«Tout comme la démocratie directe ou le fédéralisme, les droits de l’homme sont indissociables de la Suisse», a souligné jeudi la conseillère fédérale Simonetta Sommaruga devant le public de l’Institut européen de l’Université de Zurich.
Alors que la participation de la Suisse à la Convention européenne des droits de l’homme (CEDH) est remise en cause, à l’occasion du 40e anniversaire de l’adhésion, la ministre rejette toute idée de séparation.
Evoquant «certaines voix qui se dressent contre les juges étrangers et préconisent un retrait de la convention», Simonetta Sommaruga a évité de citer nommément son collègue Ueli Maurer, qui a fait cette proposition au Conseil fédéral. «Un juge qui veille à la défense des droits de l’homme peut-il vraiment nous être étranger?» rétorque-t-elle.
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Qu’elle hypocrite. Elle se dit défendre les droits de l’homme de 1948 mais ne fait pas expulser les musulmans qui violent les droits de l’homme de 1948 et les ont remplacée par leurs droits musulmans.. La déclaration des droits de l’homme en islam a été adoptée le 5 août 1990 au Caire par 57 états musulmans. Dans le texte original de cette déclaration, ce n’est pas le terme droit qui est utilisé, mais le terme « dignité humaine ». Cette déclaration des droits de l’homme de l’islam est toute imprégnée de la « charia », se distance énormément de nos droits de l’homme de 1948, et s’y oppose. Par exemple, elle dit au premier article: « Toutes les créatures humaines sont des sujets d’Allah ». La liberté de conscience est donc illicite dans ces 57 états musulmans signataires. Au sixième article, cette déclaration précise que les droits des femmes ne sont pas ceux des hommes, que la femme jouit de droits spécifiques à son genre et qu’il incombe aux femmes des devoirs tout particuliers. L’article 24 de cette déclaration du Caire dit que les dispositions de cette déclaration sont sujettes à la « charia » et l’article 25 dit que la « charia » est l’unique source d’explication et de clarification de cette déclaration. Ces deux articles affirment ainsi que l’exemple de Mahomet, soit la « sunna » laquelle est la racine de la « charia », a la suprématie dans le domaine des droits de l’homme. Que dire de cette prétendue déclaration islamique des droits de l’homme, qui énonce toute une série de « droits », en précisant sournoisement que ces « droits » ne peuvent s’exercer que dans les limites des prescriptions coraniques ? Concrètement, cela signifie que nos droits de l’homme de 1948 sont inapplicables dans ces 57 états musulmans signataires. Cette déclaration n’est qu’un leurre pour de naïfs occidentaux qui ne saisissent pas le double langage des musulmans.
N’est-il pas normal qu’une nation indépendante n’accepte pas qu’un juge étranger prétende dire la loi chez elle ? Pire, encore, lorsque ce juge prétend dire « le droit » plutôt que la loi, comme s’il s’agissait d’une chose universelle. C’est une ridicule prétention que de vouloir universaliser ce qui est sorti de la cervelle de quelques uns, à un moment donné de l’Histoire, dans un pays donné. Je dirais même que c’est un crime d’hubris.
Les « droits de l’homme » n’existent pas : c’est juste une pétition de principes qui eut sa raison d’être à une époque où l’on sortait de la féodalité pour lui substituer conjointement démocratie et libre-entreprise. Mais très rapidement, ces idées ont été confisquées et dénaturées par le socialisme sous toutes ses formes.
Aujourd’hui, paradoxalement, c’est devenu un instrument de délitement social (on accorde des « droits » à n’importe qui/quoi) et d’asservissement. Par exemple : reconnaître des « droits » à des communautés allochtones s’installant sur nos terres, c’est renier nos propres lois, faire des autochtones des étrangers en leur propre pays et, finalement, les asservir.
Il en va exactement de même des actions liberticides de la cour européenne des droits de l’homme : le « machin » européen prétend tout niveler et laisse se dérouler – quand il ne l’organise pas – le processus de subversion des peuples d’Europe par ceux du tiers-monde. Il ne peut en résulter que ruine et tyrannie.
Il y a, heureusement, en Suisse, des citoyens conscients du danger et qui, à mon sens, ont parfaitement raison de suggérer que leur pays cesse d’obéir aux oukases de l’Europe. J’espère qu’en dépit des sophismes de Sommaruga (dont je ne cesse de penser qu’elle est une catastrophe pour son pays), le Peuple Suisse suivra une fois de plus la voie de l’indépendance.
C’est comme pour Leuthard, comment peut-on voir la vérité en face avec de tels yeux ? Les problèmes visuels agiraient-ils sur le psychisme ou inversement ? Est-ce le faux-c.. qui fait la vision ou la vision qui fait le faux-c.. ?
Puisque les droits de l’homme sont indissociables de la Suisse, la Suisse peut très bien se passer de la CEDH.