En Suisse on ne connaît pas les effets du socialisme au pouvoir.A propos du président du PSS qui est contre la démocratie.

Uli Windisch
Rédacteur en chef
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A propos du président du parti socialiste suisse Christian  Levrat  qui est contre la démocratie. Les socialistes suisses n’aiment ni les propriétaires ni la démocratie, entre autres ! On n’est pas loin  de certains slogans communistes comme la propriété c’est du vol et du léninisme des minorités agissantes prétendant agir pour le Bien du peuple, même si […]

A propos du président du parti socialiste suisse Christian  Levrat  qui est contre la démocratie.

Les socialistes suisses n’aiment ni les propriétaires ni la démocratie, entre autres ! On n’est pas loin  de certains slogans communistes comme la propriété c’est du vol et du léninisme des minorités agissantes prétendant agir pour le Bien du peuple, même si le résultat se retourne contre ce dernier.

A propos de leur conception de la démocratie, nos socialistes, veulent éviter que l’UDC obtienne un deuxième siège au Conseil fédéral cet automne, lors des élections fédérales, alors même que l’UDC est et restera le premier parti politique de Suisse !

Un modèle d’attitude démocratique, non ? Ou le totalitarisme à l’état embryonnaire ? C’est bien sûr aussi un profond mépris pour le tiers des électeurs du pays dont certains, déçus,  viennent d’ailleurs du socialisme, désireux de rejoindre plus patriotique.

L’UDC représenterait en outre une Suisse « de la peur et du recul » tandis que le socialisme une Suisse du « progrès et de l’ouverture » , etc.!  Bien sûr! On connaît la chanson.

Comme si la Suisse abandonnée et soumise à l’UE et à l’Internationale constituait un progrès ? On pourrait aussi considérer une telle idéologie socialiste comme de la trahison patriotique et un aveuglement face à la destruction des nations et des souverainetés nationales.

Pour saisir concrètement ces effets destructeurs, il faut se baser sur les expériences où le socialisme est au pouvoir et où les électeurs ont mis du temps à réaliser les pouvoirs  hypnotisant de l’aveuglement idéologique socialiste.

Dans la bonne logique militante du type léniniste, les socialistes ont déjà montré leur caractère anti-démocratique en élisant une ultra-minoritaire au Conseil fédéral en 2011 (Eveline Widmer-Schlumpf, « Eveline » pour l’ex ministre français de l’économie), aidés en cela  par une autre traîtrise, celle de certains chefs du PDC et d’une partie de ses troupes. Ainsi, les socialistes ont en fait 3 conseillers fédéraux, tout en étant ultra minoritaire, moins de 20% de l’électorat suisse !

Pour comprendre les effets du socialisme, il faut vraiment le voir agir quand il est au pouvoir, comme c’est le cas en France par exemple. Or, les Suisses n’ont jamais eu l’occasion de voir cela et pensent sans doute que le socialisme suisse est différent. Le réveil de l’hypnose peut parfois prendre du temps.

Cela ne devrait pourtant pas empêcher, depuis le temps, de réaliser ce que voter socialiste signifie et ce à quoi cela peut conduire. En Suisse les socialistes sont en position avantageuse car ils peuvent se contenter d’agiter mirages et idéaux et des acquis très partiels qui n’auraient en plus jamais été obtenus, moyennant correction des excès, sans l’aide de tel ou tel parti dit bourgeois. Les socialistes suisses et les Suisses n’ont en effet jamais été mis face à l’ensemble des effets d’une politique socialiste gouvernementale global et durable.

S’en prendre aux « riches », cette fois aux propriétaires et aux héritiers  (votation du 14 juin 2015 pour « un impôt fédéral sur les biens hérités ») correspond à un autre slogan du socialo-communisme : l’héritage est indu, bref la propriété c’est du vol. Précision : l’impôt ne s’appliquera qu’à partir d’une fortune de deux millions. Pour que les « moins riches » et eux-mêmes échappent à cet impôt ?

Autre marotte socialiste : faire payer ceux qui créent les richesses tout en étant les premiers à en profiter car ce sont bien les impôts payés par les riches qui font vivre les politiciens, militants et les  légions de fonctionnaires socialistes, ainsi que leurs innombrables petits copains pour lesquels on crée constamment de nouveaux emplois, dans le social notamment ; ce dernier servant ensuite à se vanter et à tirer un profit électoral d’une politique sociale dite solidaire et non égoïste comme celle des « riches » ! Tout cela au nom du Bien et pour le Bien, des « nécessiteux ». Irrésistible comme programme, jusqu’au jour où l’on en perçoit les effets désastreux. Même à ce moment-là, la faute est aux autres, à ces affreux riches qui n’ont pas payé assez.

Un plus grand nombre de citoyens ayant des prétentions politiques devraient à mon avis avoir montré d’abord qu’ils ont été capables de créer de l’emploi, mais pas avec l’argent confisqué aux autres. Croire que ceux qui créent de l’emploi sont des égoïstes forcenés sans préoccupations sociales ni politique sociale est une autre marotte du socialisme pour tenter de justifier sa raison d’être.

Faut-il « isoler ces nationalistes d’UDC » (encore une fois un tiers de l’électorat) ou plutôt... ceux pour qui la patrie, l’indépendance, la souveraineté, la démocratie et le niveau de vie suisse exemplaire créé par les travailleurs et les producteurs de richesses et d’emplois sont peu de chose face aux mirages et prétentions d’ensembles internationaux apatrides, anti-démocratiques et responsables de désastres économiques, sociaux et politiques ayant en plus engendrés des dizaines de millions de chômeurs ? Qui donc faut-il vraiment isoler ? La réponse est dans la question.

Plus grave : d’autres partis ou sous-ensembles de partis politiques, même bourgeois, seront certainement disposés à faire alliance, à faire de nouveaux « coups », avec ces socialistes-là, et ce seront ces derniers qui en seront une nouvelle fois les premiers vainqueurs.

A vous dégoûter non de la politique mais de certains politiques, mus par les pires intérêts égoïstes et prêts à bien des  bassesses et trahisons pour arriver à leurs fins personnelles.

Si certains pensent véritablement au Bien de la patrie, d’autres, en le prétendant également, visent en réalité nettement plus bas, très bas parfois.

Sont-ils par ailleurs conscients du fait qu’en s’alliant d’une manière ou d’une autre au socialisme, même ponctuellement et partiellement, ils permettent à cette idéologie de s’ancrer toujours davantage dans la société et d’imposer insidieusement et progressivement sa vison du monde.

Les prétendues "avancées" sur les problèmes sociétaux, de moeurs, etc (et non sociaux) en sont un des exemples les plus marquants. Pensons aussi à l'effet cliquet : difficultés de revenir en arrière sur ces "avancées" même en cas de changement de gouvernement.

On y reviendra à plusieurs reprises !

Pour ne  pas « se laisser isoler » par les anti-démocrates, un seul mot d’ordre : Aux urnes patriotes !

Uli Windisch, 23 mars 2015

 

 

 

 

 

 

 

17 commentaires

  1. Posté par KANDEL le

    @G. Vuilliomenet « Cela signifierait-il que c’est la gauche qui a le pouvoir aujourd’hui? »

    Excellente question … à laquelle Pierre H. a donné la réponse il y a quelques jours :

    « En Suisse, il n’y a plus que 2 partis. La Gauche et l’UDC… »

  2. Posté par lovinatti le

    vous me faites rire , socialistes, droites, extrême gauches, ultranationalistes, ultralibéraux, adorateur de la connerie royaliste, religieux sectaires … au final des pauvres humains qui vive sur une planète dans l’espace il serait temps d’arrêter ce mercantilisme et dee passe au chose sérieuse avec le courage de regarder en face les idées des autres et pas se brusquer a la moindre proposition ! pour moi chouard a 100% raison ! voir cette video https://www.youtube.com/watch?v=ldF9pmawJ6k la chute est criante de vérité source  » tant qu’il y aura des paradis fiscaux » sur facebook @davidzentao

  3. Posté par winston Smith le

    J’ai eu le malheur de travailler dans une grande entreprise, « jaune » pour ne pas la nommer. A la fin des années 90 les socialistes avaient le total contrôle de l’entreprise: Leuenberger conseiller fédéral transports & comm, Gigi directeur, et ce carrièriste de Levrat au syndicat !!! Après avoir « soldé » cette boite, Levrat (je me demande si le v n’est pas de trop !) A pris la tête du PS, et à qui ? Je vous le donne en mille ! Leuenberger !!! Je comprends leur europhilie, car pour les magouilles de ce style, l’europe c’est le paradis ! Donc, PS, non merci j’ai déjà donné !

  4. Posté par Treu le

    Ici à Rennes, nous subissons tous les échelons administratifs de la commune à l’Etat sous régime socialiste. Quintuple dose donc de fiscalisme, de dépenses somptuaires, de clientélisme, de propagande…..L’ouverture à l’autre se manifeste chaque mois un peu plus dans le centre de la ville par le nombre de « jeunes » CPF occupant l’espace public, ses bancs, surtout. Cela n’empêche pas le bon breton de continuer à voter pour le camp du Bien, pourtant l’expérience, il l’a. Il la prend même en pleine face

  5. Posté par Cenator le

    Pour le tribun socialiste, la démocratie idéale serait évidemment celle où la droite n’a pas le droit de vote.

  6. Posté par KANDEL le

    « L’erreur du socialisme est de caractère anthropologique »

    http://www.libres.org/conjoncture/3270-venezuela-rien-compris-rien-appris-.html

    […]
    « L’erreur du socialisme est de caractère anthropologique »
    La première leçon de l’histoire, c’est que l’échec du socialisme n’est ni technique ni économique. Plusieurs théoriciens de la planification ont essayé de démontrer que les échecs successifs étaient contingents. Tantôt ils ont incriminé des erreurs de calcul, tantôt des conjonctures exceptionnelles. Quelques courageux ont même évoqué la dictature des « méchants » comme Staline, Pol Pot ou Ceausescu. Ils en ont inféré que dans des conditions « optimales », celles d’un « socialisme à visage humain » par exemple, le succès serait acquis, la justice sociale et la croissance économique seraient assurées.
    En fait, ces naïfs ou ces cyniques n’ont pas su ou pas voulu parler de la seule et unique cause des échecs : comme disait Jean-Paul II, «l’erreur fondamentale du socialisme est de caractère anthropologique » (Centesimus annus § 13). Ainsi, l’inefficacité du système économique socialiste n’est-elle qu’« une conséquence de la violation des droits humains à l’initiative, à la propriété et à la liberté dans le domaine économique » (CA §24).
    […]

  7. Posté par annik le

    Leb: la ville de Lausanne n’est pas seulement perdue, elle est pourrie après plus de 20 ans de gouvernement gauchiste. Les citoyens riches sont partis, la classe moyenne (si elle existe encore) est en train de quitter cette ville, alors resteront les vieux, pauvres, assistés et mendiants qui n’ont pas de fric. Pour citer encore une fois Margret Thatcher: « le socialisme ne dure que jusqu’à ce que l’argent des autres soit épuisé ».

  8. Posté par KANDEL le

    AUX ARMES CITOYENS !

    Jan Marejko 28.02.2015 : […] L’histoire militaire de l’humanité nous montre que rien n’est joué d’avance. Des empires apparaissent à partir d’une toute petite cité, d’un royaume presque insignifiant, de quelques tribus perdues dans le désert. Ensuite ils disparaissent sous la pression d’un autre empire ou de quelque vice interne. Valery disait que les civilisations sont mortelles. Pouvons-nous tout de même dégager quelque loi qui expliquerait l’émergence d’un empire ou sa disparition ?
    A ce point, il faut se tourner à la fois vers le monothéisme et le patriotisme, deux facteurs dont la présence ou l’absence semblent être d’une grande importance dans les victoires et les défaites. Certes, des défaites, comme disait Raymond Aron, peuvent être des victoires, ou l’inverse. De la bataille de Cannes, Hannibal sortit vainqueur et l’on ne donnait pas cher de Rome juste après. Mais finalement, c’est Rome qui a gagné. Les soldats d’Hannibal étaient des mercenaires, ceux de Rome des patriotes. De même avec le monothéisme. Regardons Juifs et Chrétiens et laissons de côté les musulmans. Après le terrible sac de Jérusalem par les Romains en 70, le nom de cette ville disparaît des documents de l’époque. On ne donnait pas non plus cher des Juifs alors. Malgré ce sac, malgré la diaspora, ils sont toujours bien vivants au 21eme siècle. De même, qui aurait parié un sou sur le christianisme au moment de sa naissance ? Les disciples ou du moins une partie d’entre eux semblent s’être enfui lorsque le Christ fut crucifié. Pierre avait tellement peur d’être arrêté qu’il nia connaître Jésus. Saint Paul n’était même pas présent. Bref, on ne peut imaginer de pires conditions de départ pour une religion qui allait s’étendre sur la terre entière.
    Que conclure ? Une chose est évidente. Ce n’est qu’en comptant, parmi eux, des individus vivant pour « quelque chose » de plus grand qu’eux-mêmes que les hommes parviennent à faire grandir puis à défendre leur patrie ou une religion, étant entendu que celle-ci, le plus souvent, soutient celle-là. Aujourd’hui, dans la modernité occidentale, surtout en Europe avec son culte du moi, tout semble perdu. Mais comme rien n’est joué d’avance….

    LE SOCIALISME C’EST L’AMOUR DE LA MORT, LE CAPITALISME C’EST L’AMOUR DE LA VIE.

    Démonstration faite par Igor Chafarévitch dans son livre, jamais réfuté, « Le phénomène socialiste ».

  9. Posté par Leb le

    En Suisse, il n’y a qu’une droite, c’est l’UDC ; pas assez à droite à mon goût, il faudrait une droite plus radicale qui ne choisisse jamais le compromis stratégique.
    J’ignore quelle est la proportion des gens qui seraient d’accord de voter pour la fermeture de nos frontières, un blocage total de l’immigration afro-musulmane, un programme de remigration et le rétablissement de la peine de mort.
    Une nouvelle droite, non conspirationniste, pas antisémite et qui rejetterait totalement les théories nazies.
    Ce serait le plan A pour sauver notre pays.
    Seriez-vous prêt à joindre un tel mouvement ?

    Le plan B serait d’employer des méthodes plus musclées.
    Les villes comme Lausanne, où les vrais suisses avoisinent les 30% (et si on soustrait encore la masse des assistés volontaires de toutes sortes, nous arrivons à moins de 30%).
    Par conséquence, Lausanne ne sera probablement jamais une ville votant UDC.
    Lausanne est une ville perdue … et toute la Suisse Romande avec.
    Pascal dit : « Le socialisme s’éteint de lui-même lorsqu’il y a plus d’encaisseurs que de payeurs. ».
    Malheureusement, cela peut durer encore un bon moment … et on peut s’endetter encore et encore plus (au diable les générations futures).
    On peut lire dans le récent tout Ménage de l’UDC, excellent par ailleurs, que l’état a vu ses revenus augmentés de 5% entre 2009 et 2014. (2014 : la Confédération était déficitaire de plusieurs milliards). On apprend aussi que c’est l’état qui a embauché le plus, l’état a grossi plus que n’importe quel autre secteur du pays.
    L’état est le plus gros employeur, voilà pourquoi les gens votent de plus en plus à gauche.
    La bande du Marteau Hurlant (le petit nom de Levrat) continuera ainsi son cirque pour détruire notre pays, cela aussi longtemps qu’elle ne rencontrera pas de forces supérieures.
    Comment voyez-vous la création de ces forces ? Quel sera le choix des armes ?

  10. Posté par Charles le

    Nous, Suissesses et Suisses, fiers de ce pays devont nous réveiller et par voie démocratique montrer qu’il y a des limites à ne pas franchir et qu’il faut cesser de nous prendre pour des ânes. Notre conseil fédéral et tout nos élus devraient se rappeler que l’organe décisionnel et suprême de ce pays est le peuple et uniquement le peuple. Et, lorsque le peuple fait connaître sa voix par les urnes, les décisions doivent être appliquées. A tout ces frustrés de socialos, rien ne vous empêchent d’aller voire ailleurs, puisque vous prétendez que l’herbe est plus verte chez vos copains. Vous n’avez encore rien compris à la vie…IL FAUT TRAVAILLER POUR CREER DE LA RICHESSE !!!

  11. Posté par Jeferson le

    Bonjour,
    Les pontes du parti socialistes sont toujours dans le mythe du travailleur étranger à l’écoute des thèses de la gauche. Ils n’ont pas compris -et comme ils sont bornés ils ne comprendront jamais- que ce qui était valable avec des Italiens ou des Portugais, de culture judéo-chrétienne, et donc « assimilables » dans notre société (nos lois sont indirectement basées sur les 10 commandements) ne fonctionne pas avec des gens d’autres cultures. Nos Portugais ou Italiens travaillaient sur les chantiers, comme une sorte de sous-prolétariat et étaient de ce fait d’autant plus réceptifs aux discours des syndicats.
    L’immigration de nos jours est le fait de personnes en majorité musulmanes, totalement hermétiques aux lois suisses, ne partageant pas notre mode de vie, et ne désirant pas plus être assimilé que travailler.
    Je sais que ça fait cliché, mais qui ne connaît pas l’histoire de ces familles venues d’ex-Yougoslavie il y a plus de 20 ans et dont les mères ne savent toujours pas un mot d’allemand ou de français?
    Leurs rejetons émargent qui au social, qui au pénal, leurs papas se poignardent entre Serbes et Kosovars comme on l’a encore vu hier, et sauf à donner le droit de vote aux étrangers, ces gens là ne verront jamais un bureau de vote. Signe caractéristique de leur « attachement » à la Suisse et à nos valeurs, lorsqu’ils meurent on ne les enterre jamais dans la terre impure de la Suisse, ils doivent être inhumés là-bas, en Serbie ou au Kosovo.
    Pire: si un jour malheureux ces étrangers là ont le droit de vote, ce sera le signe que la Suisse n’est plus une démocratie mais une république islamiste! Gageons que ce jour là les imams du socialisme (Levrat, Sommaruga,…) seront les premiers à se convertir et trouverons que les escaliers des minarets c’est souverain pour le coeur! Lorsque la croyance seule, illogique, prévaut, il n’y a rien de plus simple que de changer d’évangile. Et chez ces parasites, retourner sa veste est une seconde nature.
    Le terme exacte pour décrire ces ennemis de la démocratie n’est valable hélas qu’en cas de conflit: on appelle cela des « traîtres à la patrie ». Un jour peut-être, sûrement, ils devront rendre des comptes. Comme internet a une excellente mémoire, toutes ces théories débiles, tous ces écrits anti démocratiques, tous ces complots contre la Suisse remonteront à la surface et ils payeront cher leurs errements.
    Conservons tout et n’oublions rien, l’heure viendra.

  12. Posté par annik le

    Avec un socialiste aussi haineux, inculte et autiste que Christian Levrat et ses disciples plongés aveuglement dans leur idéologie, le socialisme en Suisse n’a aucune chance de chasser la démocratie directe.

  13. Posté par JeanDa le

    « Le socialisme ne dure que jusqu’à ce que l’argent des autres soit épuisé. »
    Margareth Thatcher.

  14. Posté par Pascal le

    Rassurez-vous (ou pas) M. H. Lorsqu’ils seront au pouvoir et qu’il y aura 50 % d’étrangers, ils ne resteront pas longtemps au pouvoir. Le socialisme s’éteint de lui-même lorsqu’il y a plus d’encaisseurs que de payeurs. Et comme les étrangers qu’ils veulent faire venir en Suisse sont des assistés, ils ne voteront plus pour un parti qui ne pourra plus les entretenir. Mais je vous l’accorde, ce jour-là, il sera trop tard.

  15. Posté par coocool le

    Socialism is a philosophy of failure, the creed of ignorance, and the gospel of envy, its inherent virtue is the equal sharing of misery.
    Winston Churchill

  16. Posté par Pierre H. le

    Je n’ai jamais compris comment on pouvait encore voter socialiste ! Et le « socialisme » porte mal son nom ou a été appelé ainsi à dessein pour tromper car il n’a rien de social et n’est pas en rapport avec la société. Le socialisme est un fascisme et est anti-social car il créé les classes et divise les gens. Mon idée est que pour lutter contre des gens anti-démocratiques, nous devons aussi utiliser des moyens anti-démocratiques. Ce sont ma foi eux qui ont perverti les règles, et à mains nues, on ne bat pas un adversaire armé d’un couteau ou d’un revolver. Il faut voir la réalité en face et ne pas tomber dans l’angélisme. Que pourra-t-on faire de démocratique contre eux une fois qu’ils seront au pouvoir avec une population à 50% étrangère qui voteront pour eux ? Et comme vous le dites entre autres choses très vraies, Monsieur Windisch, l’effet cliquet est bien réel et il est difficile de revenir en arrière même pour un parti de droite qui prendrait le pouvoir après (par les armes?). Il fût un temps où le socialisme pénalisait des productifs (lourds impôts) et récompensait les fainéants (grosses allocations), ce qui produisait une société de fainéants. Aujourd’hui, les socialistes pénalisent tout le monde et ils gardent l’argent pour eux-mêmes. La prise de conscience, c’est MAINTENANT !

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