Lettre d’un ancien musulamn au président Obama

Nos lecteurs nous prient de publier.

 

Brother Rachid

Message au Président Obama de Frère Rachid

 

Cher Monsieur le Président,

Avec tout le respect vous est dû, Monsieur, je dois vous dire que vous avez tort au sujet d’ISIS.  Vous avez dit qu’ISIS ne parle pour aucune religion. Je suis un ancien musulman. Mon père est un imam. J’ai passé plus de 20 ans à étudier l’islam. J’ai un diplôme d’études supérieures d’études religieuses, et j’effectue des études de master sur le terrorisme. Je peux vous dire avec certitude qu’ISIS parle pour l’islam. Permettez-moi de vous corriger, Monsieur le Président. ISIS est une organisation musulmane. Son nom signifie « Etat islamique ». Donc, même le nom suggère qu’il s’agit d’un mouvement islamique. Leur dirigeant, Aboubaker el Bagdadi  a un doctorat en études islamiques. Je doute que vous connaissiez l’islam mieux que lui. Il était un prêcheur et un dirigeant religieux dans une des mosquées locales de Bagdad. ISIS a des milliers de membres qui sont tous musulmans. Aucun d’eux n’est d’aucune autre religion. Ils viennent de différents pays et ont un point commun dénominateur : islam. Ils imitent le prophète de l’islam, Mahomet dans tous les détails. Ils l’imitent en laissant pousser leur barbe. En rasant leur moustache. Et dans leur façon de s’habiller. Ils suivent son commandement, dans les hadiths, de se différencier des infidèles. En portant leurs montres à la main droite au lieu de la main gauche. Ils implantent la charia dans chaque partie de territoire qu’ils conquièrent. Ils prient cinq fois par jour. Ils ont appelé pour un califat, qui est une doctrine centrale pour l’islam sunnite. Et ils sont volontaires pour mourir pour leur religion. Ils suivent les pas du prophète de l’islam, Mahomet, à la lettre. En fait, si vous voulez comprendre ISIS, lisez toute la biographie de Mahomet par Ibn Isham.

C’est leur modèle pour l’action. Vous pensez qu’ISIS ne parle pas pour l’islam parce qu’ils ont décapité un américain et tué tous ceux qu’ils considèrent infidèles. De la même façon, le prophète de l’islam Mahomet a décapité en un jour, entre 600 et 900 hommes adultes de la tribu juive des Banu Quraisa. En fait, décapiter est commandé dans le coran dans la sourate 47 verset 4 qui dit : «  quand vous rencontrez des infidèles et combattez, frappez les aux cous ». Ironiquement, la sourate est appelée «  la sourate de Mahomet ». Tuer des prisonniers est aussi un ordre du coran et de Mahomet à tous les musulmans : il dit : «  Il n’appartient pas au Prophète d’avoir des captifs de guerre, jusqu’à ce qu’il fasse un massacre des ennemis d’Allah et les extermine. » Coran 8 – 67. Et ainsi, trois des femmes de Mahomet étaient des filles juives qu’il a kidnappées au cours de ses expéditions armées contre les minorités religieuses, juste comme ISIS le fait aujourd’hui.

Monsieur le Président, j’ai grandi au Maroc, supposé être un pays modéré. Pourtant, j’ai appris à un jeune âge, à haïr les ennemis d’Allah, spécialement juifs et chrétiens. Ils sont représentés aujourd’hui par Israel et l’Ouest, spécialement le grand Satan, l’Amérique. J’ai prié cinq fois par jour, répétant la Fatiha, le premier chapitre du coran, demandant à Allah de me guider non dans le chemin de ceux qui sont égarés et ceux qui ont la colère d’Allah sur eux. Nous savions tous qu’il agissait des juifs et des chrétiens. Nous avons subi un lavage de cerveau pour vous haïr tous d’entre vous, dans nos pensées secrètes, dans nos prières, dans nos sermons du vendredi, dans notre système éducatif. Nous étions prêts à rejoindre n’importe quel groupe qui un jour vous combattrait et vous détruirait et ferait de l’islam la religion du monde entier comme le dit le coran.

C’est ce qui nous a été enseigné à moi et des millions comme moi.  Monsieur le Président, c’est un fait irrévocable. Heureusement, quand j’ai grandi j’ai choisi de devenir chrétien et de quitter l’islam, car je crois que Dieu est amour. D’autres ont aussi quitté et quittent tous les jours l’islam et choisi d’autres voies pour vivre. Tous, ils souffrent aujourd’hui, car à nouveau,  Mahomet a dit «  quiconque change sa religion, tuez le ! » ( Sahih Boukhari livre 88 hadith 5). J’ai quitté le Maroc et leurs persécutions. J’ai eu de la chance. D’autres, dans le monde musulman, n’ont pas eu la même opportunité. Ils paient un prix élevé, de différentes façons, pour avoir leur liberté un jour.

Je vous demande, Monsieur le Président, d’arrêter d’être politiquement correct, d’appeler les choses par leurs noms. ISIS, Al Qaïda, Boko Aram, Al Shabab en Somalie, les Talibans et leurs marques sœurs sont tous fabriqué dans l’islam. Tant que le monde musulman n’agira pas sur l’islam et ne séparera pas la religion et l’Etat nous  ne finiront jamais ce cercle. Tant que vous n’agirez sur la racine du problème, nous ne ferons qu’agir sur les symptômes.  ISIS est juste un symptôme. Si il disparait, d’autres ISIS naîtront sous différents noms.

Vous pourriez demander alors, pourquoi ISIS tue d’autres musulmans ? La réponse est qu’il les considère comme infidèles et non musulmans. Savez-vous que toutes les écoles dans l’islam sont d’accord pour considérer que si un musulman arrête de prier il doit lui être demandé de se repentir et s’il ne le fait pas, il doit être tué ( Sahih Moslem, livre 5, hadith 321). Savez-vous que Mahomet essaya de brûler ses propres compagnons quand ils arrêtèrent de venir aux prières ? Donc tout ce que fait qu’un musulman peut être qualifié d’infidèle, peut être une raison pour le tuer, même négliger de prier. Si l’islam n’est pas le problème, alors comment se fait-il qu’il y a des millions de chrétiens au moyen- orient et que jusqu’à présent aucun d’eux ne s’est fait exploser pour devenir un martyr, alors qu’ils vivent dans les mêmes circonstances  économiques et politiques et même pire ? Pourquoi est ce que beaucoup de musulmans en Occident ont aussi rejoint ISIS si l’islam n’est pas la raison ?   Pourquoi est-ce que même de nouveaux convertis à l’islam sont-ils devenus terroristes ?

Monsieur le Président, si vous voulez vraiment combattre le terrorisme, alors combattez-le à la racine. Combien de cheikhs saoudiens prêchent la haine ? Combien de chaines de télévision islamiques endoctrinent des gens et leur enseignent la violence par le coran et les hadiths ? Combien de sermons du vendredi sont faits contre l’Ouest, la liberté et la démocratie ? Combien d’écoles islamiques produisent des générations d’enseignants et d’élèves qui croient au jihad, au martyr, et au combat contre les infidèles ? Et enfin, combien de sites internet sont fondés par les gouvernements, vos alliés, qui ont des cheikhs qui émettent des fatwas contre les droits humains basiques. Si vous voulez combattre le terrorisme : commencez par là.

En réalité, je ne donne pas mon nom complet parce que l’islam est, entre guillemets, une religion de paix. Je suis connu dans le monde entier comme Frère Rachid, et je vous implore de vous impliquer  pour les droits humains internationaux et le futur de la démocratie. Je dis la vérité sur la menace réelle à laquelle nous avons tous d’entre nous à faire face.

Avec mes meilleures salutations.

 

Frère Rachid.

 

6 commentaires

  1. Posté par Leb le

    http://www.7sur7.be/7s7/fr/1505/Monde/article/detail/2046233/2014/09/10/Esclave-sexuelle-de-l-EI-a-17-ans-elle-raconte-l-innommable.dhtml
    Esclave sexuelle de l’EI à 17 ans, elle raconte l’innommable
    Une jeune Yézidi de 17 ans, détenue par l’État islamique avec quarante autres femmes et petites filles, témoigne des abus quotidiens dont elles sont toutes l’objet depuis que les extrémistes islamistes les utilisent comme esclaves sexuelles.
    Le 3 août dernier, Mayat (nom d’emprunt, ndlr) était enlevée par des jihadistes de l’État islamique lors d’une offensive contre la ville de Sinjar au nord de l’Irak. Aujourd’hui encore otage, elle subit les assauts sexuels quotidiens de ses geôliers dans un village près de Mossoul.
    Des otages équipées de GSM
    « Si j’ai demandé que mon véritable nom ne soit pas publié, c’est parce que je ressens trop de honte vis-à-vis de ce que l’on me fait faire ici. Une partie de moi voudrait mourir mais l’autre partie caresse toujours l’espoir d’être un jour sauvée et de pouvoir embrasser à nouveau mes parents ». Voilà les terribles propos de l’adolescente tels qu’enregistrés par un journaliste de La Repubblica. Le quotidien italien a en effet pu contacter la jeune fille par téléphone pour l’interviewer grâce au numéro de GSM que ses parents (qui se trouvent actuellement dans un camp de réfugiés kurdes) lui ont communiqué.
    Faire régner la terreur en les forçant à raconter
    Une interview téléphonique d’une otage de l’EI dans la presse occidentale peut surprendre. Mais Mayat explique que là aussi, il s’agit de la volonté de ses ravisseurs. Dans un premier temps, tous les téléphones portables des jeunes filles et femmes kidnappées ont été saisis. Mais les jihadistes ont « changé de stratégie », explique-t-elle, en décidant de rendre les GSM aux esclaves sexuelles afin qu’elles soient pour le monde une vitrine de la terreur chère à l’État islamique. Les jeunes femmes racontent en effet les viols, les coups, l’enfer vécu et pérennisent de la sorte la peur de l’EI qui règne dans la région et dans le monde.
    Des « surhommes »
    « Pour nous détruire encore plus, ils nous forcent à raconter à nos parents les détails sordides des atrocités qu’ils nous font subir. Ils se moquent de nous et se sentent indestructibles. Ils se prennent pour des surhommes mais ce ne sont que des individus sans coeur ».
    Les enfants abusées devant leurs mères
    La bestialité des islamistes n’a pas de limite. « Nos tortionnaires n’épargnent personne. Ni les femmes avec des enfants en bas-âge pas plus que les petites filles de moins de douze ans. Certaines fillettes sont devenues muettes à force d’être abusées et ont été emmenées par les jihadistes. Beaucoup de mères ont tenté de se suicider après ça ».
    Viols collectifs trois fois par jour
    Mayat explique aussi à La Repubblica les circonstances de ces odieux viols. Les femmes sont emmenées au premier étage du bâtiment pour être violées. Les membres de l’EI procèdent à des viols collectifs sur chaque femme, différents groupes de jihadistes se succédant trois fois par jour. « Ils nous traitent comme des esclaves. Ces hommes nous battent et nous menacent de mort si nous osons résister. Parfois j’espère qu’ils me frappent assez fort pour me tuer », relate Mayat.
    Marquées à vie
    Les violeurs sont tantôt des combattants vieux et aguérris, tantôt de très jeunes soldats qui viennent d’arriver de Syrie. « Si ces tortures devaient prendre fin un jour, ma vie sera toujours marquée par les horreurs qui ont eu lieu ici. Même si je devais survivre à tout cela, je ne sais pas comment je pourrais rayer de ma mémoire les abominations dont j’ai été l’objet », témoigne encore l’adolescente.
    Supplier d’être abattues
    « Nous avons déjà demandé à de nombreuses reprises à nos geôliers de nous exécuter. Mais ils refusent car apparemment nous avons trop de « valeur » pour eux. Nous sommes leur butin de guerre, leurs choses. Mon seul espoir est que les Peshmerga (combattants kurdes armés) viennent nous délivrer. Je sais que les Américains bombardent. Je veux qu’ils se dépêchent et éradiquent l’EI parce que je ne sais pas combien de temps encore je vais pouvoir supporter tout ça. Ils ont déjà assassiné mon corps. Maintenant ils vont tuer mon âme », conclut Mayat, 17 ans, pour achever son déchirant témoignage.

  2. Posté par Leb le

    Le Grand Mufti d’Arabie Saoudite condamne l’EI car il s’en prend à des musulmans. Pas un mot sur les yezidis et chrétiens.
    http://www.islamisation.fr/
    Le islamophiles jubilent, Claude Askolovitch va enfin pouvoir ridiculiser ceux qui font des « amalgames » entre islam et islamisme. La dépêche vient de tomber ce dimanche 7 septembre :
    « Le grand mufti d’Arabie saoudite a appelé les musulmans à « combattre » l’Etat islamique (EI), « agressif et oppressif », s’il « combat les musulmans ».
    L’EI « fait couler le sang » et ses djihadistes « n’ont fait que tuer depuis qu’ils ont commencé leur combat » en Syrie et en Irak, a déclaré Cheikh Abdel Aziz Al-Cheikh, la plus haute autorité religieuse d’Arabie saoudite. « S’ils combattent des musulmans, les musulmans doivent les combattre pour débarrasser le peuple et la religion du mal qu’ils incarnent et du tort qu’ils causent », a-t-il dit dans des propos rapportés dimanche. Le mufti répondait à une demande d’un Irakien en vue d’une fatwa (édit religieux) pour combattre l’EI. Emboitant le pas au roi Abdallah, le grand mufti avait, dès le mois d’août, qualifié l’EI « d’ennemi numéro un de l’islam ». (Source Figaro)
    On l’a compris, ce qui inquiète le Mufti ce n’est pas l’épuration ethnique des chrétiens et des yezidis, les viols massifs de leurs femmes autorisés selon les paroles de Mahomet. Le prophète interrogé par ses soldats pour savoir s’il est halal de « cohabiter avec les captives en éjaculant hors de l’utérus », répondit : « il n’y a pas de mal à faire cela » (citation authentique trouvée dans les livres musulmans vendus jusqu’à la Fnac et à l’Institut du Monde Arabe, rite malékite).
    Violer les mécréantes, exterminer les non musulmans, ça oui, mais que l’Etat Islamique commette des exactions contre les musulmans (mais lesquelles au juste?), ah ça non ! Il fallait bien trouver un prétexte pour condamner les djihadistes de Baghdadi qui menacent de marcher jusqu’à Riyad !
    Non, pour le mufti il s’agit de faire entendre la voix officielle de l’Arabie Saoudite qui redoute plus que tout que le nouveau califat pousse ses pions jusque sur ses terres, d’autant que beaucoup de ressortissants saoudiens se trouvent dans les rangs des Da’esh et de Jabhat al Nosra. L’Arabie Saoudite soutient officiellement sa propre bigade dans l’ASL, le Front Islamique, et cherche à ce que celle-ci capte l’essentiel des effectifs jihadistes. Une simple histoire de concurrence entre jihadistes.
    Le Front islamique (FI), la principale coalition djihadiste qui fédère plus de 50.000 combattants, alternative à Al Qaïda mise sur pied par le royaume, n’est pas plus modérée. Le leader du Front islamique s’appelle Zahran Alloush. Il est le fils de Mohammad Alloush, un prédicateur syrien ultraconservateur exilé en Arabie saoudite. Zahran Alloush a beau résister contre les deux succursales syriennes d’Al Qaïda, à savoir Al Nosra et l’Etat islamique de l’Irak et du Levant (EIIL) alias Daech, il développe la même rhétorique sectaire que ses concurrents. Dans une allocution prononcée devant le château omeyyade Qasr al Hayr al Charqi près d’Al Sukhna en juillet 2013, voici ce que Zahran Alloush déclarait urbi et orbi :
    « Les fils des Omeyyades sont revenus au pays du Levant malgré vous. Les moudjahidines du Levant vont laver la souillure des Rafidhas , pour purifier le Levant à jamais… Les Chiites demeureront à jamais soumis et humiliés comme ils l’ont toujours été tout au long de l’histoire. Et l’Islam a toujours détruit leur Etat… La dynastie des Omeyyades a toujours détruit leur Etat ». (source)
    Comment croire à des paroles de Abdel Aziz Al-Cheikh se souciant des droits de l’homme ? Ce même Grand Mufti appela à la destruction de toutes les églises de la Péninsule arabique en mars 2012, citation authentique de Mahomet en renfort ! Mais cela, les médias se gardèrent bien de le révéler, ça ne colle pas à la grille de lecture d’ Askolovitch. On imagine le tollé médiatique si le pape demandait à détruire toutes les mosquées d’Europe !
    Observatoire de l’islamisation. 7 septembre 2014.

  3. Posté par bigjames le

    Nos dirigeants élus sont des dhimmis sans aucun courage et certains corrompus jusqu’à l’os.
    Le peuple est manipulé par des médias traître et anti-patriote.
    Nos journalistes sont des collabos à 95 %.

  4. Posté par KANDEL le

    Entre la France et l’islam, l’heure est venue de choisir son camp
    Publié le 28 juillet 2014 par Lochaberaxe ,
    Source : http://euro-jihad.com/blog/?p=18807
    Cet article doit absolument être lu par les patriotes et diffusé tous azimuts.
    La situation est gravissime.
    Nos compatriotes ont d’abord vu les supporters algériens dévaster régulièrement notre capitale, puis les principales villes de province, suite aux matches de leurs poulains en Coupe du monde.
    A présent, ce sont les admirateurs du Hamas, qui, détail, veut simplement rayer Israël de la carte, et accessoirement tous les Juifs de la planète, qui prennent la relève, et imposent, à Barbès ou à Sarcelles, des manifestations interdites aux autorités.
    Seuls les aveugles ou les complices des islamistes, politiciens, journaleux, artistes ou juges, peuvent aujourd’hui ignorer qu’une véritable cinquième colonne, installée sur notre territoire avec la complicité de ceux qui nous gouvernent depuis quarante ans, mène une guerre quotidienne à notre pays et à sa population.
    Mais il y a encore plus grave.
    Lazare Zylbergleitt et Guy Sauvage ont chacun fait un compte rendu fidèle du dernier livre de Samuel Laurent, « Al Quaida en France ».
    Voilà un consultant international de renommée mondiale, qui connaît les principaux dirigeants mondiaux d’Al Qaida, les rencontre en Irak, en Somalie, en Grande-Bretagne ou en Turquie, et qui finit par rencontrer – c’est le grand passage du livre – l’émir d’Al Qaida en France, Abou Hassan.
    Celui-ci lui révèle la stratégie de son organisation, et les moyens mis en place pour y parvenir.
    Samuel Laurent découvre, abasourdi, que sur le territoire français, les soldats d’Allah possèdent ce qu’ils appellent des soldats dormants, anciens combattants d’Afghanistan, mais surtout de Syrie, qui ont comme consigne de parfaitement s’intégrer à la population, de ne surtout pas apparaître comme musulmans, mais comme des Français parfaitement intégrés, voire des apostats.
    Il montre, après avoir bandé les yeux de l’auteur, après un voyage de huit heures en voiture, un matériel, présent sur le sol français, capable de détruire, avec des missiles Sol-Air, un avion avec huit cents personnes, de faire sauter des TGV (150 kilos d’explosifs enterrés, au bord d’une voie, et actionnable à distance).
    Il n’occulte pas les tirs de missile, à distance, sur une foule nombreuse, ni les attentats suicides, dans le métro ou autre lieu.
    Il explique très clairement à Samuel Laurent le choix que son organisation laissera à la France, quand elle se sentira prête. Laisser paisiblement l’islam implanter sa loi en France, et tout se passera bien… pour ceux qui s’y soumettent.
    Ou bien résister, et alors les carnages seront terribles.
    Il parle, pour montrer la détermination des siens, d’attentats ciblés, n’occultant pas la possibilité de tuer président de la République ou ministres, par des soldats aguerris, qui iront rejoindre ensuite le paradis d’Allah, pour ne pas laisser de traces.
    Chose étonnante, après un tel récit, silence radio.
    Les islamo-collabos se taisent.
    Même le Front national n’émet aucun commentaire.
    Si Samuel Laurent est un imposteur, notre inimitable Cazeneuve, aidé par l’incomparable Fourest, devrait le démasquer publiquement.
    S’il dit vrai, cela devrait être la mobilisation générale de tous les médias, et de l’ensemble du monde politique.
    Or, à notre connaissance, il n’a été invité que sur un seul plateau de télévision.
    Lors de ses rencontres avec l’émir Abou Hassan, celui-ci (page 381) a cette phrase révélatrice : « Vos juges, vos parlementaires et vos dirigeants font notre jeu ».
    Cet homme, froid soldat de l’islam, résume le pathétique drame de la France.
    Notre pays est confronté à la plus terrible menace de son histoire.
    Il a accepté sur son territoire une cinquième colonne qui représente, aujourd’hui, 15 % de la population.
    Il suffit de regarder les images de Guy Sauvage, lors de la manifestation palestinienne, pour comprendre l’état d’esprit des plus radicalisés.
    Certes, et fort heureusement, tous les musulmans ne sont pas des djihadistes, mais, comme le disait Brigitte Gabriel, dans cette remarquable vidéo traduite par Pascal Hilout, « les musulmans modérés n’ont aucune espèce d’importance », quand plusieurs centaines de milliers de radicaux sont prêts à passer à l’action, ou à soutenir des actions visant à déstabiliser notre pays.
    Nous nous flattons, aidés par les travaux de personnes remarquables comme René Marchand notamment, de faire partie de ceux qui, depuis sept ans, tentent d’alerter nos compatriotes sur la réalité, et essaient de déconstruire le discours d’attrape-nigaud que l’islam et ses collaborateurs (souvent achetés) vendent à la société française.
    Non, l’islam n’est pas une religion d’amour, de tolérance et de paix, mais un projet politico-religion de conquête, qui n’a qu’un objectif : le grand califat mondial.
    Non, l’islam n’est pas compatible avec nos valeurs.
    Non, l’islam n’est pas différent de l’islamisme, l’islam c’est l’islamisme au repos, et l’islamisme, c’est l’islam en action. Non, il n’y a pas 99 % de musulmans modérés dans ce pays, qui ne rêvent que de laïcité et République, et rejettent le 1 % de radicaux qui n’auraient pas compris le message amical du prophète.
    Non, on ne peut pas être musulman français, ni musulman patriote, ni musulman laïque… sinon, on n’est plus musulman. Oui, le voile, les kamis, le halal, les mosquées, les écoles coraniques, les prières publiques, les prénoms, le ramadan sont des stratégies de conquête visant à imposer l’islam à la société française, pour le rendre incontournable, et le substituer à terme à nos valeurs.
    Nous pensons avoir contribué, avec d’autres, à ouvrir les yeux de beaucoup de Français, puisque, à ce jour, si on en croit le sondage du Monde paru le 24 janvier 2014, 75 % des Français jugent l’islam incompatible avec nos valeurs.
    Si nous étions dans un pays normal, gouverné par des hommes politiques normaux, avec des journalistes normaux, et des magistrats normaux, des personnes comme les jeunes de Génération Identitaire (mosquée de Poitiers), Pascal Hilout, Pierre Cassen, Christine Tasin, Caroline Alamachère, Salem Ben Ammar, n’auraient aucun problème judiciaire, et seraient invités sur tous les plateaux de télévision.
    Ils devraient être remerciés pour avoir, au risque de leur vie, au milieu des qualificatifs les plus outrageants, ouvert les yeux de nos compatriotes, et contribué à informer nos dirigeants, les aidant à prendre la mesure du péril mortel qui les guettent.
    Or, ils sont systématiquement ignorés des médias, qui ne parlent d’eux que pour les classer à l’extrême droite, et les amalgamer à des racistes.
    En outre, ils sont persécutés judiciairement par des juges qui confirment, par leur action, les propos de l’émir d’Al Qaida en France.
    Ces magistrats, mais aussi ces journalistes et ces politiciens, ouvertement islamo-collabos, se comportent, dans notre pays, sans vergogne comme des alliés d’Al Qaida, autrement dit comme des traîtres à leur pays.
    Dans un remarquable article, publié sur le site Polémia, Jean-Yves Le Gallou expliquait, dans le contexte de l’ahurissante condamnation d’Anne-Sophie Leclere, digne d’un procès de République bananière, pourquoi la justice de notre pays n’était ni neutre, ni indépendante.
    En attendant, les djihadistes rentrent impunément de Syrie, Cazeneuve leur propose un plan social, et leur raconte qu’il y a plein de belles choses à faire en France.
    Dans le même temps, Pascal et Pierre viennent d’être condamnés à 21.440 euros d’amende et de dommages et intérêts (Chauvelot demandait de la prison avec sursis), Christine Tasin a vu le procureur Chevrier requérir, outre une amende de 3.000 euros, de la prison avec sursis contre elle, et Caroline Alamachère est dans le collimateur des juges, sans oublier Josiane Filio.
    Il faut arrêter de s’aveugler, la guerre que nous mène l’islam a le visage du voile, des mosquées, du halal, du ramadan, des supporters algériens, des djihadistes de Syrie, des émeutiers de Barbès ou de Sarcelles et des soldats d’al Qaida qui s’implantent sur notre territoire.
    Dans la conclusion de son article, Lazare Zylbergleitt évoquait la nécessité d’un régime fort, tel celui de Victor Orban en Hongrie ou de Vladimir Poutine en Russie pour ramener de la sérénité dans notre pays.
    Cela semble de plus en plus l’unique solution pour sauver une France trahie de toutes parts par ses prétendues élites islamo-collabos, et mener une Reconquista victorieuse, pour éviter la mort de l’Europe, pour parodier René Marchand.
    Dans des moments décisifs, il faut choisir son camp.
    Entre la France et l’islam, les collabos, politiciens, journaleux, juges et artistes ont choisi le leur, nous avons choisi le nôtre.
    Quand une guerre nous est déclarée, il faut la gagner.
    Un régime républicain digne de ce nom, se réclamant de Clemenceau, ne tolérerait pas le dixième de ce qu’il vient de se passer en France, samedi et dimanche.
    Il se donnerait les moyens de faire régner l’ordre, y compris si, pour cela, il fallait faire tirer sur les émeutiers djihadistes, admirateurs du Hamas et d’Al Qaida.
    Le Tigre l’avait fait, il y a plus d’un siècle, sur des grévistes ou des viticulteurs, pour faire respecter l’état de droit et la République.
    L’autorité de la France retrouvée, les solutions mises en avant par notre mouvance, à savoir la dissolution de toutes les associations musulmanes, la mise hors la loi de l’islam, la poursuite du Coran devant les tribunaux, la fermeture de toutes les mosquées et boucheries halal et l’expulsion du territoire français de tout disciple se revendiquant de l’islam s’imposeront comme un principe de précaution minimal.
    « Toute VERITE franchit trois étapes. D’abord elle est ridiculisée.
    Ensuite, elle subit une forte opposition, puis elle est considérée comme ayant toujours été une évidence ».
    Arthur Schopenhauer.

  5. Posté par Nicolas le

    Aucun dirigeant du monde « occidental » n’est dupe de ses propres mensonges, diffusés aux masses pour jouer l’apaisement des peuples et éviter une brusque escalade de la haine envers cette religion diabolique et ses suppôts. Sage ou irresponsable?

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