Sauvons l’or de la Suisse : l’aveu de la BNS !

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Par Charles Sannat.

facepalm credits Hobvias Sudoneighm (licence creative commons)

Revenons sur les commentaires pour le moins hallucinants d’aveu du gouverneur de la Banque centrale suisse à propos du référendum concernant le rapatriement des réserves d’or suisse… en Suisse ! Voici ce qu’il a déclaré :

« L’initiative sur l’or de la BNS combine un seuil minimum de métal jaune avec une interdiction de le revendre et serait fatale au bon fonctionnement de l’institution, selon son président. Cela limiterait les activités à long terme de la BNS. »

Encore plus grave pour Thomas Jordan, « l’initiative, soumise au peuple le 30 novembre, impose un quota fixe d’un certain actif – dans le cas présent l’or – à la Banque centrale », une contrainte « peu judicieuse » mais acceptable. « Nous devrions simplement garder plus d’or au lieu de dollars et de yens », explique Thomas Jordan. Mais l’institution ne pourrait pas le revendre si elle devait réduire le volume de son bilan.

L’initiative pourrait même attiser l’appétit des spéculateurs. « Ils ne peuvent guère rêver mieux que d’avoir la certitude qu’il y a quelqu’un qui va devoir acheter quelque 70 milliards de francs d’or et qu’il ne puisse ensuite les remettre sur le marché. »

Enfin, pour Thomas Jordan, « ce n’est pas la quantité d’or gardée par la Banque nationale qui détermine la stabilité des prix et celle du franc suisse, mais notre politique monétaire ».

« Lors de l’assemblée générale de la BNS en avril 2013, Thomas Jordan avait déjà jugé l’initiative « contre-productive ». Il avait alors défendu le stockage décentralisé, qui permet, selon lui, « de pouvoir assurer la continuité de l’exploitation même dans des circonstances difficiles… »

Une forme d’aveu !

Aucun des arguments évoqués par le gouverneur de la BNS ne tient la route « économiquement » parlant. Avoir plus de réserves d’or n’empêche nullement de défendre une parité euro/franc suisse en créant autant de papier que nécessaire. Avoir une quantité minimum d’or à détenir n’est en aucun cas un problème. Cela le serait en revanche s’il était demandé à la BNS de détenir un pourcentage fixe d’or par rapport à son bilan. Dans ce cas, chaque création monétaire devrait s’accompagner d’achat d’or correspondant… ce qui pourrait vite poser quelques problèmes d’approvisionnement !!

Concernant les spéculateurs qui profiteraient des achats suisses, je crois qu’il faut vraiment rassurer le gouverneur de la BNS. En effet, plus Poutine et les Chinois achètent d’or… plus les cours baissent !! En clair : plus on achète, plus les prix diminuent. Tout est donc parfaitement normal dans un monde économique logique !! (C’est ironique bien évidemment.)

Pour conclure, le gouverneur de la BNS trouve très pertinent de garder son or ailleurs, c’est-à-dire de le faire garder par d’autres tout en ne sachant rien de ce que devient son métal jaune… Vous conviendrez que, comme argument massue, il y a tout de même mieux.

Le précédent de l’Allemagne

L’Allemagne aussi a renoncé à rapatrier son or et la raison est fort simple. Les Américains ont décroché leur téléphone et expliqué à Angela que son or n’était plus là et qu’il fallait qu’elle se taise. Message reçu par l’Allemagne qui, finalement, considère que son or est également bien à l’abri à Fort Knox… C’est une façon de voir.

Nous restons donc dans un marché de l’or et du métal jaune particulièrement contrôlé par les Américains, et il est évident qu’il y a un véritable problème autour de l’existence réelle de l’or officiellement comptabilisé.

Dès lors, il y a deux possibilités. Soit les Américains ont bien tout cet or mais ils veulent se le garder et le conserver pour pouvoir agir puis peser lors de la prochaine refonte inéluctable du système monétaire international.

Soit les Américains sont simplement « nus » et la totalité de cet or a été raflé, acheté, livré et vendu à certains pays émergents comme la Russie et bien sûr la Chine.

Le problème de la démocratie suisse

Le petit souci dans le cas suisse, c’est que c’est le peuple qui décide et pas le chef d’État concerné. Les Suisses vont devoir voter et s’ils votent mal, ils pourraient bien mettre un sacré bazar sur le marché de l’or ainsi que, par extension, sur les marchés financiers de la planète. C’est dans ce contexte que les citoyens suisses sont actuellement la cible d’une immense campagne de propagande visant à les dissuader de voter positivement pour un rapatriement de l’or de leur pays.

Nul doute que d’ici au 30 novembre la pression va s’accentuer et les coups pendables augmenter mais le dernier mot, pour une fois, reviendra bien au peuple suisse et j’espère qu’il exigera d’être en pleine possession de son or, ce qui est du simple bon sens.

En attendant, ce qu’il faut retenir de tout cela c’est bien qu’il y a un immense problème autour de la disponibilité des réserves d’or et que l’or reste un actif que les autorités monétaires du monde entier surveillent comme le lait sur le feu (ce qui prouve bien sa capacité à conserver la valeur et son aspect stratégique). Il faut retenir également que lorsque les peuples veulent exprimer un avis contraire à celui de l’élite, on nous promet toujours les affres du chaos, les dangers que nous devrons affronter et le fait que voter contre le système c’est aussi grave que de voir la terre cesser de tourner… Nous vivons uniquement dans une illusion de démocratie et cela n’est pas rassurant pour l’avenir.

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9 commentaires

  1. Posté par Pierre H. le

    @Arthur : « On abandonne notre monnaie nationale et on adopte l’euro, pas le choix.
    Sans vote. Voila où une crise de l’Euro peut nous mener. »

    C’est précisément ce qu’ils veulent !

  2. Posté par Leb le

    Du référendum suisse sur l’or aux nouvelles règles sur les métaux, la crise mondiale.
    DANS SOCIETE / PAR EMILIE DEFRESNE / LE 16 DECEMBRE 2014 A 14 H 52 MIN /
    Deux nouvelles se télescopent sur le marché monétaire: le référendum sur le rapatriement de l’or dans la banque fédérale suisse et les nouvelles règles de fluctuation des prix et les limitations du cours des métaux.
    Les leçons du « NON » au référendum suisse
    Le premier sondage sur le référendum suisse donnait le parti du oui majoritaire, ce qui a entrainé une propagande rarement observée jusque-là en faveur du non, avec comme argument massue: le oui serait un retour à l’Antiquité. Autrement dit l’étalon or, ou la valeur/or serait dépassée à tout jamais.
    C’est donc une grosse défaite pour le camp du retour à l’or physique et à sa valeur tangible face à la planche à billets.
    Selon Dan Popescu, « après le premier sondage, qui a donné le OUI gagnant à près de 50%, la Banque nationale suisse (BNS) a paniqué et s’est mise à faire campagne tous azimuts pour le camp du NON. Même si cela n’est pas contraire à la loi Suisse, j’ai trouvé cela surprenant et très dangereux. Que serait-il arrivé si le OUI l’avait emporté ? Car, quel qu’aurait été le résultat du vote, la BNS aurait dû l’entériner, que cela lui plaise ou non, car le résultat aurait force de loi. »
    « Un récent sondage place la BNS en haut de la pyramide de confiance des décideurs suisses, avec 64%, ce qui pourrait expliquer quelque peu les résultats du référendum. J’ai été aussi surpris par les déclarations rapides et très agressives de la BNS après le vote. »
    « Pour comprendre les politiques récentes de la BNS, il suffit de regarder ce qui est arrivé aux réserves d’or de la Suisse depuis 2000. Les réserves d’or ont baissé de près de 60%, de 2,600 tonnes à 1,000 tonnes, et ont été remplacées par de la dette étrangère. »
    « La Suisse est un acteur majeur du marché de l’or. Près de 70% de l’or mondial transite par la Suisse, de l’Ouest vers l’Est. Les meilleures et plus grandes raffineries d’or se trouvent en Suisse. Aussi récemment qu’en 1999, la Constitution de la Suisse exigeait que le franc suisse soit adossé à 40% sur l’or. »
    Si le oui l’avait emporté l’attaque contre la planche à billet aurait été frontale, mais surtout si l’or n’avait pas pu être rapatrié, c’est la confiance dans le Franc suisse qui aurait été fortement ébranlée.
    les nouvelles règles de fluctuation des prix et les limitations du cours des métaux.
    Cette nouvelle règle se trouve intégralement dans le Special Executive Report S- 7258 du 11 décembre 2014, intitulé : “Implementation of New NYMEX/COMEX Rule Regarding Special Price Fluctuation Limits for Certain NYMEX and COMEX Metals Futures and Options Contracts”
    Sans rentrer dans les détails: « actuellement l’or valant moins de 2 000 dollars l’once, nous nous situons au niveau 1 qui impose une limite de fluctuation de 100 dollars. Si l’or bondit de plus de 100 dollars, alors le cours sera suspendu. Puis à la reprise des cotations, le cours pourra encore augmenter de 100 dollars avant d’être suspendu à nouveau. Cela pourra se produire 4 fois, soit un potentiel de hausse journalière maximum de 400 dollars pour l’once d’or avant que le cours ne soit définitivement suspendu. »
    Pour les autres métaux concernés, dont l’argent et le cuivre, c’est la même logique qui s’impose. De quoi » laisser à tout ce petit monde le temps de la réflexion et de mettre en place les coupe-circuit électroniques qui pourraient s’avérer défaillants en cas de grande volatilité des cours. »
    Ces limites s’appliquent aussi bien à la hausse qu’à la baisse. Il est donc totalement prématuré d’en conclure que les marchés cherchent à se « protéger » d’une hausse à venir. Mais ces règles nouvelles peuvent être le signal « que les marchés anticipent ou craignent une très nette augmentation de la volatilité des cours avec des hausses ou des baisses pouvant être considérables en quelques minutes nécessitant le recours à une suspension des cours afin de permettre aux intervenants sur les marchés de gérer au mieux ou le moins mal possible ces épisodes de fortes tensions. »
    Conclusion provisoire
    la vulnérabilité dénoncé par la campagne pour le « Non » de la Banque Nationale Suisse en faveur du rapatriement de l’or, devrait renforcer la confiance dans l’or métal. Confiance renforcée en raison de la crise d’insolvabilité généralisée qui s’annonce. En effet, une explosion de la monnaie unique européenne pourrait entraîner le dollar vers une hausse très importante, mais comme nous vivons en euros, nous faisons nos transactions sur l’or en euros. L’or peut baisser en dollars alors qu’il monterait en euros, si l’euro s’effondrait face au dollar.
    Tout est possible à court terme, mais à long terme « Ce qui est certain c’est que la situation économique du monde occidental est mauvaise, que la reprise mondiale est plus que balbutiante, que l’endettement des États est désormais insupportable et que ces dettes ne seront jamais remboursées. Ce qui est évident c’est que la dette… c’est votre épargne, dans la mesure où presque tous les placements dits sécurisés reposent en réalité sur des dettes d’États via les titres obligataires. Pas de remboursement des dettes = plus d’épargne. » Autrement dit, contrairement à la Banque centrale suisse, qui a de bonnes raisons de douter de pouvoir récupérer son or/papier en or/métal, les particuliers devraient se méfier des billets et assurer leurs actifs financiers par des actifs tangibles (comme l’or et l’immobilier) pour surmonter au mieux la crise économique qui a commencé en 2007 et dont personne ne connaît la fin, surtout dans l’état de tension actuelle des rapports de forces entre les USA et la Russie, dont la partie visible se joue en Europe, en Ukraine.
    Le début de l’année 2015 nous promet des secousses parce que les problèmes vont devoir être affrontés comme cela a déjà commencé pour l’endettement de la Grèce qui refait surface. La partie décisive se joue au niveau planétaire, avec le risque d’un éclatement subit, mais cela peut aussi s’enliser. Que cela n’empêche personne de fêter joyeusement la Nativité, puisque de toute façon notre sort est entre les mains du Seigneur, rien ne saurait donc nous manquer. Demain appartient à Dieu, mais aujourd’hui dépend de nous.
    Emilie Defresne http://www.medias-presse.info/du-referendum-suisse-sur-lor-aux-nouvelles-regles-sur-les-metaux-la-crise-mondiale/20592

  3. Posté par jessica le

    LEB Malheureusement je ne sais pas…… Mais je suis sûre qu’il y a des gens qui savent comment procéder.
    – Utiliser les réseaux sociaux convoquer tous les convaincus un jour J à un instant T dans plusieurs villes de suisse pour soit un meeting ou une manifestation.
    – Faut-il ou non systématiquement demander une autorisation ?
    – Jusqu’à quel point les « manifestions spontanées » sont elles tolérées ?
    – etc….?
    Vous l’avez compris je ne sais pas comment organiser ce genre de manifestation.
    Par contre je participerais à ces meetings/manifestations en diffusant les lieux et date et en entrainant les convaincus de mon entourage avec moi dans la rue.

  4. Posté par Leb le

    @Jessica
    NOUS descendrons TOUS dans la rue si ces traîtres à notre patrie continuent à nous mépriser, nous bafouer, à vouloir avant tout plaire aux médias, à l’UE, à la CEDH !
    OK. Jessica, organisons une manif OUI à ECOPOP!
    OK. Jessica, organisons une manif SAUVONS l’OR de la Suisse !
    Comment allons-nous procéder ?

  5. Posté par jessica le

    Que ceux qui sont contre l’initiative « sauvez l’or de la Suisse » me disent qu’il se passera si, dans 3 ou 4 ans, la GB et l’Italie et l’Espagne sortent de l’UE, ce qui est tout à fait possible!
    L’euro va s’effondrer et la valeur des centaines de millions d’euros que détient la BNS, directement ou indirectement via les DTS, ne vaudront plus rien!
    Alors que l’or gardera toujours de la valeur, voire en prendra, au fur et à mesure que les monnaies de singes s’effondreront…….pour autant que nous le gardions dans nos coffres.
    Pour le moment nous payons des frais de dépôts et droits de garde certainement élevés, pour nos lingots, qui ne sont probablement plus dans les coffres US depuis longtemps!
    Une fois dans nos coffres, nous n’aurons plus de frais de dépôt à payer…..c’est déjà ça de gagner !
    Des arguments contre?

  6. Posté par jessica le

    Les propos de M. Jordan sont en effet hallucinants….preuve qu’il ment et manipule. En fait son seul intérêt il le dit clairement ***« L’initiative sur l’or de la BNS combine un seuil minimum de métal jaune avec une interdiction de le revendre et ** serait fatale au bon fonctionnement de l’institution***, selon son président. Cela **limiterait les activités à long terme de la BNS**. »
    En clair, ce qui l’obsède, ainsi que notre CF, c’est que cette initiative limiterait le pouvoir absolu et discrétionnaire dont la BNS bénéficie.. le POUVOIR de se vendre et d’obéir aux diktats financiers étrangers ….
    Les hommes qui gouvernent la BNS, tout comme notre CF, ont changé.
    Ceux qui gouvernement actuellement se foutent de la suisse et de ses citoyens, n’ont aucun sens des mots honneur, patriotisme, respect des citoyens et de la parole donnée.
    Pour eux ces mots sont vides de sens, des foutaises qui n’ont plus court dans LEUR monde.
    Il n’y a QUE nous, le citoyen souverain lambda pour sauver notre pays et NOUS descendrons TOUS dans la rue si ces traitres à notre patrie continuent à ne pas nous écouter, à nous mépriser, nous bafouer et nous vendre.

  7. Posté par Arthur le

    Lors de l’émission infrarouge sur cette initiative un point important a été occulté.
    Le bilan de la bns représente 80% du pib de notre pays et est composé environ à 50% en Euro.
    Face à cette situation ou le moindre que on puisse dire c’est que la gestion du risque n’est pas très exemplaire, notre banque centrale étant devenu un hedge fund géant (on peut enlever le mot hedge d’ailleurs), nos grands argentiers répondent : « Nous savons que c’est risqué, mais sans cela, c’est la destruction de nos exportations donc de notre économie ».
    Reniant ce qui a fait la prospérité de notre économie : une monnaie forte, couverte par de l’or, peu d’inflation et des taux faibles comparé aux autres pays. Il n’y a pas d’économie forte sans monnaie forte.
    En gros ils nous disent, nous savons que c’est risqué mais sans cela le soleil ne se lèvera plus à l’est, le chômage atteindra 20%, le chaos nous attend.
    La peur, toujours la peur.
    Mais ils n’expliquent pas le risque, ce fameux risque dont ils parlent car en fait pour eux, européistes convaincus comme ils sont il n’y en a pas.
    En effet par hypothèse si les pays de la zone euros recommencent à avoir leur dette exposée plus violemment qu’en 2011, 2012, les taux qui montent (le prix de l’incertitude), et l’euro qui baisse (baisse de confiance), par rapport au dollar, livre, yen, or, etc .. alors la bns créera encore plus de chf à partir de rien (planche à billet) pour les vendre en masse pour acheter des euros comme elle le fait déjà, mais cette fois en mode turbo, afin de soutenir une monnaie en chute libre, s’accrocher à son étalon-euro. Bref attraper un couteau qui tombe.
    Notre étalon-euro ne tiendra pas.
    Et comme tous ceux qui ont transféré le risque de change de leur bilan à la bns (les exportateurs) paniqueront comme ils l’ont déjà fait, mais cette fois ce sera de l’hystérie, ils se retourneront encore vers la bns, le fameux « Sauvez-nous ».
    Le bilan de la bns pourra dépasser notre pib, ses pertes gigantesques, en chf, la situation intenable et des euros à plus savoir qu’en faire.
    Alors à ce moment que fait-on ?
    On abandonne notre monnaie nationale et on adopte l’euro, pas le choix.
    Sans vote.
    Voila où une crise de l’Euro peut nous mener.
    Et cela Mr Roth s’est bien gardé de l’expliquer, le fameux « risque », lors du débat infrarouge.

  8. Posté par Derek Doppler le

    Et ces pov’z’Ukrainiens qui se sont fait braquer 99% de leurs réserves d’or par les mêmes gentils zaméricains début 2014. Eh oui, la démocratie, ça se mérite! Obola, yes he can!

  9. Posté par Aude le

    Il est grand temps de penser que notre gouvernement suisse n’agit pas pour notre bien.
    De la même manière, il est aussi grand temps de lui faire comprendre qu’il n’a plus les coudées franches et que le peuple réclame de plus en plus son droit à la concertation en qualité de peuple souverain.
    S’ils tentent de supprimer ce droit, c’est toute la démocratie qui s’écroule..
    La résistance populaire deviendra farouche..ils seront obligés de s’y plier bon gré malgré gré.
    La cupidité des lobbys financiers ne fait pas bon ménage avec le bon sens populaire. Et c’est tant mieux.

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