Des élus de banlieue ont réclamé jeudi à François Hollande des actes pour mettre en oeuvre la « politique de peuplement » voulue par Manuel Valls après les attentats qui ont frappé la France, afin d’en finir avec les ghettos communautaires.
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Au point où en sont les choses, état de putréfaction avancé, je ne me verrais pas vivre avec ces embababouchés. Ils sont bien trop nombreux et il fallait y penser avant. J’ose à peine imaginer avoir un barbu en djellaba et sa fatima déguisée en foie gras au torchon comme voisins. Je demanderais l’asile politique à la Brévine… planche du salut ou solution finale, ils ne supportent pas le froid.
Aux Etats-Unis, la même « bonne » intention n’a eu qu’un résultat: une année ou deux après l’installation des premiers résidents noirs dans un quartier de la classe moyenne blanche, il n’y avait plus aucun blanc. En fait, ni les uns ni les autres ne souhaitent cohabiter. Je doute qu’il en aille autrement en France où, d’ailleurs, les Maghrébins méprisent les Subsahariens et les Sénégalais les Maliens. Et ce n’est pas exhaustif. Mais en raison du dogmatisme, de l’aveuglement et du déni mécanique des politiques, un coûteux naufrage de plus est à pronostiquer. Il servira ensuite à justifier des réactions de « frustrations » de la part des « victimes » (massivement importées année après année) naturellement « discriminées ».
Je me demande si les élus bourgeois et de la gauche caviar résidant p.ex. de Neuilly seraient d’accord de cohabiter avec des Maghrébins musulmans issus des cités. J’en rigole d’avance.