doit être punie comme le racisme

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L'homophobie devrait être combattue en Suisse au même titre que le racisme. Par 11 voix contre 1, la commission des affaires juridiques du Conseil des Etats accepte de modifier le code pénal en donnant suite à une initiative parlementaire de Mathias Reynard (PS/VS).

 

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6 commentaires

  1. Posté par Vautrin le

    Non d’un chien ! Amis Suisses, bottez-leur le cul ! Le socialisme est décidément la peste de l’humanité.

  2. Posté par Le passant ordinaire le

    Pourquoi l’hétéro phobie ne serait-elle pas condamnable?
    Une lesbienne peut vous injurier sans raison parce que vous êtes un homme en vous traitant de phallocrate, de macho etc. Vous n’avez presque aucun moyen légal pour vous défendre car la parole d’une femme appartenant à une minorité sera la raison du plus fort.

  3. Posté par JeanDa le

    @Frederic Bastiat : « De ce point de vue, est-on étonné de ce que ce sont des socialistes qui poussent le plus pour criminaliser des opinions? Moi cela ne m’étonne pas le moins du monde. »

    Vous avez parfaitement raison. La seule solution pour enfin y voir clair, voir les choses comme elles sont et entendre la voix du peuple, c’est de virer tous les SOCIALAUDS de toutes les fonctions où ils sévissent. Ensuite, on pourra discuter sainement et sans leurs mensonges perpétuels.

  4. Posté par Barlie le

    La commission des affaires juridiques du Conseil des Etats est tombée dans le panneau. Une initiative parlementaire socialiste et liberticide enrobée de bonnes intentions. Un désastre à venir pour nos libertés !

  5. Posté par Frederic Bastiat le

    Les gens qui veulent criminaliser des opinions, n’ont rien compris à ce que la liberté d’expression signifie. Les opinions majoritaires ou politiquement correcte n’ont pas besoin de protection, la liberté d’expression protège précisément les opinions minoritaires ou qui choquent. Dès lors qu’on commence à criminaliser celles-ci, on a détruit la liberté d’expression.

    Personnellement je me bats de toutes mes forces contre les propos homophobes ou racistes, mais cela ne me viendrait pas à l’idée de les interdire. Au final, qui décide de quelle opinion est acceptable ou quelle opinion doit être interdite et sur la base de quel principe moral ou de quel critère? Sur ce chemin, demain celui qui a le pouvoir pourra décider que n’importe laquelle des opinions contradictoires aux siennes sera interdite. Une société qui criminalise des opinions, aussi abjectes qu’elles soient, glisse lentement mais surement vers le totalitarisme.

    De ce point de vue, est-on étonné de ce que ce sont des socialistes qui poussent le plus pour criminaliser des opinions? Moi cela ne m’étonne pas le moins du monde.

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