Si la Suisse s'est améliorée en matière de discrimination, le Comité Théodule du Conseil de l'Europe auquel la Suisse pointe du doigt le discours «xénophobe» de certains politiques.
La commission antiracisme recommande ainsi aux autorités helvétiques d'adopter une législation complète contre toutes les formes de discrimination et de légiférer pour que toute contrainte policière soit justifiée par «un doute raisonnable». L'indépendance de la CFR devrait également être consolidée.
Les autres recommandations formulées visent notamment à renforcer les mesures d'intégration et à améliorer la sensibilisation aux discriminations dans les médias. Il s'agirait également de mettre en place des structures et des offres de soutien pour la communauté LGBT dans toute la Suisse.
Appeler un chat un chat cela est devenu politiquement incorrect. Modifications de langage imposées.
Ne dites plus gitans, rôdeurs, monte en l’air, mais gens du voyage ;
Ne dites plus : Français attaché à son pays, à sa culture, à ses traditions, et fier de son drapeau mais « raciste » ou « xénophobe » ou « égoïste » mieux les 3 à la fois
Ne dites plus clandestin, immigré illégal, ni même sans-papiers, mais privé de papiers ;
Ne dites plus discrimination positive mais encadrement différencié ;
Ne dites plus quartier à majorité immigrée mais quartier à cultures différentes;
Ne dites plus crimes, agressions, violences, mais plutôt actes de délinquance ou incivilités, bêtises ou faux-pas. Récent : les inconduites ;
Ne dites plus émeutes ou guerre des gangs mais incidents ;
Ne dites plus immigration mais mobilité et chance pour le pays;
Ne dites plus colonies ni anciennes colonies mais territoires d’outre mer ;
Ne dites plus bandes ou gangs mais « identités de quartier » ;
Ne dites plus des bandes de noirs et d’arabes mais des « jeunes qui se regroupent sur des considérations ethniques » » ;
Ne dites plus enfants d’immigrés mais enfants de 1ère génération; Après ils sont devenus français
Ne dites plus attraper les voleurs mais lutter contre les délits d’appropriation ;
Ne dites plus un voyou ou criminel notoire mais un individu défavorablement connu de la justice ;
Ne dites plus mosquée mais centre culturel et religieux ;
Ne dites plus fusillade mais bagarre par balles ?… ;
Si vous osez appeler un chat, un chat devant témoins (gauchisant en particulier) vous vous retrouverez avec une plainte pour insultes ou racisme et devrez en répondre devant la justice, et cela même si « on » vous a traité de sale blanc ou de sale français. La riposte est interdite, vous devez accepter et vous taire.
Le langage politiquement correct imposé ne cherche qu’à cacher la ….poussière (pour être polie) sous le tapis et embobiner les gens.
Citation de l’article de la TdG:
« … Conseil de l’Europe a publié mardi 16 septembre son cinquième rapport sur la Suisse. »
De quoi je me mêle? Qui a demandé à ce Conseil de faire un rapport sur la Suisse?
« Dans ce rapport, approuvé par le Conseil fédéral, … » Approuvé? Depuis quand le Conseil fédéral doit-il approuver un rapport de qu’il n’a pas mandaté et qui n’a aucune importance pour la Suisse?
Ben voyons, ça ne s’arrête pas cette Europe de m*****. Ici on appelle un chat un chat.
Eh l’UE, le culot ne vous étouffe pas. Nous ne sommes pas membres et ce, jusqu’à nouvel avis, de votre Etat impérialiste et vos recommandations ,soit dit au passage, plus que débiles et majoritairement refusées par le peuple français.
. Nous ne sommes ni vos vassaux ni vos dhimmis. Il semble désolant que vous ne l’ayez pas encore compris.
Si par mésaventure, certains politiciens suisses essayent de vous plaire et faire passer vos misérables consignes , nous avons toujours la démocratie directe pour nous y opposer. A supposer fortement que le mot démocratie vous a échappé.
Et une irrésistible envie de vous envoyer vous faire f…
« commission européenne » ? C’est quoi ? C’est qui ? De quoi se mêlent-t-ils ?
Bof.
On devrait déjà réprimer le comportement raciste des étrangers, fils d’immigrés européens, qui traitent nos enfants de « sales suisses » à l’école. Croyez-moi pour en avoir fait l’expérience il y a 30 ans, et posez la question aux enfants scolarisés actuellement.. La discrimination n’est pas unilatérale.