Démocratie directe. Une MOB G est indispensable face aux attaques multiples et massives contre notre démocratie directe.

Uli Windisch
Rédacteur en chef

NDLR. Nous avons déjà signalé que nous allions régulièrement publier articles et interviews afin de lutter contre ces attaques redoublées et coordonnées envers notre démocratie directe, un élément pourtant fondamental et constitutif de notre système politique. S’attaquer de manière aussi frontale et massive à la démocratie directe tout en prétendant la trouver remarquable, représente le comble de l’hypocrisie et apparemment une nouvelle stratégie pour faire passer la pilule. Cette manoeuvre de grande envergure sera régulièrement dénoncée avec la plus grande énergie et détermination.
Nous rediffusons dans l’immédiat deux EclairagesUW déjà consacrés à cette dénonciation et à l’illustration du rôle fondamental et vital de la démocratie directe dans la réussite helvétique. Ressortent aussi ici le modèle et la référence que représente notre système politique pour de nombreuses populations d’autres pays qui aimeraient ardemment pouvoir pratiquer cette forme de démocratie participative.

a) "Attaques contre la démocratie directe : la plus grave menace contre la Suisse", 12.11.2014, c'est ici

b) "Suisse, est-on en train de putscher la démocratie directe", 24 .2, 2014, c'est ici

En ces temps de contestation tous azimuts de la démocratie directe, toujours massive mais pas toujours franche et ouverte, souvent sournoise, hypocrite ou carrément mensongère, il faut une MOB G.

Uli Windisch, 10 avril 2015

11 commentaires

  1. Posté par annik le

    Pourquoi a-t-on envoyé 2 euroturbos (M. Rossini et Mme Markwalder) en France pour expliquer au parlement français l’initiative du 9.2.? Rossini aurait dit que la France n’aurait rien à craindre parce que tous les cantons romands ont voté contre l’initiative!

  2. Posté par toyet le

    Mes pauvres amis cette histoire n’est que de la poudre aux yeux pour cacher les vrais dangers.
    Métropole lémanique ( anti démocratique )
    Annexion de Genève par la Savoie maçonnique dans le grand Genève.
    Futurs obligation des fusions de Commune.
    Annexion de la Suisse et de l’europe par les USA, ( Tafta ).
    Et j’en passe, bon courage et que l’UDC se sorte les pouces du …….

  3. Posté par S. Dumont le

    Pour aller de l’avant avec l’UE et toutes autres organisations internationales, les politiciens ont tout intérêt à modifier la démocratie directe, car les résultats ne conviennent plus d’une part à leurs soifs de pouvoir et d’autre part avec les accords signés ou encore à signer avec l’UE, l’OMC, Conseil de l’Europe, etc… . Pour ma part, la démocratie directe, comme pratiquée actuellement, ne va plus assez loin, car le monde change, laissant ainsi une trop grande manœuvre à nos élus. En effet, bien des lois, mises en place par le CF, sont en fait dictées par ces organisations et la presse n’en fait jamais écho, ni nos politiques d’ailleurs et j’en parlerai, ultérieurement. A partir de ce constat, je verrais bien un automatisme de votation pour tous les accords prévus avec de telles organisations. Ainsi la démocratie directe serait renforcée et la neutralité de la Suisse serait mieux protégée.

  4. Posté par hubert le

    Franchement,lorsque l’assemblée nationale française représentative du peuple vote une loi alors que seulement 34 députés sont présents sur les 357 élus,ça donne à réfléchir,et le petit con aux talonnettes et son successeur par définition quelque part »royalistes » insultent notre démocratie!
    Au fait quelqu’un sait-t-il si le roi François va venir nous rendre visite en scooter?

  5. Posté par JeanDa le

    Premier pas indispensable : flanquer une raclée mémorable aux ssocialauds lors des prochaines votations ! Ceci fait, tout deviendra plus simple et plus propre.

  6. Posté par Michel de Rougemomnt le

    Dans les pays où la démocratie n’est que représentative, c’est à dire que des politiciens sont chargés de faire et d’exécuter les lois après qu’on les a élus pour un certain temps, il se développe des mouvements purement protestataires, opposition sans ambitions gouvernementales (à droite et à gauche du spectre) ou éphémères appels à la « société civile ». Cela égaye les téléjournaux français, espagnols et autres, et laisse nos voisins s’auto-effrayer de situations que leurs commentateurs se réjouissent de qualifier de pré-révolutionnaire.
    Dans notre démocratie semi-directe (nous avons aussi des représentants élus, tant au législatif qu’à l’exécutif) les sujets de fonds sont tranchés par décision populaire. Ce n’est pas une vertu ni un dogme, mais une méthode. Et les mouvements protestataires s’expriment par le lancement d’initiatives ou par la récolte de signatures pour des référendums. Cela est plus efficace car les choses finissent par être décidées, même si cela prend du temps, plutôt que rester l’objet de manifs plus ou moins débiles et répétitives.
    Pourtant on s’égare souvent, par exemple dans l’enseignement de la musique ou pour attribuer des compétences à la Berne fédérale que les cantons ne devraient jamais lâcher (aménagement du territoire, résidences secondaires, minarets, etc), ou autres sujets où ne pas vouloir légiférer serait meilleur que de s’en préoccuper.
    Si ce n’est pas un mésusage du système référendaire. de quoi ressortent donc ces inanités?
    Dans un monde qui ne fonctionne qu’à la propagande il est devenu facile pour un groupe bien organisé et déterminé de soulever un lièvre et de le faire courir jusqu’à épuisement. L’agenda référendaire déborde (13 initiatives en récolte de signatures, 10 en attente de votation) avec des sujets brûlants et d’autres complètement en dehors de la plaque.
    Néanmoins il ne faut surtout pas réagir en essayant d’étouffer ces initiatives dans l’œuf. Il faut encore plus qu’avant disposer de moyens d’anti-désinformation, d’anti-propagande, qui doivent servir à animer les débats lorsqu’une votation est en vue. C’est la culture de la dispute, de la lutte politique qui doit s’améliorer, et non la stérilisation des idées que proposent certains.
    Enfin on notera que, le plus souvent, le peuple ne se laisse pas trop bien guider par la démagogie et le populisme. Même si de temps en temps il y a, hélas, des exceptions.

  7. Posté par Frieden Fabienne UDC Lausanne le

    En tant que Suissesse non seulement je n’accepterai jamais que qui que ce soit veuille gouverner d’aucune manière que ce soit ma Suisse et touche à notre Démocratie directe mais surtout je ne reconnaîtrai jamais ces gens ou institutions dans leur crédibilité ou tout ce qu’ils souhaîtent nous mettre sous le nez. Je pense même qu’une Suisse ‘neutre » au sens de sa neutralité reconnue par les Etats ne pourrait plus prétendre l’être dans ce cas d’espèce la. Mêler le droit international à notre droit est impossible!

  8. Posté par Ueli Davel le

    Nous ne pouvons qu’espérer que la délégation présidentielle Française au complet retourne chez elle et que personne ne demande l’asile politique! Vous voyez la ministre Ben Machin ou Sapin au centre d’immigration de Vallorbe!

  9. Posté par Ueli Davel le

    La prochaine attaques est prévue le 14 avril. La France nous envoye sont président pour nous faire la leçon avec la potiche Ben Machin ministre des incultes et son ex, l’écologiste aux 60 centrales nucléaires et aux iles du « pacifique » irradiées ainsi qu’une immense zone de Sahara. Sapin sera sûrement accompagné par son meilleur élément, l’ex employé criminel de la banques anglaise HSBC. Cette France on en veut pas. Quelle reste chez elle, nous n’en voulons pas ni de son Europe de technocrates fonctionnaires. Son champagne, ses Petits Suisses, son gruyère d’Emmental, ces rafales on en veut pas non plus. Sommaruga va ruclonner tout les drapeaux européens, le PSS, Ziegler, le.rat et bien sûr le jurassien José Ribeau, Cherix enfin tout les Suisses alémanophobes. Quel honneur de recevoir le président du « moi je », le président le moins aimé du gouvernement, le plus critiqué. Que peut on attendre de cette visite? Rien de bon, des frais pour rien. Nous aimons la France mais pas celle de ces politicards, ni de gauche, ni de droite qui ont fait de la France ce qu’elle est: plus grand chose. Nos politiciens devraient dépenser notre argent avec des politiciens soutenant notre pays, notre indépendance, notre cultures et notre industrie. Tous ces pays qui nous respecte et qui ne veulent pas faire de nous une colonie. Regardons l’état des ex colonies françaises, la honte, la famine et la guerre. Le spectacle des lèches bottes Suisse restera dans nos mémoires, que de temps et d’argent (le notre) perdus pour rien.

  10. Posté par hubert le

    En tant que Suisse, je n’admettrai jamais qu’une instance étrangère veuille nous gouverner!Nous sommes un peuple d’hommes et de femmes et d’enfants libres.Nous détenons le pouvoir et nous souhaitons que ce que nous avons voté soit appliqué!S’il faut pendre les armes pour préserver cette démocratie directe alors on les prendra,nous avons ce devoir envers nos pères fondateurs dont l’unique but étaient de commercer et de vivre en paix!

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