La Suisse doit dire «clairement à Bruxelles que la migration est prioritaire», note Didier Burkhalter.
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La fiotte habille son discours en Prada, ça reste un discours de fiotte.
Pour une fois d’accord avec M Burkhalter qui en apparence met en avant la volonté du peuple suisse.
Où je suis beaucoup plus sceptique c’est sa façon dont Dédé décrit la soumission à un tribunal européen comme une simple formalité pour aider notre tribunal fédéral (semble-t-il dirigé par des idiots incapables de discernement) pour interpréter (et non pas juger) les éventuels conflits sur les bilatérales.
Prudence de chez prudence avec ce doux euphémisme. Il ne sera jamais assez rappelé que les baillis de Bruxelles ne sont pas nos amis, mais bien des relations d’affaires. L’UE n’a pas de cœur et l’UE n’a pas d’âme.