Les djihadistes sont de plus en plus nombreux à opérer sur la Toile depuis la Suisse. Leur guerre virtuelle n’est pas sans conséquences.
A l’origine de la création de la première unité de lutte contre le terrorisme au sein de la police judiciaire fédérale, Jean-Paul Rouiller est aujourd’hui à la tête du Centre genevois d’analyse du terrorisme (GCTAT). Depuis quatre ans, il se consacre à l’étude des mouvements djihadistes en se concentrant plus particulièrement sur la façon dont ils opèrent sur internet pour recruter de nouveaux candidats au djihad. La Suisse n’est pas épargnée. La presse dominicale a révélé que le Ministère public de la Confédération enquêtait sur une vingtaine de cas. Aujourd’hui, les Etats engagés au sein de la coalition créée pour combattre l’Etat islamique (EI) veulent renforcer le contrôle des réseaux sociaux.
les Etats engagés pour combattre l’Etat islamique (EI) veulent renforcer le contrôle des réseaux sociaux « …… oui mais……. ils vont en profiter pour supprimer toute liberté et condamner ou supprimer tous les opinions contraires aux idées imposées par nos gouvernements mondialistes et pro-immigration, et n’autoriser sur le net que le….. politiquement correct et leur propagande! Cela fait des années que les gouvernement rêvent de contrôler et réglementer le web, d’en interdire la liberté d’expression…….ils viennent de trouver une super excuse pour le faire. Comme pour l’imposition du Patriot Act après le 9 septembre 2001 et qui était sensé être « provisoire. Demandez ce qu’en pensent les citoyens américains si vous allez aux US. Pas ceux choisis et triés sur le volet et interrogés par les medias.
Comme Lenine et bien d’autres venus précédemment fomenter leurs révolutions… j’espère que la protection civile, neutralité ou pas, est sur le pied de guerre… et qu’on a autant d’activité pour nettoyer cette marée polluante de fausses infos dans laquelle ils voudraient nous noyer… Ah! Les méthodes communistes n’ont rien perdu de leur efficacité!