L'établissement scolaire des Libellules, en périphérie de Genève, voit un nombre élevé de trafiquants profiter des vacances pour vendre de la drogue. Un habitant s'insurge.
«Si ça continue comme ça, mes enfants n’iront pas à l’école lundi prochain!» Fâché, le conseiller municipal MCG Laurent Jeanneret. Pour ce père d'enfants en bas âge, le préau de l’établissement scolaire des Libellules, au pied de son immeuble, est devenu un lieu de vente de drogue squatté en permanence par les dealers.
Par contre dans mon commerce rue de carouge, j’ai vu passer en 2 mois : Controleur des prix affichés,controleurs (un couple) du service de la voirie et des incivilités en matière de tris des déchets et hier encore des inspecteurs pour le « travail au noir » (dèp. de mr,maudet).L’administration préfère chiquaner les gens qui travaillent que de s’attaquer aux dealers…
Au lieu d’essayer d’attraper les petits excès de vitesse pour un poignée de km/h, on ferait mieux d’utiliser le peu de ressource à combattre la drogue et la délinquance. On veut toujours plus d’immigration, mais encore faut-il pouvoir contrôler les effets pervers qu’elle engendre. Aucun bord politique n’a été capable de mettre en place des mesures adéquates. Nous avons perdu de la résilience face aux problèmes de notre société, pour se perdre dans les détails alors que le fond laisse franchement à désirer.
Un commentaire la gauche? Amnesty International? SOS Racisme?
S’ils ne commentent pas, ça n’existe pas dans leur monde. La mise en danger de la population autochtone, ils s’en foutent. Des enfants qu’on est justement censés protéger car plus fragiles, ils s’en moquent. Par contre, pour traiter les Suisses de xénophobes, pas de problème…