NDLR. Non, vous ne rêvez pas. C’était le 12h45 de ce jour de « votre » TV de Service public (rts.ch) .
Aucune gêne à passer pour des « antiquités » en protestant contre cette promotion gratuite, en fait sur notre redevance, pour ce » festival du slip ». Qui se réjouira de cette « performance »?
Plusieurs centaines d’auteurs de nombreux livres et oeuvres de qualité, mais pas politiquement correct, ne passent pas une seule minute dans les médias officiels.
Heureusement qu’il y a le Net, en plus non subventionné. Pas non plus d’obligation de payer même si on ne consulte pas!
Merci à nos lecteurs.
Au 12h45 de « votre télévision ». L’invitée culturelle: Lucie Blush est réalisatrice de films pornographiques féministes. Promotion pour le « Festival du slip » pendant 8’40 !
« La fête du slip »? Moi, je la préfèrerais sans …
Parler avec autant de sérieux et de prétention de ce qui ressemble comme deux gouttes d’eau aux téléfilms de fin de soirée sur RTL9 ou sur d’autres chaînes de la TNT, est parfaitement risible. Que notre chaîne publique (parce que financée publiquement) consacre plus de 8 minutes de son journal prétendument d’information, est parfaitement ridicule. L’invitée se réclame d’un féminisme manifestement plus proche de celui des grotesques Femen que de celui d’Elisabeth Badinter ou de Simone Veil. Ce genre de billevesées à revendication intellectuelle et novatrice, qui se veulent audacieuses alors qu’elles ne sont que de prétentieuses resucées post-soixante-huitardes, aurait toute sa place dans «Vertigo», l’émission la plus «bobo» (ça rime, en plus) et la plus emm… (il faut le faire!) de la mal nommée «Première». Enfin… autant parler d’érotisme à la sauce féministe (non-sens à visées mercantiles) que de subir la propagande médiatique récurrente en faveur de l’immigration illimitée, de l’imposture multi-culturaliste, de l’islamo-complaisance et de l’européisme primaire.
C’est totalement débile. Que des personnes se complaisent dans tout ce qui touche au sexe ne me dérange pas, la société étant ce qu’elle est. Par contre que de telles inepties soient financées par une contribution obligatoire (redevance Billag) est révoltant. Il est grand temps de privatiser cette institution gangrénée et ainsi chacun achètera ce qui lui convient. Service public aux orties !