Pour les jeunes socialistes, la Suisse est un problème.

Présente à Berne, l'ancienne conseillère fédérale Micheline Calmy-Rey a estimé qu'aujourd'hui, "nous parlons trop peu de politiques étrangères et de la paix. Le monde change rapidement et inexorablement. Il a besoin de notre engagement". La lutte internationale pour la paix est un devoir prioritaire de la politique suisse, selon les jeunes socialistes.

La Suisse un problème
Avec ses exportations d'armes, son laxisme avec le blanchiment d'argent et sa politique d'isolement, la Suisse fait, aujourd'hui, partie des problèmes plutôt que des solutions, écrit la JSS.

Source

15 commentaires

  1. Posté par KANDEL le

    « Posté par lucie le 29 mars 2015 à 13h42
    Et bien, qu’ils dégagent en Corée du Nord  »

    @lucie, svp, un peu plus d’humanité et de compréhension pour ces chers bambins socialos.

    1) des bambins, « ils ne dégagent pas en Corée du Nord », NON, des bambins, nous les dégageons en Corée du Nord, simple course cela va sans dire … mais encore mieux en le disant.

    2) des bambins ça ne voyagent pas tout seul, il faut des accompagnants, … alors via la Corée du Nord avec les accompagnants suivants: Micheline Calmy-Rey, Didier Burkhalter, Eveline Widmer-Schlumpf, Doris Leuthard, Simonetta Sommaruga, Alain Berset, Christian Levrat, Addolorata Marra, Cesla Amarelle (simple course pour tout ce beau monde).

  2. Posté par Le pragmatique le

    Lucie: votre projet de couloir humanitaire pour jeunes socialope en Corée du Nord est d’un humanisme profond. Pyongyang a d’excellentes thérapies pour les malades mentaux.

  3. Posté par lucie le

    Et bien, qu’ils dégagent en Corée du Nord !

  4. Posté par Christian Hofer le

    Remarquez dans l’article que Kandel cite: la provocation est décrite comme « intelligente », « elle fait partie de la politique » sauf lorsqu’il s’agit de l’UDC. Dans ce cas c’est du populisme.

    Il s’est passé la même chose avec Marine Le Pen, traitée de « Salope fascisante » par Bedos. Lorsque Taubira est la cible, c’est du racisme. Lorsque le FN en fait les frais, c’est de la provocation admise par le système.

    http://www.jeanmarcmorandini.com/article-334485-marine-le-pen-deboutee-des-poursuites-pour-injure-engagees-contre-nicolas-bedos-qui-l-avait-qualifiee-de-salope-fascisante.html

  5. Posté par Leb le

    « la JSS a passé de 1000 à 3500 membres en huit ans. » grâce à l’invasion de masse, aux faux suisses (secundos avec naturalisation facilitée), … et grâce à nos médias.

  6. Posté par Christian Hofer le

    Avez-vous remarqué une chose? Il n’y a absolument AUCUN mot pour les Suisses dans leurs discours, aucun élément de protection de notre pays ou pour notre bien-être: c’est les autres, les autres, et encore les autres ou alors « méchante Suisse ».

    Comment de tels parts (les Verts font exactement la même chose) peuvent-ils recueillir ne serait-ce qu’un seul vote?

    Ces gens sont les pires ennemis de notre population, de notre culture, de notre histoire: il n’y a aucun doute à avoir.

  7. Posté par SilvanaC le

    Pourquoi les jeunes socialistes ne donnent pas l’exemple en commençant par donner moitié de leur salaire avant d’exiger que d’autres le fassent?

  8. Posté par Pierre H. le

    Ce sont les jeunesses socialistes suisses qui sont un problème pour la Suisse… MCR dit : « La lutte internationale pour la paix est un devoir prioritaire de la politique suisse, selon les jeunes socialistes. » Quand on sait qu’elle est active dans l’ONG Crisis Group financée par l’Open Society de George Soros, c’est un peu comme si elle travaillait pour MONSANTO et qu’elle disait que la lutte pour la préservation de la nourriture bio est un devoir prioritaire de la politique suisse.

  9. Posté par Ueli Davel le

    Qu’ils soient jeunes, qu’ils vieux, c’est des socialistes comme Castro, Chavez, Ceaucescu, Honecker, Kadafhi,… La liste est longue mais pas aussi longue que les martyrs du socialisme.
    Le P SS ruclone, les vieux Genosse millionaires Leuenberger, Calmy, doivent à nouveau se mouiller. Les JUSO ont des photos intimes sorties des égouts, toutes prêtes au cas où. Il faut les combattre, leurs fermer la gueule. Les medias ont envoyé leurs journaleux en chasse contre leurs ennemis.

  10. Posté par KANDEL le

    http://www.24heures.ch/suisse/politique/provocations-succes-jeunes-socialistes/story/18407752

    4 photo-montages abjectes jointes:
    La dernière provocation des Jeunes socialistes: des photomontages sur «la vie cachée» du ministre
    Ueli Maurer (UDC).
    LES PROVOCATIONS A SUCCES DES JEUNES SOCIALISTES
    Le parti junior renonce à lancer son initiative populaire «Fifty-Fifty» en année électorale. Il préfère se concentrer sur une opération séduction auprès des apprentis.
    La Jeunesse socialiste suisse (JSS), en assemblée ce samedi à Berne, devait lancer «Fifty-Fifty». Une initiative populaire pour exiger des grandes entreprises qu’elles partagent leurs dividendes avec les employés. Le texte restera dans le tiroir. «Nous avons eu une discussion stratégique en décembre déjà, explique le président Fabian Molina (25 ans). Les délégués ont préféré se concentrer sur les élections 2015 et sur un projet concernant les apprentis.»
    Assez de grain à moudre donc, d’autant qu’un référendum se précise contre la loi sur le renseignement. Le projet «apprentis» s’annonce aussi comme un défi: il s’agit de recruter 500 jeunes en formation et de «prouver que nous défendons vraiment les travailleurs, ce que l’UDC ne fait pas», selon Fabian Molina.

    Après «1:12» et l’initiative, en cours, contre la spéculation sur les biens alimentaires, l’initiative «Fifty-Fifty» était-elle ce poil à gratter de trop pour une année électorale? Rien à voir, jure la JSS. Et le PS se défend d’avoir muselé ses juniors. «D’ailleurs nous leur sommes reconnaissants pour leurs initiatives qui posent des questions de fond, précise Christian Levrat, président du PS suisse. «1:12» a été rejeté à 65%, ce qui était un score très honorable, et je me réjouis vraiment des débats sur la spéculation.»

    Des dérapages critiqués

    Des compliments tout sucre tout miel. Mais ce n’est pas toujours le cas. Les insultes, ou encore les récents photomontages montrant Ueli Maurer dans des situations scabreuses ont scandalisé l’UDC et énervé des élus, même dans les rangs socialistes. En aparté, certains élus ont critiqué ce qu’ils considèrent comme des «gamineries». «Il y a des dérapages plus ou moins contrôlés, tempère Christian Levrat. Je leur ai dit ce que je pense, mais sans leur faire la morale. Ils sont intelligents et ils savent très bien quand ils sont à côté de la cible.» Même indulgence pour le Vaudois Benoît Gaillard, ancien militant. «Ne jouons pas les vierges effarouchées, la caricature a une place en politique. L’UDC nous attaque toute l’année en nous accusant de défendre des paresseux, leurs mots sont violents et personne ne se dit choqué.»

    «La provocation fait partie intégrante de notre stratégie»

    Les provocations sont une tradition chez la JSS depuis 2007, date de l’accession de l’Argovien Cédric Wermuth à la présidence. Le futur conseiller national s’affichait alors avec un pétard à la main. Fabian Molina, président depuis 2014, a proposé de remplacer le drapeau suisse par le drapeau arc-en-ciel de la paix. Ce qui lui a valu un flot de menaces. «La provocation fait partie intégrante de notre stratégie, admet Fabian Molina. Cela permet de nous adresser aux jeunes et d’attirer leur attention sur les vrais débats de fond.» Et de casser au passage l’image intello du PS.

    Un système efficace

    Provoquer s’avère payant: la JSS a passé de 1000 à 3500 membres en huit ans. Elle occupe régulièrement la scène et quatre de ses membres siègent désormais au Conseil national – dont les Romands Rebecca Ruiz (VD) et Mathias Reynard (VS). Le mouvement est devenu une machine politique très efficace: «Nous avons mis en place un système, avec des universités d’été, de la formation, des activités concrètes et une capacité de mobilisation, dit Cédric Wermuth. Nous n’existions presque plus sur la scène nationale et aujourd’hui nous sommes la Jeunesse de parti suisse la plus dynamique.»

    Cependant, le succès est moindre en Suisse romande, avec des sections plus clairsemées qu’outre-Sarine. «Il y a peut-être moins de choses à revendiquer ici, puisque la gauche est plus présente au pouvoir», selon la vice-présidente Charlotte Gabriel (VD).

    «Les JSS sont l’aiguillon du socialisme»

    Pour l’ancien conseiller national Jean-Claude Rennwald, les JSS sont «l’aiguillon du socialisme, ses enfants terribles, mais ils restent dans la famille». Souvent plus marqué à gauche que le PS, le mouvement n’a jamais dérivé vers un marxisme plus radical. Agent provocateur, machine électorale et réservoir de militants. «Les JSS, c’est un peu tout cela à la fois», confirme Christian Levrat.

  11. Posté par coocool le

    Les jeunesses socialistes n’existent que pour proclamer haut et fort le fond de la véritable pensée socialiste !

  12. Posté par Nicolas le

    Si la Suisse pouvait influencer la politique mondiale cela se saurait. La présence de MCR parmi les jeunes socialistes illustre la pensée de Brassens, quand on est con, c’est pour la vie.

  13. Posté par colibri le

    ah l’effet miroir leur a enfin montrer leur vrai visage

  14. Posté par yvanovitch y le

    Oui, les jeunesses socialistes suisses… (SS leur va bien) !

  15. Posté par groudonvert le

    C’est pas vraiment les armes le problème, c’est plutôt la politique qu’a menée Calmy-Rey, mais bon, ça sert à rien de tirer sur l’ambulance, paraît-il. Mais je sais pas si c’est mieux que de faire de la merde et de l’étaler sur tous les murs.

    Oui, j’ai des expressions de merde ^^

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