Un appartement d’urgence payé par l’Etat pour « Carlos »

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Rappel, "Carlos" s'était converti à l'islam et déclarait son respect à un djihadiste allemand.

Zurich. Carlos emménage avec son père dans un appartement. Cet appartement a été normalement prévu pour une famille avec enfants qui serait menacée d'être sans toit.

Il y a un an, l'ensemble de la prise en charge de l’agresseur au couteau avait fait les manchettes des journaux à cause de ses frais élevés -  29'000 francs par mois. Le traitement spécial pour "Carlos" (18 ans) est maintenant suspendu. Mi-juin le procureur zurichois a déclaré que le traitement était terminé. Il pouvait à présent être libre de faire ce qu'il voulait.

Les dégâts provoqués par «Carlos» dans le couloir menant à la cellule disciplinaire

Fin septembre, la prise en charge de soin par l'entreprise sociale RiesenOggenfuss a aussi pris fin pour "Carlos". Il doit mener à présent une « vie indépendante », a-t-on indiqué dans un communiqué. Mais même cela a échoué. Le jeune homme continue d’être dépendant de l'aide de l'État.

Selon des sources bien informées du «SonntagsBlick», la ville de Zurich lui offre un appartement d'urgence avec trois chambres. Son père, un architecte à la retraite, va emménager avec lui. Même la mère "de Carlos", qui vivait auparavant en France, devrait se préparer à emménager dans cet appartement à Zurich.

Michael Rüegg, porte-parole du Département des affaires sociales déclare que ces appartements sont destinés aux familles avec des enfants à charge menacées d'être sans toit. Dans le cas de "Carlos", Zurich est encore très généreux.

Le père et son fils ne bénéficient pas seulement d’un appartement mais aussi des prises en charges ambulatoires. Ceci est obligatoire dans de tels cas.

Source Traduction A.R.

6 commentaires

  1. Posté par Leb le

    J’ai connu beaucoup de familles multiculturelles « éclatées », donnant des rejetons détraqués comme Carlos.
    Le topo est souvent très simple, un Suisse (idem pour les Suissesses) n’arrive pas à trouver une compagne de sa culture pour différentes raisons, l’âge, un physique désavantageux ou des problèmes psychiques.
    Inopinément, ce brave Suisse est ébloui par une jeune beauté étrangère qui s’intéresse à lui, très vite elle le mène par le bout du nez et l’accompagne à la mairie.
    Ça va donner, à presque 100%, un désastre, même si le Suisse ne divorce pas.
    Le Suisse recherchait une vie conjugale normale, la beauté étrangère un mariage avec un européen.
    Je pense qu’avec Carlos, nous sommes dans ce genre de situation !

  2. Posté par Jean le

    Ce que Faneco veut dire, c’est derrière les « Carlos » qui vivent au crochet de la société, il y a tout un business du social qui s’est développé, avec des experts et spécialistes aux rémunérations indécentes, et que ces derniers n’ont donc aucune intention de les « raccompagner à la frontière avec un pied au c… ».

  3. Posté par Philippe le

    Raccompagnement exprès à la frontière avec un pied au c…en signe d’adieu et interdiction de territoire à vie.
    Et ceux qui pense comme faneco….que Carlos est un pauvre petit et que sa présence en Suisse nous fait prendre conscience de quoi que soi….je leur propose de prendre ce Carlos par la main et de retourner grâce à leur double passeport dans leur merveilleux pays qu’ils ont quitté pour mieux mettre en place leur stratégie pleine d’amour et de générosité.

  4. Posté par FANECO le

    100% avec le commentaire de François, cependant il doit et rester claire que Carlos lui est sous tutelle donc tout cet argent de quoi on parle il ne touche ( physiquement qui l’essentiel pour se nourrir et les prestations médicales qu’il ne touche pas physiquement non plus.
    En faite de tous ces dépenses mentionnés il touche environ 800.- francs par mois les autres milliers qu’ont parle et par mois sont des instituitions bien organisés qui touchent le pactole.
    Carlos pour nous est effectivement un problème mais il à le mérite de nous faire comprendre que derrière tout cela il y a des gents, des bien parlants, bien pensent etc pour les quelles Carlos est la poule aux œufs d’or.
    Merci Carlos de par ton problème de nous éveiller concernant une réalité que nous avons de la peine a croire.

  5. Posté par Jeferson le

    Les gentils et les gôchistes vont une fois de plus s’auto-congratuler. Il faut n’est-ce pas, apporter une réponse digne d’un Etat de droit.
    Si un terroriste se met à décapiter les passants dans la rue, doit-on lui apporter une réponse « digne d’un état de droit »? Pour les gens comme pour un pays, il existe un principe de base qui s’appelle la légitime défense.
    Nos anciens étaient moins regardant que nous et des institutions existaient pour ce genre de racaille. On leur apprenait la discipline, mot devenu tabou depuis mai 68 et son héritage de psychologues tous plus spécialisés les uns que les autres. On a inversé les valeurs: un coupable est une victime -de la société-, quand aux vraies victimes, on s’en désintéresse.
    Ce fameux « Carlos » avait-il « dignement » dispensé ses coups de couteaux à sa victime? Pour moi la messe est dite.
    L’état a un devoir: protéger ses citoyens. Un fauve incontrôlable, on le met en cage. On ne le lâche pas dans la rue avec de l’argent de poche en priant pour qu’il soit devenu végétarien…

  6. Posté par François le

    Il y a des milliers de suisses de souche qui ont besoin d’aide et rien (ou si peu) ne leur raccordé alors que l’état à la folie de dilapider sans compter les deniers publiques pour des individus tels que Carlos. On se moque de nous! D’autre part la presse est étrangement silencieuse concernant la/les victime/s de Carlos ainsi que sur la dangerosité potentielle de Carlos.
    L’affaire Carlos aura au moins eu le mérite de mettre sur le devant de la scène cet inadmissible processus de dilapidation des deniers publiques, processus que le peuple indigène ignorait totalement. Au lieu de créer toutes sortes de commissions d’utilité et/ou d’efficacité discutables, il importe d’en créer une qui fasse réellement la lumière sur la multitudes des dysfonctionnements et exactions de ce type par certaines de nos institutions carcérales, de traitement, de réinsertion et autres. Il y a manifestement beaucoup de gens grassement payés dont il faut réévaluer la compétence et l’adéquation aux postes qu’ils occupent et qui méritent d’être contrôlés voire sanctionnés.

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