Lyon : Une exposition antichrétienne abominable…

Voici encore une belle cochonnerie christianophobe qui s’expose à Lyon, en plein Carême ! Le photographe dont il est question est un antichrétien tendance pathologique. Voici ce qu’il écrit sur son blogue : « Les deux thèmes principaux qui alimentent ma création photographique sont la critique de la religion, en particulier la religion catholique romaine, et une approche humoristique de la mort »…

Le photographe lyonnais Jean-Baptiste Carhaix, bientôt 70 ans, dévoile cette semaine« Sang pour Sang », une expo choc sur les “dérives de l’Église catholique”, mêlant objets liturgiques et abats d’animaux. Une critique radicale et sanguinolente qui ne manquera pas de faire grincer les dents dans les milieux religieux. L’auteur prend d’ailleurs les devants, en refusant d’apparaître à visage découvert.

Source : Tribune de Lyon (4 mars) via christianophobie.fr

12 commentaires

  1. Posté par ANDRE le

    PROCLAMATION SUR LA LIBERTÉ D’EXPRESSION proposée par REPORTERS SANS FRONTIÈRES aux représentants des organisations religieuses. Les représentants catholiques ont refusé de la soutenir et donc de la signer !
    « Le pluralisme au service de nos libertés :
    La liberté d’expression est garantie par la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789, qui affirme que « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l’homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l’abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi. ».
    La loi française sanctionne l’injure, la diffamation et la provocation à la haine raciale, à la discrimination ou à la violence envers des personnes ou des groupes de personnes, mais non la critique des idées, des symboles et des représentations.
    Elle ne reconnaît ni ne condamne le sacrilège ou le blasphème. Chacun est libre d’exprimer et de diffuser des critiques, même irrévérencieuses, envers tout système de pensée politique, philosophique ou religieux.
    La liberté de conscience, qui est celle de croire, de pratiquer une religion, ou de ne pas croire, est aussi garantie par la Convention européenne des droits de l’homme et la Constitution. Elle doit naturellement s’appliquer sans discrimination.
    Certains peuvent se sentir offensés ou blessés par la critique de leurs croyances, notamment sous la forme satirique. Mais la liberté d’information et d’expression, celle des journalistes comme des citoyens, ne saurait être contrainte ou limitée par les convictions ou les sensibilités des uns ou des autres.
    Ce sont les conditions du respect du pacte républicain et des droits de tous dans une société démocratique pluraliste et tolérante.
    NUL NE PEUT IMPOSER SA CONCEPTION DU SACRÉ Á AUTRUI. »
    Représentants des organisations religieuses soutenant l’initiative
    Dalil Boubakeur, recteur de la mosquée de Paris
    François Clavairoly, président de la Fédération protestante de France
    Marie-Stella Boussemart, présidente de l’Union bouddhiste de France

  2. Posté par CARHAIX JEAN-BAPTISTE le

    Le 21 mars les cathos manifestaient «Pour la vie» alors qu’ils sont contre le préservatif dans la prévention du Sida et comme moyen de contraception «artificielle».
    En pleine pandémie du Sida, les paroles de Jean-Paul II contre le préservatif s’apparentaient à de la non-assistance à personne en danger et des personnalités à l’époque ont dénoncé un crime contre l’humanité. De nombreuses voix se sont élevées alors pour traîner devant la justice ce pape aujourd’hui canonisé, en particulier celle du cancérologue Léon Schwartzenberg en 2006 en cour de Justice Européenne et celle de l’universitaire britannique Richard Dawkins devant le Tribunal Pénal International. Ces instances sont restées sourdes à leurs propositions. Le pape serait-il toujours considéré comme infaillible (selon le dogme de 1870) dans un monde laïcisé ?
    L’Église est contre le préservatif. Déclarer que le préservatif était dangereux comme Benoît XVI en 2009 : «on ne peut résoudre ce fléau en distribuant des préservatifs : au contraire, cela risque d’augmenter le problème», se cacher derrière un pseudo-hygiénisme pour faire peur à ceux qui l’utiliseraient est scandaleux ! Jusqu’à maintenant le préservatif est la seule arme contre les MST. C’est avant tout une arme pour la vie et un moyen efficace de contraception artificielle, sans danger, contrairement à la pilule.
    L’Église est contre la contraception artificielle assimilée à un péché selon le cardinal André Vingt-Trois déclarant au synode des évêques sur la famille (oct. 2014-Lourdes) que les « couples (…) souvent n’estiment pas que l’utilisation de méthodes anticonceptionnelles soit un péché et donc tentent à ne pas en faire une matière de confession et ainsi recevoir la communion sans problèmes ». Il faut « contrecarrer la mentalité contraceptive » (sic) et préférer la «contraception naturelle» dans le mariage. Des associations catholiques luttent pourtant contre la faim dans un monde qui devrait compter 9 milliards d’individus en 2050 : comment peut-on lutter contre ce fléau qui touche d’abord les plus pauvres sans freiner la surpopulation par des méthodes contraceptives ?
    Des prélats célibataires et chastes s’arrogent le droit de s’exprimer sur la réalité de la sexualité humaine : qu’en savent-ils à moins d’avoir une double vie comme le pape François l’a reproché à la Curie romaine en guise de vœux ? L’Église est contre la PMA (qu’est-ce que ça peut leur faire?) et la GPA. Personnellement je n’adhère pas à la GPA parce qu’elle sous-entend l’exploitation des femmes les plus pauvres par les plus riches, mais je peux accepter ce que le Professeur d’obstétrique Israël Nisan suggère : la GPA uniquement pour les femmes qui ne peuvent pas porter d’enfants. Ce serait une forme de charité. Ensuite, il y a tant d’orphelins dans le monde à adopter !
    L’Église soutient que avortement est un crime : En 2009, au Brésil, une petite fille de 9 ans régulièrement violée par son beau-père tombait enceinte de jumeaux. La loi brésilienne autorisant l’IVG en cas de viol ou de grave danger de santé, elle s’est fait avorter à l’hôpital grâce à l’aide de sa mère, qui avait fui le domicile conjugal pour sauver ses enfants des pattes de son compagnon. L’archevêque de Recife a jugé bon d’excommunier la petite fille, sa mère et tout le corps médical ayant pratiqué l’IVG. Le Vatican l’a soutenu, en la personne du cardinal Giovanni Battista Re. Le violeur n’a pas été excommunié, parce que, comme le cardinal l’a déclaré, «le viol est moins grave que l’avortement». Le Vatican l’a confirmé. Quel croyant sincère pourrait souscrire à ça ? Le cardinal Re figure toujours au Collège des Cardinaux et pourrait participer au synode d’octobre 2015 à Rome sur la mission de la famille dans le monde contemporain : une occasion pour ces prélats de se demander ce qu’aurait dit Jésus en la matière. Les viols de milliers d’enfants par des centaines de prêtres catholiques est-il peu grave ?
    Lois républicaines légalisant l’IVG n’obligent aucune femme catholique à avorter. Mais voici ce qu’écrit l’évêque aumônier des Armées Luc Ravel en février 2015 : «L’idéologie islamique vient de faire 17 victimes en France. Mais l’idéologie de la bien-pensance fait chaque année 200 000 victimes dans le sein de leur mère. L’IVG devenue droit fondamental est une arme de destruction massive. Alliés pour la France avec d’autres, nous devons faire front contre les attaques terroristes explicites. Mais, pour autant, nous ne devons pas cautionner les folies de l’euthanasie, du mariage pour tous et autres caricatures de Charlie-Hebdo…Nous voulons nous opposer au terrorisme islamique sans donner raison au terrorisme contre Dieu…Comment aussi demander aujourd’hui à des musulmans droits et de bonne volonté de s’intégrer à une France qui leur est présentée comme une somme de valeurs libertaires, irréligieuses, amorales ? L’intégration en France ne doit pas présupposer l’assimilation à des valeurs déifiées et erronées.»
    Comme le souligne l’Union des Familles Laïques «…de tels propos, clairement opposés aux lois de la République, aboutissent en outre à excuser les assassins du mois de janvier ! Rémunéré par l’État avec un statut d’officier, Luc Ravel est pourtant tenu à l’obligation de réserve !».
    Le choix dramatique d’avorter est d’ordre personnel, privé comme la loi sur la sédation profonde et définitive (librement consentie mais qualifiée par les catholiques d’«euthanasie»), deux thèmes porteurs de ces «Manifs pour la vie» du 21 mars. Le triptyque : non à l’avortement, non à la recherche sur les cellules souches embryonnaires (l’embryon est un être humain), non à la sédation profonde et définitive, ce code moral défini par l’Église respectable en soi pour ceux qui adhèrent à la doctrine catholique, empêche-t-il certains croyants refusant d’attenter à la vie humaine de voter pour un parti politique qui veut rétablir la peine de mort ? La question vaut la peine d’être posée. J-B Carhaix

  3. Posté par Cécile le

    Bonjour,
    J’ai eu la curiosité d’aller voir l’exposition jeudi et vraiment je n’ai pas été déçu.
    Avec beaucoup d’humour et de recul, les images mettent en évidence le vécu d’un artiste à fleurs de peau !
    A l’heure de la Tolérance et de la Fraternité, il est de bon ton d’apprendre à observé et discuter sans toujours chercher la critique et la violence.
    Merci pour ce beau moment totalement tolérant !

    Cécile

  4. Posté par jbm le

    Chers détracteurs, dans le fond, qu’est ce qui vous dérange? Que M. Carhaix dénonce des faits commis par l’institution à laquelle vous croyez?
    Y’a t-il une seule personne capable de prouver – par une référence fiable – que les faits que dénoncent M. Carhaix sont factices?
    Le christianisme s’est enrichi grâce aux images qu’il a véhiculé dans le temps et l’espace. Grâce aux images, le christianisme, a imposé sa morale dans le monde. La guerre symbolique est depuis longtemps lancée! Alors quoi, M. Carhaix n’aurait pas le droit lutter ? M. Carhaix n’aurait pas le droit, lui aussi de produire des images?
    Enfin concernant les remarques les plus virulentes, certaines frisant la bassesse, je vous rappelle, à vous croyants, que si vous critiquez l’oeuvre de dieu, c’est dieu que vous critiquez! Et par la même occasion, vous même!

  5. Posté par Judas le

    Mais si vous avez besoin de loi pour croire en la vie, si vous avez besoin de loi pour vous conforter dans votre soumission et votre aveuglement, c’est que votre vie doit être bien taciturne.
    Les vrais parias c’est vous, avec vos idéologies et votre morale de merde.

  6. Posté par JC Mattei le

    Que pensez-vous de l’action menée et des moyens utilisés par Tomás de Torquemada ?
    Si un photographe avait pu enregistrer les torture de l’inquisition, accepteriez vous que les photos fassent aujourd’hui l’objet d’une exposition?
    Alors il me semble que vous devriez vous souvenir du large et vague « mea culpa » prononcé par Jean Paul 2 en 2000 mais jamais reconduit et même en partie infirmé par Ratzinger.
    Mais ne nous contentons pas de relever les monstruosités commises il y a prés de 5 siècles et interrogeons nous sur la nécessité d’améliorer le traitement des recours d’ecclésiastiques accusés de Delicta Graviora (abus sur mineur) par une commission spéciale instituée en 2014. Epine qui entache à ce point l’église quelle fait l’objet du Motu proprio Sacramentorum Sanctitatis Tutela de Jean-Paul II du 30 avril 2001 et de la lettre De delictis gravioribus du 18 mai 2001 du cardinal Jozef Ratzinger.
    Que pourriez vous reprocher à un(e) artiste qui mettrait en scène les crimes commis par des ecclésiastiques en charge d’âmes qui abusent des corps de leurs ouailles?
    Je ne tente pas de justifier le travail de Mr Carhaix, il le fait très bien tout seul, mais de montrer que la critique si elle se veut constructive doit commencer par se faire de l’intérieur et là bon courage.
    Wilhelm Pressel, dans son livre « Hexen und Hexenmeister », imprimé à Stuttgart en 1860 nous livre le rapport du premier jour de torture, d’une femme accusée de sorcellerie à Prossneck (Allemagne), en 1629 : Le bourreau lui lie les mains, lui coupe les cheveux et la place sur l’échelle. Il lui jette de l’alcool sur la tête et y met le feu pour brûler la chevelure jusqu’aux racines. Il lui place des morceaux de soufre sous les bras et autour du cou, et les enflamme. Il lui lie les mains derrière le dos et l’élève jusqu’au plafond. Là, il la laisse suspendue pendant trois ou quatre heures jusqu’au petit déjeuner. A son retour, il lui asperge le dos d’alcool et y met le feu. Il lui attache de très lourds poids au corps et l’élève à nouveau. Après cela, il lui place le dos contre une planche hérissée de pointes acérées et la remonte une fois de plus jusqu’au plafond. Il lui comprime alors les pouces et les gros orteils dans les vis et lui frappe les bras avec un bâton. Il la laisse ainsi suspendue pendant un quart d’heure jusqu’à ce qu’elle s’évanouisse. Puis il lui presse les mollets et les jambes à la vis.
    Il la fouette ensuite avec un fouet conditionné pour la faire saigner. A nouveau, il lui place pouce et gros orteils dans les vis, de six à treize heures, pendant qu’il va manger un peu avec les officiels et la cour. Le lendemain, ils reprirent mais sans pousser les choses aussi loin que le jour précédent …
    Je ne présume pas de la véracité des faits énoncés dans ce texte, mais biens d’autre issus des archives de l’inquisition viennent le corroborer.

  7. Posté par Chad RAIDSONNE le

    Comment peut-ont tenir les discours que je lis ici et à la fois se revendiqué comme croyant de la religions qui vous apprend à tendre l’autre joue?
    L’histoire ne nous à t’elle pas appris à plusieurs reprise qu’interdire ce qui nous dérange n’est pas la solution ?
    Accueillez celui qui est faible dans la foi, sans critiquer ses scrupules. – Romains 14:1

  8. Posté par Mesange le

    Bonjour,
    Je lis avec stupeur les attaques virulentes contre l’exposition de Jean Baptiste Carhaix et même contre sa personne.
    Jean Baptiste Carhaix est un photographe qui a toujours exprimé ses convictions avec une grande maitrise esthétique. Ici il ne fait que critiquer l’église catholique dans ce qu’elle a de plus répréhensible à travers l’histoire et jusqu’aux crimes récents de pédophilie que le Pape lui-même a condamnés. C’est son droit, c’est sa manière, c’est son expression artistique et photographique, c’est sa liberté d’expression : peut-être avez-vous participé à cette grande marche après les crimes dus au fanatisme religieux du mois de janvier en portant l’écriteau « Je suis Charlie », dans ce cas …
    Voyez l’exposition, parlez avec le photographe… et jugez par vous-même avant de critiquer, de vous emporter, voire de menacer.
    Ouverture d’esprit, analyse, compréhension, culture ne font pas de mal à la vie en société !
    J’en termine en vous exprimant d’une part ma tristesse provoquée par la virulence de certains, ma confiance envers ceux qui voyant l’exposition en comprendront la teneur.

  9. Posté par Simon le

    Entièrement d’accord avec vous Sancenay.
    Et M.Blanchon je crois n’avoir jamais lu autant de foutaises rapportées de médias médiocre et autre « on dit » ou conclusions hâtives rassemblé en un seul commentaire et rédigé dans un désordre impressionnant.
    Si vous voulez combattre les religions (je pense que c’est de loin pas la bonne solution) attaqué également celle de l’athéisme qui est bel et bien une religion. (l’homme a toujours eu besoin de croire en quelque chose, avoir des règles, des convictions et des principes à suivre même si c’est de ne pas croire)

    PS: les plus grand génocides de l’histoire n’ont pas été perpétrée au nom de la religion..

  10. Posté par Pierre-Jean Blanchon le

    Je ne comprend pas vos commentaires. Avez-vous seulement vu l’exposition ?
    Il y a un peu plus d’un mois en arrière mourraient 17 personnes à cause du fanatisme religieux. La liberté d’expression ne s’use que si l’on ne s’en sert pas !
    Le droit des Chrétien d’Irak à vivre est aussi important que le droit des athées de donner leur point de vu aussi subjectif soit-il.
    Vous n’avez aucune obligation de visiter l’exposition, pas plus que vous ne devez louer cette exposition si celle ci n’est pas à votre gout. Par contre, votre dieu prône la tolérance avant tout, ne soyez pas partiaux sur ses enseignements au risque de prendre vous même votre ticket vers les régions chaudes du ciel auquel vous croyez.
    L’oeuvre de Jean-Baptiste Carhaix est d’une très grande qualité plastique, par ailleurs le débat qu’il ouvre sur les crimes de l’église n’est en aucun cas blasphématoire si tant est que l’adjectif existe… Il ouvre un débat salutaire pour une communauté qui a un grand besoin de balayer devant sa porte.
    Paix et amour les amis ! (amour avec un préservatif bien entendu !)

  11. Posté par Sancenay le

    Sans doute serait-il politiquement conventionnel de confier ce vieux schnok aux bons soins de ses compères Léonetti, Sicard, Attali et Romero et autres blanches sirènes du  » suicide assisté » , car à son âge et au rythme de ses productions séniles autant qu’ haineuses, emblématiques de la « tolérance » et de la « fraternité » systémiques, ce vieux débris pervers pourrait laisser entendre dans le plus pur esprit du Système qu’il ne « sert à rien » , sauf à ce que de fait, il collabore très officiellement ainsi à « faire du passé table rase » facilitant par là « l’aboutissement » cher à notre Sinistre de l’Injustice , de la révolution totalitaire. Mais c’est sûrement là une hypothèse malveillante , n’est-ce pas ?
    Bah, de toute façon les loups ne se bouffent pas entre eux, ils dévorent plutôt sans risque les agneaux et de préférence dans le ventre de leurs mères, en « cannibales » qu’ils sont redevenus selon l’estimation toute scientifique du Professeur Jacques Testard.
    N’est-il pas dit que l’on arrête pas le « Progrès », surtout lorsqu’il se trouve lancé plein gaz dans sa folle course vers la nuit des temps.

  12. Posté par Patrick Stocco le

    Bah ! Une bonne loi européenne anti-blasphème, aussi dissuasive que répressive, aura vite raison de tous ces dessinateurs, peintres, photographes, écrivains, musiciens, tragédiens, cinéastes, intellectuels et autres artistes mécréants 😉

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