Robert Badinter, en tant que juif, ne peut ignorer ce qu’est l’islam, et le sort que Mahomet et ses disciples ont fait subir à ses ancêtres.
Personne n’a oublié la date du 9 octobre 1981, où Robert Badinter, garde des Sceaux du gouvernement Mauroy, obtint l’aboutissement du combat de sa vie : l’abolition de la peine de mort, considérée par lui et son camp comme un acte barbare indigne d’une civilisation évoluée. François Mitterrand et ses alliés surent imposer cette décision à une opinion majoritairement hostile, dans un contexte où on ne guillotinait plus que deux ou trois personnes par septennat.
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Le but de l’opération n’est pas d’abolir telle ou telle loi, mais d’affaiblir l’autorité de tel ou tel état. Tout cela est remarquablement logique.