Les dossiers de requérants d’asile et venus de pays à risques, comme la Syrie, ne sont de loin pas tous vérifiés par le Service de renseignements de la Confédération.
Alors que la menace terroriste en Occident augmente, les agents fédéraux en charge de débusquer les éventuels extrémistes en Suisse examinent de moins en moins les dossiers des demandeurs d’asile. Cela même s’ils viennent de pays aussi instables ou à risques que la Syrie ou l’Irak.
Explications: la plupart du temps, on ne transmet, par exemple, pas les dossiers des requérants dont on pense que la demande n’a que peu de chances d’aboutir. Mais le problème demeure, même dans les cas où le requérants est finalement débouté: d’abord car cela peut prendre des années, et ensuite parce 80% des demandeurs d’asile originaires de pays à risques finissent par rester en Suisse.
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