Castel Volturno : « Des Africains voulaient me brûler vive »

Récit choc d'une jeune fille de 17 ans : "Ils m'ont battue et m'ont dit, ici ce sont les noirs qui commandent".

"Aidez ma fille, sauvez ma fille" !

Ce cri de douleur se détache comme un martèlement pendant les émeutes africaines du 13 juillet à Pescopagano.

C'est Grazia Porcellini, propriétaire du bar, de l'appartement et de la voiture en feu à la rue Lista qui a lancé cet appel à l'aide.

Les émeutes ont commencé depuis quelques heures. L'incendie s'est déclaré il y a environ vingt minutes. La femme vient d'arriver. Elle se trouvait jusque-là dans un autre endroit. Maintenant elle est bloquée par un cordon de police du côté est de la rue.

Les forces de l'ordre ne la laissent pas passer.

Grazia veut se lancer dans les flammes car elle sait que, au premier étage de l'immeuble qui commence à être dévoré par les flammes, se trouve sa fille de 17 ans qui l'a appelée, terrorisée, depuis son téléphone portable.

Pourtant, les pompiers ne peuvent pas à intervenir immédiatement. Les immigrés qui sont en train de tout dévaster dans cette partie de la rue sont trop nombreux face aux forces de l'ordre. Les pompiers doivent attendre l'arrivée des renforts.

"Ce sont eux les patrons" continue à hurler la propriétaire de l'immeuble dévasté que les émeutiers africains sont en train d'incendier. "Ce sont les Africains qui commandent ici et nous, nous devons subir !"

Finalement, le nombre d'émeutiers commence à diminuer. Alors, les pompiers se rendent sur place et commencent à éteindre l'incendie, même s'il reste quelques Africains déchaînés sur place.

Quelques pompiers se munissent de respirateurs artificiels et se lancent dans l'immeuble en flamme à la recherche de la jeune fille. Ils ressortent quelques minutes plus tard sans l'avoir trouvée.

Il est probable que le jeune fille a réussi à se sauver.

Peu après, la jeune fille sort d'une ruelle; elle est en proie à la panique. Elle embrasse sa mère, puis commence à invectiver les forces de l'ordre qui l'ont abandonnée dans l'appartement, livrée seule aux immigrés pendant qu'ils dévastaient sa maison.

"Ils m'ont agressée, ils m'ont donné des coups de pied au ventre, ils m'ont tapé sur la tête, ils voulaient me brûler vive dans la maison - hurle la jeune fille en larmes -  J'entendais et je voyais dans le lointain les sirènes des carabiniers et des policiers, mais personne n'est venu me sauver. J'ai dû me débrouiller toute seule pour leur échapper, pourquoi ?"

Ses parents essaient de la calmer. Ils l'accompagnent vers l'ambulance pour qu'elle soit conduite à la clinique la plus proche. Mais nous sommes à Castel Volturno, et malgré le fait qu'il y règne un climat de violence, il n'y a qu'une ambulance, et celle-ci vient de partir pour transporter à l'hôpital une femme qui était à deux doigts d'accoucher dans la rue.

C'est donc la voiture d'une connaissance qui a accompagné à l'hôpital cette jeune fille qui a failli mourir brûlée vive.
Source en italien (Traduction D. Borer)

7 commentaires

  1. Posté par d degoumois le

    Je parlais tout à l’heure avec un ouvrier qui à travaillé il y a quelques jours à proximité du centre des Tattes à Genève! La drogue s’y vend tout à fait librement! Un dealer vend depuis sont appartement situé au rez d’un immeuble! Les clients viennent frapper très fréquemment à sa fenêtre! Avec la complicité de tout le système, dont les service sociaux bien sûr! Au bas de la rue Voltaire, c’est la même chose des réfugiés sont logés par les mêmes services sociaux dans 3 appartements, le deal se fait aussi pas la fenêtre, jour et nuit devant les autres locataires, qui, en plus doivent en plus supporter l’odeur du cannabis!

  2. Posté par Gudrun le

    VIVE L IMMIGRATION !!! Les gauchos sont contents ?

  3. Posté par Jean-Francois Morf le

    En Suisse, les soldats ont leur arme chez eux, avec 50 cartouches, en cas de mobilisation générale.
    Interdiction de les utiliser, mais les envahisseurs préfèrent vraiment se plier aux lois suisses…
    Aux USA, plus les adultes ont d’armes, moins les envahisseurs se risquent à envahir cet Etat.
    Statistiquement, les américains aiment bien les israéliens et détestent cordialement les mahométans…
    Mais au fait, pourquoi Mahomet n’a-t-il jamais été canonisé comme saint Mahomet?
    Renseignez-vous un peu sur la vie de Mahomet, le nombre de juifs qu’il a décapités…
    http://www.reduitnational.com/comment-les-musulmans-tuent-en-irak/

  4. Posté par Jean-Paul le

    La preuve est faite que nous sommes bien en guerre! Guerre de civilisations ethniques! Les responsables de ces situations désastreuses sont des traîtres! Oui le mot n’est pas trop fort, des traîtres, des fossoyeurs de nos démocraties, ce sont les pro-immigrationnistes et du « vivre ensemble absolument »??? Et à ce titre, surtout en ce qui concerne les barbares ci-dessus, ils doivent êtres dénoncés et fortement condamnés! Mais par qui par les familles comme dans ce cas-ci? Telle est la question, car les juges sont probablement du même acabit et partis.
    Dès lors, que reste-t-il au citoyen abandonné par la justice? Eh bien, SE faire justice sois-même et c’est ce qui va arriver. L’Europe à feu et à sang, nous y sommes.

  5. Posté par Henri le

    Ils sont pourtant tellement sympas lorsqu’ils vendent des bracelets sur la plage…

  6. Posté par Ingrid le

    Voici les effets d’une immigration massive non contrôlée : les populations européennes vont en payer le prix fort, notamment les femmes, victimes favorites des Africains. IL FAUT VOTER POUR LES EUROSCEPTIQUES avant qu’il ne soit trop tard !

  7. Posté par Andrea le

    Qui connait bien l’Italie sait que quand l’Etat brille par son absence et inefficacité, les gens se tournent vers d’autres organisations pour pouvoir survivre.
    Cela est vrai pour l’accès aux prestations de base (eau, éléctricité), la construction de maisons, la recherche d’un emploi pour ses enfants et bien d’autres domaines de la vie où tout un chacun s’attende un coup de pouce à un moment ou l’autre dans sa vie.
    Là, la population crie son désespoir. Elle demandera bientôt de l’aide.
    Je crains fort qu’il ne faille se préparer à des épisodes de nettuoyage urbain…
    C’est à cela que le laxisme abiant va nous amener.

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