Radio Courtoisie. Bulletin de Réinformation 30.1.2015 : « Pendant 16 ans, de 1997 à 2013, 1400 jeunes filles blanches ont servi d’esclaves sexuelles à des bandes appartenant à la communauté pakistanaise… »

Extraits.
Courant août dernier, une enquête du Times révélait que pendant 16 ans, de 1997 à 2013, 1400 jeunes filles blanches, souvent des mineures, ont servi d’esclaves sexuelles à des bandes appartenant à la communauté pakistanaise de Rotherham, une cité du Yorkshire

Grands sujets

 

Polémique autour de la convocation au commissariat d’Ahmed, 8 ans

 

Mercredi, Ahmed, 8 ans, élève de CE2 dans une école élémentaire de Nice, a été entendu en compagnie de son père dans un commissariat de la ville pour « apologie d'acte de terrorisme ».

 

Une semaine auparavant, le directeur de l’école était venu faire une déposition au commissariat, rapportant des propos qu’il affirme avoir entendu au lendemain de la tuerie à Charlie Hebdo, dans la bouche de l’enfant, je cite : « Il faut tuer tous les Français, je suis dans le camp des terroristes, les musulmans ont bien fait, les journalistes méritaient leur mort ». Fin de citation. Autre grief de l’enseignant à l’encontre du jeune Ahmed : ce dernier aurait refusé, je cite encore : « De respecter la minute de silence et de faire partie de la ronde de solidarité (sic !) après les attentats ». Fin de citation. Notons que sur les réseaux sociaux, les témoignages de cet acabit abondent de la part des enseignants, évidemment moins explicites pour ne pas heurter la sensibilité des braves gens qui pensent encore que l’islam est un long fleuve tranquille.

 

Le jeune Ahmed n’a très vraisemblablement fait que répéter à l’école les menaces qu’il entend proférer quotidiennement à la maison

 

Sans, naturellement, tout comprendre. Pressé par l’instituteur et le directeur de dire qu’il « était Charlie », l’enfant, excédé, a fini par répondre qu’il était au contraire « avec les terroristes », du moins si l’on en croit la version du père. Fabienne Lewandowski, directrice adjointe de la sécurité publique des Alpes‑Maritimes, précise par ailleurs, je cite : « Ahmed nie catégoriquement avoir dit "à mort les Français". [A la question :] "C’est quoi, un terroriste, pour toi ?", Ahmed répond : "Je sais pas" ». Comme l’a précisé hier le ministre de l’Education nationale, Najat Vallaud‑Belkacem, ce ne sont pas les déclarations de l’enfant mais l’attitude « brutale » (sic) du père qui, le 21 janvier, est venu dans l’établissement pour y menacer les enseignants et y tenir des propos également très « problématiques », qui a décidé le directeur de l'école a porté plainte contre le père, et non contre l'enfant.

 

Le dogme officiel du « Vivre ensemble » en sort une nouvelle fois passablement écorné…

 

A qui fera‑t‑on croire que le jeune Ahmed a sorti ces propos abrupts de son chapeau ? Inutile d’être féru de psychologie infantile pour savoir qu’à huit ans, les enfants ne sont que des éponges et des caisses de résonance de leur environnement. La DGSI peut faire l’économie d’informateurs dans les mosquées. Il lui suffit d’écouter ce qui se dit dans les cours de récréation…

 

 

Grande Bretagne : la traite des blanches à ciel ouvert !

 

Courant août dernier, une enquête du Times révélait que pendant 16 ans, de 1997 à 2013, 1400 jeunes filles blanches, souvent des mineures, ont servi d’esclaves sexuelles à des bandes appartenant à la communauté pakistanaise de Rotherham, une cité du Yorkshire

 

Des centaines de nouveaux cas ont été rapportés depuis, comme l’a révélé hier un article d’un média en ligne britannique. « Ils sont intouchables » déplore l’une des victimes… Pendant ces 16 années, ces viols avaient déjà été volontairement étouffés par la police et les services sociaux de la ville, qui craignaient de passer pour racistes. Comme le note le rapport de police qui a finalement révélé l’affaire, je cite : « Les victimes sont en quasi‑totalité des enfants britanniques, blancs. Quant aux auteurs, ils appartiennent à des communautés ethniques minoritaires ». Et le rapport de poursuivre : « Les membres des équipes d’investigation sont très souvent réticents à préciser les origines ethniques des auteurs, de peur de passer pour racistes ». Fin de citation.

 

Autrement dit, mieux valait laisser des adolescentes, parfois des enfants, être, comme on le lit dans le rapport, « victimes de viols collectifs, enlevés, battus et intimidés », plutôt que de risquer d’être catalogués de racistes…

 

Rotherham n’est pas la seule agglomération de Grande Bretagne concernée. A Bradford, les forces de l’ordre n’ont pas osé arrêter les membres d’un réseau ethnique de proxénètes qui prostituait des adolescentes blanches, par crainte de provoquer des violences raciales et de perturber ainsi la campagne électorale locale. Entre 2008 et 2009, à Rochdale, près de Manchester, 47 jeunes Anglaises de souche, âgées de 13 à 15 ans, ont été violées et obligées de se prostituer par des gangs composé de huit Pakistanais et d’un Afghan. En 2008, une des victimes avait dénoncé ses tortionnaires à la police, qui a délibérément ignoré son témoignage. Pour l’ancienne députée travailliste Ann Cryer, les autorités étaient, là aussi, pétrifiées à l’idée d’être accusées de racisme.

 

Mais il semble qu’on vienne de franchir un degré de plus dans la servitude

 

Selon un article de l’édition en ligne du média britannique Sky News, publié hier, c’est en toute impunité que les violeurs ethniques poursuivent leurs activités criminelles. Une des victimes, gardant naturellement l’anonymat, constate que ses agresseurs continuent à « cibler » des jeunes filles, sans être le moins du monde inquiétés par la police. « C’est encore pire à présent, affirme‑t‑elle, parce que, maintenant, ils ne se cachent plus (…) Il sont devenus intouchables ». Fin de citation. La dhimmitude des Européens, c’est maintenant…

 

Brèves françaises

 

Quand Trappes fait de l’ombre au 9‑3

 

Le quotidien local Les Nouvelles de Versailles l’a révélé dans son édition de mercredi : une soixantaine de « jeunes » ont quitté les Yvelines dans les derniers mois pour se rendre en Syrie. Dans certaines villes du département particulièrement ethnicisées, on redoute des quotas plus massifs. Ainsi, de Trappes, je cite le journal : « La municipalité a monté une cellule de crise. Le maire PS Guy Malandrain devrait recevoir ces jours‑ci les familles des jeunes djihadistes. Et visiblement, poursuit le quotidien, c’est la panique à bord. Deux cents jeunes seraient sur le point de partir ». Fin de citation. Selon le dernier état des lieux du renseignement français concernant la menace djihadiste, publié par le Figaro le 20 janvier, le nombre total de Français impliqués dans le djihad serait d’environ 1 300, en hausse de 130 % depuis un an, avec entre dix et quinze cas supplémentaires chaque semaine. Au vu de la seule réalité yvelinoise, ces chiffres semblent largement dépassés.

 

 

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