Plus de porc dans une crèche de Neuchâtel

Et voila. Peu à peu on cède aux diktats d'une minorité.

crèche-des-berclesLa Crèche des Bercles à Neuchâtel a décidé de ne plus servir de porc dans aucun menu pour respecter l'interdit imposé par la religion des enfants musulmans qui y sont accueillis.

Et peu importe que d'autre enfants de notre culture en soit privés. L'important est de se coucher devant l'exigence d'une idéologie venue d'ailleurs au nom de la tolérance (à sens unique).

NDR. Source connue de la rédaction

 

A méditer :

L’islam n’est pas une religion, ni un culte.

Dans sa forme la plus complète, il est un système complet, total, qui englobe 100% du mode de vie des gens. L’Islam a des composantes religieuses, juridiques, politiques, économiques, sociales, et militaires.

La composante religieuse est la base de toutes les autres composantes.

L’islamisation d’un pays commence lorsque le nombre de musulmans, dans un pays donné, est assez élevé pour créer les conditions qui permettent d’exiger des privilèges religieux.

Lorsque des pays politiquement corrects, tolérants et multiculturels, accèdent aux premières demandes des musulmans, ces derniers en profitent pour introduire une ou plusieurs des autres composantes détaillées plus haut.

Voici comment cela fonctionne.

Tant que la population musulmane reste autour ou à moins de 2%, les musulmans sont, pour la plupart, considérés comme une minorité éprise de paix, et non comme une menace pour les autres citoyens.

Autour des 5%, ils exercent une influence démesurée par rapport à leur nombre. Par exemple, ils pousseront à l’introduction de l’halal partout où ils peuvent, assurant ainsi des emplois nouveaux aux musulmans. Cela leur permettra d’augmenter la pression sur les chaînes de supermarchés pour que les produits halal figurent sur leurs linéaires – et ils deviendront menaçants si les supermarchés ne s’y conforment pas.

Cela se produit : En France – musulmans 8%, aux Philippines – musulmans 5%, en Suède – musulmans 5%, en Suisse – musulmans 4,7%, aux Pays-Bas – musulmans 5,5%, à Trinidad & Tobago – musulmans 5,8%.

À partir de ce stade, ils font du lobbying pour obtenir du gouvernement la possibilité d’appliquer la charia (loi islamique) dans leurs ghettos et sur des sujets mineurs. Rappelons que l’objectif ultime des islamistes est d’établir la charia dans le monde entier.

Autour de 10% de la population, ils ont tendance à augmenter les actes de rébellions et d’anarchie pour dénoncer leurs conditions de vie. A Paris, nous voyons déjà les voitures brûler. Toute action contre les musulmans offense l’islam, et débouche sur des soulèvements et des menaces, comme à Amsterdam, avec l’opposition aux caricatures de Mahomet et aux films sur l’islam. Ces tensions existent quotidiennement, en particulier dans les secteurs musulmans :

En Guyane – musulmans 10%, Belgique – musulmans 10%, au Kenya – musulmans 10%, en Inde – musulmans 13,4%,  en Russie – musulmans 15%.

À partir de 20% et plus, le pays peut s’attendre à des émeutes violentes pour un oui pour un non, à la création de milices jihadistes, à des assassinats sporadiques, et à des incendies d’églises et de synagogues.

C’est le cas : En Éthiopie – musulmans 32,8%.

Avec 40% de musulmans, les nations subissent des massacres à grande échelle, des attaques terroristes chroniques, et des luttes constantes entre milices rivales, comme : En Bosnie – musulmans 40%, au Tchad – musulmans 53,1%, au Liban – musulmans 59,7%.

À partir de 60%, les non-musulmans (et les musulmans assimilés) sont victimes de persécutions généralisées, de nettoyage ethnique sporadique (génocide). La charia y est utilisée comme une arme, et la « jizya », l’impôt imposé aux « infidèles » est mis en place, tel qu’en Albanie – musulmans 70%, en Malaisie – musulmans 60,4%, au Qatar – musulmans 77,5%, au Soudan – musulmans 70%.

Quand un pays atteint 80% de musulmans, les vagues d’intimidation et de jihad deviennent quotidiennes. On assiste à des opérations de nettoyage ethniques organisées par l’État, et même des génocides d’État, et ces nations font la chasse aux infidèles, afin de progresser vers le 100% de musulmans, comme cela a été expérimenté, et est en quelque sorte en voie d’accomplissement : Au Bangladesh – musulmans 83%, en Égypte – musulmans 90%, a Gaza – musulmans 98,7% En Indonésie – musulmans 86,1% En Iran – musulmans 98% En Irak – musulmans 97%, en Jordanie – musulmans 92%, au Maroc – musulmans 98,7%, au Pakistan – musulmans 97%, en Palestine – musulmans 99%, en Syrie – musulmans 90%, au Tadjikistan – musulmans 90%, en Turquie – musulmans 99,8%, dans les Émirats Arabes Unis – musulmans 96% .

100% de musulmans débouche – en théorie – sur la paix de «Dar es-Salaam » (la paix dans la maison de l’islam). En théorie, puisque tout le monde est musulman. Les « Madrassas » sont alors les seules écoles autorisées, et le Coran règle la vie des citoyens comme : En Afghanistan – musulmans 100%, en Arabie Saoudite – musulmans 100%, en Somalie – musulman 100%, au Yémen – musulmans à 100%.

Malheureusement, dans ces pays 100% musulmans, la paix n’est jamais atteinte, car les islamistes les plus radicaux vomissent de la haine et satisfont leur soif de sang en tuant les musulmans moins radicaux qu’eux, ou pour diverses raisons.

Avant d’avoir neuf ans, j’ai appris les règles de base de la vie mahométane. C’était moi contre mon frère ; mon frère et moi contre notre père, ma famille contre mes cousins et le clan, le clan contre la tribu, la tribu contre le monde, et nous tous contre les infidèles. Léon Uris, « The Haj »

Il est important de comprendre que dans certains pays, même avec moins de 100% de populations musulmanes, comme en France, la minorité musulmane vit dans des ghettos, dans lesquels ils sont près de 100% de musulmans, et dans lesquels ils vivent quasiment selon la charia. La police nationale n’entre même pas dans ces ghettos. Dans de telles situations, les musulmans ne s’intègrent pas à la société. Les enfants n’apprennent que le Coran. Dans ces ghettos, le fait même de s’associer à un infidèle (non musulman) est un crime punissable de mort. Par conséquent, dans les zones de plusieurs pays qui n’ont pas 100% de musulmans, les imams et les intégristes exercent bien plus de pouvoirs que sur la majorité des musulmans du pays.

Aujourd’hui, 1,5 milliard de musulmans représentent 22% de la population mondiale. Mais leur taux de natalité écrase celui des chrétiens, des hindous, des bouddhistes, des juifs (sauf en Israël), et celui de tous les autres croyants et non-croyants.

Donc les musulmans dépasseront les 50% de la population mondiale d’ici la fin de ce siècle.

Commentaire d’un lecteur : Cela fait peur.

Maintenant que nous sommes informés, qu’allons nous faire de cette information ?

SOURCE

17 commentaires

  1. Posté par Somville Michel le

    Je fourni plusieurs crèches du canton de Neuchâtel en repas, environ 500 repas/jour. Je pense que le fait de ne plus servir de porc relève plus de la pratique du service que de toute autre idéologie. Bien que je fournisse quand même plus de 60 repas sans porc journalièrement.. Qui représente soit dit en passant plus de 10%.

  2. Posté par jessica le

    M. Daniel Borer. Ce commerçant pourrait-il nous dire si c’est lui qui vend la viande halal?
    Si oui, où elle l’achète-t-il ? En Suisse ? en France? A qui ?
    Si non, sait il QUI vend la viande halal en Suisse ?
    Accessoirement, peut-il nous dire
    —- la provenance de viandes halal vendues dans nos boucheries et en grande surface est-elle contrôlée?…..et par qui?….. ou encore une fois FERMENT ON les yeux sur la provenance indigène de cette viande de peur d’être attaqués par les associations antiracistes ?
    A la place des parents je porterais plainte et exigerai des preuves tangibles de la provenance de la viande servie dans les cantines, etc. et de la manière dont les animaux ont été abattus.

  3. Posté par Christian Hofer le

    @ patrick

    J’ai travaillé dans les crèches: ce genre d’actions se fait toujours oralement pour ne laisser aucune trace. Un exemple dans une crèche de Genève dans laquelle mes amies éducatrices travaillent: la crèche de Noël y est interdite afin de ne pas froisser certaines ethnies.
    Je me souviens d’une femme qui avait soutenu une chose similaire dans un numéro du magazine de gauche l’Hebdo. Non seulement le journaliste l’a ridiculisée et la traînée dans la boue publiquement par la suite mais encore ce torchon a mis en exergue tous les commentaires des lecteurs pour mieux la ridiculiser. C’était un lynchage public des plus dégueulasses que j’ai jamais vu et totalement mensonger puisque j’ai constaté la même chose.
    Maintenant si vous préférez croire une directrice qui sait pertinemment qu’une telle affaire lui causerait un tort énorme, libre à vous.

  4. Posté par G. Vuilliomenet le

    Jessica, je ne sais pas où vous avez vu que je parlais de hallal. Ce n’est pas grave, tout comme vous, j’estime que cela devrait être interdit de vente, comme toute viande qui n’a pas été abattue selon NOS normes. Accepter d’en vendre n’est que de l’hypocrisie.

  5. Posté par Danielle Borer le

    MàJ
    Malgré les dénégations de la directrice de la crèche sur Le Matin, cette info provient d’un commerçant qui sait ce qu’il dit. Le porc n’est peut-être pas interdit « officiellement », mais n’est plus commandé et cela depuis peu.

  6. Posté par patrick le

    MENSONGE … la directrice de la crèche des Bercles, Isabelle Guinand, dit : le porc n’y est pas du tout interdit. « Notre priorité est le soin des enfants et nous sommes attentifs à leurs besoins. Il y a effectivement une augmentation des demandes de repas sans porc, mais il ne s’agit pas uniquement de requêtes liées à la religion, mais aussi à la santé. Donc pour simplifier un peu les choses nous cuisinerons moins de porc. Mais hier encore le menu était spaghetti carbonara avec des lardons. Les enfants ne mangeant pas de porc ou pas de viande ont donc toujours une alternative. »

  7. Posté par Flyingjack le

    Mais où tout cela va-t-il nous mener enfin ??… Est-ce qu’on retire la viande de boeuf pour les enfants hindous, les poivrons pour ceux qui n’en mangent pas et le fromage pour ceux qui sont allergiques aux produits laitiers ??… Non alors pourquoi adopter ce traitement de faveur dans une crèche en Suisse qui accueille des enfants de toutes confessions et non pas uniquement des musulmans ??… Les régimes et les habitudes alimentaires sont à laisser à la maison et ils ne doivent en aucun cas s’imposer dans des établissements extérieurs au domicile familial surtout dans un pays laïc comme la Suisse (si encore est l’est…).
    Si certains enfants ne mangent pas de porc rien ne les force à finir leur assiette et à laisser leur viande de côté de la même manière que celui qui n’aime pas les brocolis par exemple et qui en ferait de même…

  8. Posté par jessica le

    G. Vuilliomenet, moi je veux savoir d’où vient cette viande halal ! La loi suisse interdit l’abattage d’animaux selon ce moyen particulièrement barbare et cruel. Je sais que faux-cul comme à son habitude le législateur en a autorisé son importation.
    Croyant que les cantines suisses devaient donner la priorité aux produits 1) locaux 2) de la région et 3) au moins suisse (à part bien sûr le cacao les bananes etc ) je suis surprise et scandalisée.
    Je n’arrive pas à comprendre que les parents puissent accepter cela, (ainsi que la suppression du porc) sans réagir.
    Soit ils sont menacés de représailles (les autorités communales et cantonales sont très très à gauche)et n’osent rien dire, soit ils sont déjà à majorité musulmane, c’est pas possible autrement.
    J’aimerais bien connaître le fin mot de ces pratiques, mais il est peu probable que les journalopes les publient

  9. Posté par jessica le

    Je crains fort, hélas, que vous n’ayez raison M. Jean Gowrié.
    Ce laxisme, ce boboïsme de gauche est majoritaire dans les grandes villes, car ce sont dans ces grandes villes qui comptent beaucoup d’électeurs que sont logés la majorité des personnes immigrées et aux services sociaux.
    Neuchâtel en particulier qui a accordé le droit de vote au niveau communal et cantonal aux étrangers ne peut que rester à gauche, avec de plus en plus de favoritisme vis à vis des étrangers et une mentalité anti-suisse grandissante et exacerbée.
    Alors flatter les musulmans en acceptant les burkinis, en imposant la viande Halal dans les cantines (les enfants chrétiens savent-ils comment sont égorgés ces animaux?) est un moyen d’attirer leurs voix! Rien de plus.
    Neuchâtel, nouveau « pays » musulman.
    Je souhaite que la prochaine fille femme ou enfant qui sera violée et/ou brutalisée sera la fille ou la femme d’un politicien socialiste, un des ces politiciens qui prône le sacrifice du suisse et du chrétien pour aider le musulman, au lieu d’une proche d’un pauvre citoyen lambda.
    Cela l’obligera à assumer les conséquences des mensonges, manipulations et tromperies qu’il (ou elle) a propagé pendant des années.

  10. Posté par Nureda le

    La version de la feuille de chou locale, qui dédramatise à fond:

    Par souci de simplification, une crèche a supprimé le porc de la plupart de ses menus. Entre convictions des parents et allergies des petits, les repas sont de plus en plus durs à gérer.

    Une crèche neuchâteloise qui aurait décidé de retirer la viande de porc de ses menus « pour respecter l’interdit imposé par la religion des enfants musulmans qui y sont accueillis » . Ce court texte non signé, publié dimanche sur le site internet Les Observateurs – à tendance droite conservatrice -, a rapidement été propagé sur certains réseaux sociaux hier. Cette prétendue information a notamment été reprise sur Twitter par différents internautes ou groupuscules français d’extrême droite.

    Pourtant, le post publié sur Les Observateurs ne reflète que partiellement la réalité. « Le porc n’a pas été entièrement banni de nos repas » , précise la directrice de l’établissement concerné, la crèche des Bercles, à Neuchâtel. Isabelle Guinand note que lors des pique-niques, des sandwichs au jambon continueront d’être proposés. Autre exemple, des spaghettis carbonara, avec des lardons, figuraient hier au menu. « Les enfants qui ne mangent pas de porc ont eu des spaghettis au thon. »

     » Ç a devient compliqué »
    Ce sont donc plutôt les grosses pièces de viandes de porc qui ne sont plus proposées depuis la rentrée, « par souci de simplification » , indique la directrice. Elle reconnaît que les demandes de repas sans cochon ne cessent d’augmenter. Mais contrairement aux idées reçues, « ce n’est pas forcément à cause de la religion. Certains parents estiment que cette viande est trop grasse et malsaine » , raconte Isabelle Guinand.

    Mais plus encore que les repas sans porc ou sans viande, ce sont les allergies qui posent problème. « Nous avons un enfant qui ne peut manger ni kiwi ni parmesan, un autre allergique au céleri sous toutes ses formes, d’autres au gluten ou au lactose » , indique la directrice. Sur la cinquantaine d’enfants accueillis chaque jour, une douzaine suivent des régimes spéciaux.  » Ç a devient très compliqué de gérer toutes les demandes, d’autant que nous sommes déjà certifiés Fourchette verte (réd: un label de qualité qui vise à une alimentation saine) . »

    Pas de lapin ou de cheval
    Un constat partagé par d’autres directrices de crèche. La plupart reconnaissent qu’elles doivent faire face à de plus en plus d’exigences de la part des parents sur le plan alimentaire. « Parfois, des parents nous demandent de ne pas donner de lapin ou de cheval à leurs enfants, par conviction personnelle » , raconte Maude Schneiter, responsable du Monde magique, à Bevaix.

    « C’est plus lourd qu’à une époque. Beaucoup de parents confondent allergies alimentaires et intolérances » , regrette Claudine Dufaux, directrice de la crèche Sorimont, à Peseux. Dans certains cas extrêmes, l’institution demande donc aux parents d’amener les repas. A Sorimont comme dans la dizaine de crèches contactées, les enfants qui ne mangent pas de porc constituent une petite minorité, « un à deux par année » dans le cas de Sorimont. Pas de quoi crier à l’islamisation rampante.

  11. Posté par Bobo le

    J’habite Geneve, mon fils est allergique aux produits laitiers. J’ai donc demande aux cuisines scolaires, s’il etait prevu des repas pour ce genre d’allergie, on m’a repondu que non, que c’etait aux parents de s’organiser.
    Par contre, il y a bien des menus Hallal. Les cuisines scolaires m’ont repondu qu’ils avaient recu des « directives » afin de mettre sur pied ses menus Hallal pour les enfants musulmans……

  12. Posté par G. Vuilliomenet le

    Je ne sais pas à quel niveau cette décision de ne plus servir de porc à la crèche a été prise. Est-ce une décision de la directrice? Si oui, qui l’a poussée à agir ainsi?

    Pour le savoir, je pense qu’il faut soit téléphoner ou mieux, lui envoyer un courrier avec copie à la responsable du DEF (Département de l’Education et de la Famille), Madame MONIKA MAIRE-HEFTI

    http://www.ne.ch/autorites/DEF/Pages/accueil.aspx

  13. Posté par Jean Gowrié le

    Ce qu’il faut surtout et avant tout, c’est d’arrêter de « bavarder » et commencer à agir. Ne vous en faites pas : il ne se passera rien du tout et ils peuvent être tranquilles. Si même ces scènes d’égorgements, crucifixions, etc., ne font rien, c’est que c’est déjà trop tard. Ils ont gagné. Ils le savent et nous aussi. Pour ce qui est de nos décideurs, comme pour tous les autres dans le monde, on les mérite, amplement.
    On bavarde mais je parie qu’aux prochaines élections, vous reconduirez les socialistes et les mollassons du PDC.

  14. Posté par JeanDa le

    C’est de la simple trahison. Ces institutions qui cèdent devant la pression de l’islam au mépris des autochtones ne méritent plus les subventions qui leur sont octroyées.

  15. Posté par Magali et Pierre le

    Nous y sommes. « …Il faudra apprendre à changer nos bonnes vieilles habitudes pour être acceptés par les nouveaux venus et leur très nombreuse progéniture. (…) Quel sera le sort réservé aux autochtones de souche devenus minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? … » suivant livre genre love story « les corps indécents ». Poser la question c’est y répondre.

  16. Posté par G. Vuilliomenet le

    Envoyer quelques tranches de jambon à la direction de cette crèche.

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