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L’intégration, un scandale suisse:
http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/-L-aide-sociale-n-est-pas-l–pour-doubler-les-salaires–1933568105 mars 2015 19:04; $
«L’aide sociale n’est pas là pour doubler les salaires»
par Christian Humbert – Deux cas d’abus de l’aide sociale ont occupés les tribunaux, jeudi. L’une des audiences a dû être reportée en raison d’un flou sur les montants soustraits.
«L’aide sociale n’est pas faite pour doubler les salaires»: c’est en ces termes que la présidente du tribunal de police de Lausanne s’est adressée à un KOSOVAR DE 46 ANS, JEUDI MATIN. DEPUIS PRES DE QUINZE ANS, CET HOMME – D’ABORD MARIE A UNE SUISSESSE PUIS A UNE COMPATRIOTE – VIT DES AIDES DES SERVICES SOCIAUX OU DU CHOMAGE DANS L’ATTENTE D’UNE RENTE AI REFUSEE A CE JOUR. DE NOVEMBRE 1999 A 2008, IL AURAIT DISSIMULE DES TRAVAUX REMUNERES, SI BIEN QUE L’ETAT LUI RECLAME AUJOURD’HUI 134’000 FRANCS. A CETTE SOMME S’AJOUTENT 150’000 FRANCS DE PENSIONS ALIMENTAIRES PAYEES A SA PLACE PAR LES ORGANISMES OFFICIELS. «VOUS AURIEZ PU VERSER QUELQUE CHOSE POUR CONTRIBUER A L’ENTRETIEN DE VOS ENFANTS», LUI A FAIT REMARQUER LA PRESIDENTE.
En 2013, une première audience avait déjà été suspendue en raison des lacunes de l’enquête. Jeudi, les faits n’étaient guère plus limpides en ce qui concerne les montants réellement soustraits. L’audience a donc une nouvelle fois été reportée. L’enjeu est important pour ce père de six enfants puisque le Ministère public réclame neuf mois de prison ferme pour escroquerie contre lui.
Audience similaire juste à côté
Dans une salle voisine du tribunal, UN COUPLE DE SUISSES comparaissait également pour avoir encaissé 114’000 francs de prestations indues alors que MADAME TOUCHAIT UNE RENTE AI, CE QU’ELLE S’EST GARDEE DE SIGNALER. Son mari a aussi eu des mandats rétribués sans le dire. Or, a plaidé la défense, L’EPOUSE NE LIT PAS LE FRANÇAIS et il suffisait aux services sociaux de réclamer la feuille d’impôts pour voir apparaître la rente AI. «On ne peut pas demander aux services sociaux de tout vérifier», a constaté le président du tribunal, notant au passage que l’homme n’est guère accablé par les remords. Le sexagénaire a écopé de 12 mois avec sursis pour escroquerie. Quant à sa femme, elle a été libérée mais devra s’acquitter de ses frais.