France: 44 clandestins afghans font annuler un arrêté d’expulsion et reçoivent une indemnité

La lutte contre l’immigration massive actuelle subie par la France, doit-être la priorité nationale. Avant le chômage, la dette publique ou que sais-je encore, car l’arrivé de ces 450 000 primo-arrivants par an engendrent les problèmes cités plus haut. Elle coûte à nos finances publiques plus de 80 milliards d’€ par an, accentue le non-emploi, aggrave la crise du logement, ou le trou de notre sécurité sociale. Sans oublier toutes les questions relatives à l’insécurité galopante.

Seulement, nos élites mondialisées n’en ont cure, pour elles ces gens sous-socialisés, sous-éduqués, non-assimilables mais surtout sur-subventionnés sont la nouvelle France. Ils sont amenés à remplacer une population que nos gouvernants jugent pas assez bien pour eux.

Ainsi, nous apprenons que « Le tribunal avait été saisi par un Afghan qui avait été placé en rétention dans un centre de Seine-et-Marne à la suite de l’évacuation du lieu de distribution des repas aux migrants rue de Moscou à Calais le 2 juillet 2014, à la demande de la mairie. Il était sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF). »

« Outre l’annulation de l’arrêté, le tribunal condamne l’État à verser au plaignant 1.000 euros. »

« Quelque 205 personnes avaient alors fait l’objet de mesures d’éloignement et été réparties vers sept centres de rétention en France, dont elles ont été libérées pour la plupart d’entre elles quelques jours plus tard, est-il expliqué dans la décision.

Le jugement, daté du 19 février, a été transmis, outre au plaignant, à trois associations qui le soutiennent: Avocats pour la défense des droits des étrangers (ADDE), la Cimade et le Groupe d’information et de soutien des immigrés (Gisti).

Le tribunal considère notamment que la procédure n’a pas été respectée car le plaignant n’était pas en possession de documents justificatifs de sa nationalité et que la préfecture aurait dû contacter les autorités afghanes. Le tribunal conclut que la décision portant obligation de quitter le territoire «ne peut avoir été prise que dans le but de procéder à l’expulsion (du plaignant)» du lieu de distribution des repas.[…]

Au total 44 expulsés du 2 juillet contestent leur OQTF, et la décision devrait s’appliquer aux 43 autres plaignants qui sont dans une situation identique, a précisé de son côté un représentant du Gisti. »

Voilà ce que devient la France de 2015, où ceux qui enfreignent la loi sont libérés, remis dans leurs droits et comble de tout indemnisés. Nous ne sommes plus un Etat souverain mais un terrain vague sans cadre juridique. Nous sommes dans l’obligation d’accepter ceux que les autres pays rejettent car étant en marges. C’est la destruction programmée de la France par les traîtres au pouvoir au profit de l’étranger spoliateur. Mais qu’attend-on pour stopper net cette situation ? Le consumérisme dont jouissent bon nombre de nos compatriotes pousse à la paresse et au déclinisme. Nos ancêtres français renversaient des régimes lorsque ceux-ci allaient à l’encontre du peuple. Bientôt ce sera au tour de notre génération d’imiter nos aînés. Auquel cas la France ne s’en relèvera pas.

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Un commentaire

  1. Posté par hausmann conrad le

    Comme dans toute l’EU et la Suisse,la racaille vient de partout dans le monde et elle est conseillée par des assistants sociaux payés par les contribuables. C’est notre masochisme destructeur.

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