Le bateau "Orion" qui se dirigeait vers le port de Catania a enregistré parmi ses 400 "migrants" un probable cas de variole à bord, une maladie grave, comme nous le savons, très contagieuse et potentiellement mortelle. La Croix Rouge Sicilienne aurait menacé de ne pas envoyer son personnel vu l'absence de mesures de prophylaxie.
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Si ce cas de variole devait être confirmé, tout le bateau sera mis en quarantaine.
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Gianni Tonelli, secrétaire général du syndicat de la police SAP a également déclaré :
"Le ministère de l'Intérieur, en tant qu'employeur, a de grandes responsabilités : si ces problèmes de santé devaient affecter nos policiers, le ministère devra répondre de ses actes au pénal comme au civil. Nous avions déjà dénoncé des cas de tuberculose dont les forces de l'ordre avaient été victimes. Ces cas avaient été scandaleusement minimisés par le Viminal*".
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La situation est gravissime, autant pour les policiers que pour les citoyens. Nous, policiers, n'accepterons pas d'être sacrifiés."
Source en italien (traduction libre : D. Borer)
*Palais du Viminal : siège du ministère de l'Intérieur à Rome

Fermer hermétiquement les frontières
Ces personnes nous amènent de graves problèmes sanitaires (SIDA, drépanocytose, tuberculoses, syphilis, hépatite B, ulcères à l’helicobacter pylori, …) qui vont grever la situation des contribuables en Suisse à perpétuité !
L’ « importation » de la misère (misère contagieuse, au propre comme au figuré) est vue comme méritoire par nos autorités, on feint de ne pas voir le caractère hautement explosif de cette situation (densité de la population sur un territoire exigu, mélange de populations, frontières passoires).
En Suisse, la loi oblige les autorités à offrir des soins médicaux à toute personne présente sur son territoire (même aux clandestins). De ce fait, les contribuables paient pour des prestations qui leur sont imposées.
D’autre part, le nombre des assistés ne cesse d’augmenter alors que le nombre des personnes qui s’assument ne cesse de diminuer.
Toute corde, sur laquelle on tire constamment, finit par se rompre !