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Pas si fictionnel que ça. Et souvent la réalité dépasse la fiction, voire l’affliction.
Il est des termes que moi-même et mon entourage refusons absolument d’employer. Pas de chance : ce sont justement ceux du charabia bien-pensant (j’allais écrire « bien-pendant » : lapsus révélateur) qu’on appelle « novlangue »; la liste en est très longue. On peut sans vergogne les remplacer par les mots interdits -ce qui constitue un exutoire- ou par des mots tombés en désuétude mais qui peuvent parfaitement ressusciter. Par exemple : « stropiat », « prévaricateur », « sodomite », « forfaiture » etc… On peut aussi, et c’est encore plus amusant, utiliser un Logotron pour créer des mots subversifs, par exemple : « équilâtre » (fanatique de l’égalité), « gynécoïde » (efféminé), « latérograde » (qui marche à côté de ses chaussures), « phallophrène » (vous en trouverez des exemples dans le monde politique, ex: DSK !), « sémamanie » (maladie qui frappe justement les amateurs de novlangue), « rhabdocratie » (gouvernement par la baguette), « zygocrypte » (qui a une liaison cachée, voir Hollande) etc…
L’important est de faire systématiquement sombrer les novolingues dans le ridicule. Car si ces faux naïfs étaient un peu intelligents, ils saisiraient bien vite que le peuple sait parfaitement ce qu’il faut décoder derrière le masque des mots. Par exemple derrière « jeune », « amalgame » et ainsi de suite.
La baffe est aussi un excellent remède – sans aller jusqu’au sabre de Samouraï comme dans la séquence illustrant cet article.