V. Poutine : interview charcutée par TF 1 et Europe1! Incroyable mais..

INCROYABLE MAIS VRAI. Le charcutage indécent par TF1 et Europe 1 de l’interview de Poutine
Deux arnaqueurs en Russie/ Capture d’écran WAT
La déontologie journalistique a foutu le camp devant Vladimir Poutine, pour Gilles Bouleau et Jean-Pierre Elkabbach, empêtrés tous les deux dans une désinformation sans nom. L’interview du président russe annoncée intégrale et diffusée par TF1, n’est pas réellement la bonne dans son intégralité comme cette photo en une le prétend. Elle dure 24:15 au lieu de 41:23, version originale venue du…Kremlin. Non seulement ils ont pris le soin de couper les parties les plus importantes voire intéressantes, mais ils ont simplement floué tous les téléspectateurs, avec notamment la traduction biaisée de certains passages.
Source: Lescrises.fr

Deux arnaqueurs en Russie/ Capture d’écran WAT

La déontologie journalistique a foutu le camp devant Vladimir Poutine, pour Gilles Bouleau et Jean-Pierre Elkabbach, empêtrés tous les deux dans une désinformation sans nom. L’interview du président russe annoncée intégrale et diffusée par TF1, n’est pas réellement la bonne dans son intégralité comme cette photo en une le prétend. Elle dure 24:15 au lieu de 41:23, version originale venue du…Kremlin. Non seulement ils ont pris le soin de couper les parties les plus importantes voire intéressantes, mais ils ont simplement floué tous les téléspectateurs, avec notamment la traduction biaisée de certains passages.

Franchement, "deux arnaqueurs en Russie" pourrait être le titre d’un film qui aura du succès. Oui, après Poutine le dictateur, ensuite Poutine l’homophobe, ils nous jouent maintenant Poutine le macho pour noyer le poisson et ne pas diffuser les vérités de Vladimlir Poutine. Quelle falsification ! C’est vrai, quand on est faible, on ne peut être qu’agressif (Hillary Clinton) ou menteur (Barack Obama), pour faire valoir ses salmigondis. Gilles Bouleau est le nouveau PPDA et son interview de Castro, ici, Vladimir Poutine. Quant à Elkabbach, niais, agressif et ridicule, il a été odieux dans ses menteries…Ce qui est sûr, Bouleau n’a pas fait son boulot, quant à Elkabbach, il ferait mieux de se réfugier sous une bâche…

Les deux versions en image: à gauche, le Kremlin, 41:23, à droite, TF1, 24:15

Quand on voit comment ces deux falsificateurs s’en donnent à cœur joie, je crois bien que le président russe ne leur accordera plus jamais d’interview. Quel duo de menteurs ! Du coup, TF1 a bloqué toutes les vidéos de cette interview mais, vous pouvez suivre l’intégrale, la vraie, surRutube ou Lescrises.fr.

 

Passage coupé n°1 (Elkabbach)

Question – Et à l’avenir ? Voulez-vous reconstituer l’empire dans ses anciennes frontières ou voulez-vous continuer à développer votre pays à l’intérieur de ses propres frontières ?  

Vladimir Poutine – Nous souhaitons développer notre pays à l’intérieur de ses frontières, bien sûr. Mais – et ceci est très important – comme d’autres pays dans le monde, nous voulons utiliser des moyens modernes pour devenir plus compétitifs, notamment grâce à l’intégration économique. C’est ce que nous faisons dans l’espace de l’ex-URSS dans le cadre de l’Union douanière et de l’Union eurasiatique.

Passage coupé n°(Elkabbach)

Question – Y a-t-il un risque de guerre ? Maintenant, alors que des chars font route depuis Kiev, de nombreuses personnes en France se posent cette question : « Avez-vous été tenté d’envoyer des troupes à l’Est de l’Ukraine ? »

Vladimir Poutine – Il s’agit d’un entretien ce qui suppose des questions courtes et des réponses courtes. Mais si vous êtes patient et me donnez une minute, je vais vous dire comment nous voyons les choses. Voici notre position. Qu’est-ce qui s’est réellement passé là-bas ? Il existait un conflit et ce conflit est survenu parce que l’ancien président ukrainien a refusé de signer un accord d’association avec l’UE. La Russie a une certaine position sur cette question. Nous avons estimé qu’il était en effet déraisonnable de signer cet accord, car il aurait eu un grave impact sur l’économie, y compris l’économie russe. Nous avons 390 accords économiques avec l’Ukraine et l’Ukraine est un membre de la zone de libre-échange au sein de la CEI. Et nous ne serions pas en mesure de poursuivre cette relation économique avec l’Ukraine en tant que membre de la zone de libre-échange européenne.

Nous en avons discuté avec nos partenaires européens. Au lieu de poursuivre avec nous ce débat par des voies légitimes et diplomatiques, nos amis européens et américains ont soutenu une prise du pouvoir armée et anticonstitutionnelle. Voilà ce qui s’est passé. Nous n’avons pas provoqué cette crise. Nous aurions voulu que les choses se passent autrement, mais après le coup d’État anticonstitutionnel – avouons-le, après tout…

Question – (Elkabbach coupant Poutine) Mais on voit tant de tensions dans la vie politique. Pourtant, malgré cela, vous serez en Normandie pour parler de paix alors que Barack Obama continue d’exhorter l’Europe à s’armer.

Vladimir Poutine – Eh bien, il faut continuer de parler de paix, mais il faut comprendre les causes et la nature de cette crise. Le fait est que personne ne devrait être porté au pouvoir par un coup d’État anticonstitutionnel armé, plus particulièrement dans l’espace post-soviétique, où les institutions gouvernementales n’ont pas encore atteint leur pleine maturité. Quand cela s’est produit, certaines personnes ont accueilli avec joie ce régime tandis que d’autres, disons, dans l’Est et le Sud de l’Ukraine ne veulent tout simplement pas l’accepter. Il est essentiel de parler avec ces gens qui n’ont pas accepté cette prise de pouvoir au lieu de leur envoyer des chars, comme vous le dites vous-même, au lieu de tirer à partir d’avions des missiles sur des civils et de bombarder des cibles non militaires. 

Passage coupé n°(Bouleau)

Question — Le nouveau président ukrainien a été élu le 25 mai par un vote démocratique. Considérez-vous M. Porochenko comme un président légitime ?

Vladimir Poutine — Je vous ai déjà dit et le répète : nous respecterons le choix du peuple ukrainien et nous coopérerons avec les autorités ukrainiennes. 

Question (Bouleau)– En d’autres termes, si vous le rencontrez le 6 juin sur les plages de Normandie, et si le président Hollande contribue à rendre possible cette rencontre, vous lui serrerez la main ? Lui parlerez-vous ?

Vladimir Poutine – Vous savez, je n’ai pas l’intention d’éviter quiconque. Le président Hollande m’a gentiment invité à participer à cette commémoration en tant que représentant de la Russie, même si l’événement commémoré fut tragique. C’est avec joie que j’ai accepté son invitation et je suis reconnaissant au Président de m’avoir invité. Il y aura d’autres invités, et je n’en éviterai aucun. Je suis prêt à parler avec chacun d’eux.

Question –(Elkabbach) Mais allez-vous rencontrer M. Porochenko ? Vous avez dit que vous ne travailleriez avec lui qu’à la condition qu’il ne se soumette pas totalement à l’influence américaine.  

Vladimir Poutine — Je n’ai pas dit qu’il ne doit pas céder à l’influence américaine. Il est libre d’accepter l’influence qu’il désire. Les Ukrainiens l’ont élu et il est libre d’adopter une politique qui lui est propre. S’il choisit d’accepter la forte influence d’un pays tiers, libre à lui. Mais je ne le ferais pas…

Passage coupé n°4(Bouleau)

Question – Monsieur le Président, les troupes russes ont récemment annexé la Crimée. Allez-vous jamais la rendre ?

Vladimir Poutine –  Il est faux de croire que les troupes russes ont annexé la Crimée. Les troupes russes n’ont rien fait de la sorte. Franchement…

Question (Bouleau coupant Poutine)– Mais la Crimée a été ajoutée à la carte de la Russie, le genre de cartes utilisées à l’école. Elle fait partie de la Russie maintenant. De quoi s’agit-il ? D’une annexion ou d’une réunification ? Quel mot faut-il utiliser ?

Vladimir Poutine –  Si vous me permettez de terminer, je pense que vous verrez ce que je veux dire.

Les troupes russes étaient en Crimée en vertu du traité international sur le déploiement de la base militaire russe. Il est vrai que les troupes russes ont aidé la Crimée à organiser un référendum sur leur (a) l’indépendance et (b) son désir de rejoindre la Fédération de Russie. Personne ne peut empêcher ces personnes d’exercer un droit qui est prévu à l’article 1 de la Charte des Nations Unies, le droit des peuples à l’autodétermination. 

Question (Elkabbach coupant Poutine) – En d’autres termes, vous ne rendrez pas la Crimée ? La Crimée fait partie de la Russie, c’est ça ?

Vladimir Poutine – Conformément à l’expression de la volonté des personnes qui y vivent, la Crimée fait partie de la Fédération de Russie et de son entité constitutive.

Je veux que chacun comprenne cela clairement. Nous avons mené un dialogue exclusivement diplomatique et pacifique – je veux le souligner – avec nos partenaires européens et américains. Nos tentatives d’organiser un tel dialogue et de négocier une solution acceptable n’ont eu pour toute réponse que leur soutien pour un coup d’État anticonstitutionnel en Ukraine. Nous ne savions donc pas si l’Ukraine ne deviendrait pas une partie de l’alliance militaire de l’Atlantique Nord. Dans ces circonstances, nous ne pouvions pas permettre qu’une partie historique du territoire russe avec une population majoritairement russe puisse être intégrée dans une alliance militaire internationale, en particulier parce que la Crimée voulait faire partie de la Russie. Je suis désolé, mais nous ne pouvions pas agir autrement.

Question (Elkabbach) – François Hollande vous a invité en France, à Paris et en Normandie. Vous le connaissez très bien. Pouvons-nous aller plus loin et dire qu’il existe entre vous une relation de confiance ?

Vladimir Poutine – Oui, je le pense.

Question (Elkabbach) – Le pensez-vous ou en êtes-vous sûr ?

Vladimir Poutine – Je l’ai toujours pensé. Je n’ai pas de raison de penser le contraire. Nous avons de très bonnes relations interétatiques, mais nous avons encore beaucoup à faire pour promouvoir nos relations économiques. Mais nos relations personnelles ont toujours été fondées sur la confiance, ce qui aide également sur le plan professionnel. J’espère que cela continuera.

Question (Bouleau) – Vous parlez de relations basées sur la confiance — à la fois pour ce qui est de la défense et de l’économie.

Passage coupé n°(Elkabbach coupant Poutine)

Question – En dépit des pressions externes, vous avez commandé à la France ces navires d’assaut – et si la France les livre, vous pourriez en commander d’autres, n’est-ce pas ?

Vladimir Poutine – Nous attendons de nos partenaires français qu’ils s’acquittent de leurs obligations contractuelles, et si tout se passe comme convenu, nous n’excluons pas la possibilité de nouvelles commandes, et pas nécessairement dans la construction navale, elles peuvent concerner d’autres secteurs. Dans l’ensemble, nos relations dans ce domaine se développent favorablement, et nous aimerions continuer à les renforcer, dans l’aviation, la construction navale et d’autres secteurs. Nous avons une expérience de coopération réussie dans l’exploration spatiale, au Centre spatial guyanais près de Kourou. 

Passage coupé n°(Bouleau)

Question – La Russie et les États-Unis connaissent des difficultés. S’agit-il d’un différend entre deux puissances ou deux personnes, entre Barack Obama et Vladimir Poutine ?

Vladimir Poutine –  Il existe toujours des tensions entre pays, plus particulièrement avec des pays aussi vastes que la Russie et les États-Unis. Des problèmes se posent toujours, mais je ne pense pas que nous devrions aller à l’extrême. En tout cas, ce ne serait pas notre choix. Je suis toujours prêt à parler à l’un de mes partenaires, y compris le président Obama.

Question (Elkabbach) – Alors vous êtes prêt à discuter et vous regrettez ce qui se passe ? Mais ne pensez-vous pas que les États-Unis tentent d’encercler la Russie, pour vous affaiblir en tant que dirigeant et peut-être vous isoler du reste du monde ? Vous êtes très diplomatique maintenant, mais vous connaissez les faits.

Vladimir Poutine – Les faits ? Vous l’avez dit vous-même : la Russie est le plus grand pays dans le monde. Il est très difficile de l’encercler et le monde change si vite que ce serait essentiellement impossible, même en théorie.

Bien sûr, nous pouvons voir les tentatives des États-Unis qui font pression sur leurs alliés en utilisant leur position dominante évidente dans la communauté occidentale, dans le but d’influer sur la politique de la Russie.

La politique de la Russie est fondée uniquement sur ses intérêts nationaux. Bien sûr, nous prenons les opinions de nos partenaires en compte, mais nous sommes guidés par les intérêts du peuple russe. 

Passage coupé n°(Bouleau)

Question – Je voudrais vous poser une question sur votre pays, la Russie. Comment décririez-vous son régime politique actuel ? Certains le décrivent comme une Démocratie, tandis que d’autres affirment que la Russie est tellement vaste qu’elle a besoin d’un homme à la poigne de fer. Comment Vladimir Poutine définit-il le régime de Poutine ?

Vladimir Poutine – Le régime actuel n’est pas lié à une personne en particulier, y compris le président sortant. Nous avons des institutions politiques démocratiques habituelles, même si elles reflètent les besoins de la Russie. Lesquels ? L’écrasante majorité des citoyens russes ont tendance à compter sur leurs traditions, sur leur histoire et, si je puis dire, leurs valeurs traditionnelles. Je vois cela comme le fondement et un facteur de stabilité pour l’État russe, mais rien de tout cela n’est lié au Président en tant qu’individu. En outre, il convient de rappeler que nous n’avons commencé à introduire ces institutions démocratiques habituelles que récemment. Elles continuent d’évoluer.

Question (Bouleau) – Est-il possible d’être un opposant en Russie sans mettre en danger ses relations et sa réputation ou éviter la sanction du système judiciaire russe ?

Passage coupé n° (Elkabbach)

Question – Monsieur le Président, est-ce qu’on peut s’opposer à vous en Russie sans risque ?

Vladimir Poutine – Si vous écoutez certaines de nos stations de radio ou regardez certaines de nos émissions de télévision, je vous assure que vous avez peu de chance de trouver quelque chose de semblable à ce genre d’opposition en France. 

Passage coupé n°9 (Elkabbach)

Question — Avez-vous un modèle dans l’histoire de la Russie ? Êtes-vous guidé par la politique soviétique ou la politique russe ?  

Vladimir Poutine — J’ai un grand amour et respect pour l’histoire et la culture russe. Mais le monde change, tout comme la Russie. La Russie est une partie du monde moderne, pas du passé, mais plutôt du monde moderne. Et je crois qu’elle jouera un rôle encore plus important à l’avenir que d’autres pays qui ne prennent pas soin de leurs jeunes, des nouvelles générations, de leurs enfants, et qui pensent qu’ils peuvent simplement se contenter du laisser-faire. 

Question (Bouleau) – Et la dernière question, Monsieur le Président. En 2013, [le magazine] Forbes vous a classé comme la personne la plus puissante dans le monde. Avez-vous été flatté par ce titre ?

Vladimir Poutine — Vous savez, je suis adulte et je sais ce que signifie le pouvoir dans le monde moderne. Dans le monde moderne, la puissance est principalement définie par des facteurs tels que l’économie, la défense et l’influence culturelle. Je crois que sur le plan de la défense, la Russie est sans aucun doute l’un des chefs de file parce que nous sommes une puissance nucléaire et que nos armes nucléaires sont peut-être les meilleures dans le monde.

En ce qui concerne l’influence culturelle, nous sommes fiers de la culture russe : la littérature, les arts et ainsi de suite.

Quant à l’économie, nous sommes conscients que nous avons encore beaucoup à faire avant d’atteindre le sommet. Bien que, ces derniers temps, nous ayons fait d’énormes progrès et que nous soyons désormais la cinquième économie dans le monde par sa taille. C’est un succès, mais nous pouvons faire mieux.

Source:Lescrises.fr  

84

6 juin 2014

Le logiciel de ces gens est resté bloqué à l’heure de l’ORTF. Ils n’ont pas encore compris qu’Internet montre et dénonce leurs mensonges. Vous l’aurez compris, c’est pour cela qu’ils ne supportent pas ce média, l’accusant de véhiculer la haine. Ils font pire…dans l’arnaque, le mensonge, la manipulation, la haine et la médisance.

 

2 commentaires

  1. Posté par Poutchkar le

    M. Poutine est probablement, à l’heure actuelle, le plus grand chef d’état de la planète.
    C’est sûrement grâce à son sang froid et à son intelligence que, au vu de ce qui se passe actuellement, notamment à Slaviansk, que nous ne sommes pas encore entrés dans la 3ème guerre mondiale.
    Les américains sont en train de tresser la corde qui les pendra avec leurs sanctions, et en voyant que la BCE donne maintenant des intérêts négatifs, il semble bien que cela se précise de jour en jour.
    Depuis le début de la crise ukrainienne, je lis chaque jour le blog « Les Crises » de M. O. Berruyer (que vous citez) et l’autre blog de réinformation « Dedefensa ». Je vois donc bien où vont l’Europe et particulièrement la France, entre sa chasse aux sorcières de leur « humoriste à quenelles » et son appui sans faille à Svoboda et au Pravy Sector en Ukraine.
    C’est bien pour cela que, même si j’ai moi-même voté oui pour les Gripen, je pense néanmoins que le fait qu’il ait été refusé n’est pas forcément une mauvaise chose en soi. Il faut bien penser que, si on veut avoir une défense aérienne crédible et indépendante, AUCUN des avions des pays membres de l’OTAN ne peuvent remplir ce rôle. Les logiciels de tir des avions américains doivent être mis à jour régulièrement ou bien ils deviennent totalement inopérants. On paie donc des avions des milliards qui, je jour ou on en a besoin pour affirmer réellement l’indépendance du pays, risquent bien de se transformer en carcasses vides et inutilisables. Les avions français Rafale peuvent trop facilement être soumis à l’embargo des américains « au cas où », en tous cas pour leurs pièces et fournitures nécessaires à leur maintien en ordre de service. Il n’y a qu’à voir le suivisme aveugle, voir même la complicité évidentes des français et des américains sur le dossier ukrainien. Pour ce qui en est des Gripen, leur moteur est américain, ainsi qu’une partie de leur électronique et je crois aussi le software de tir. Même en étant pas dans l’OTAN, les suédois seraient donc obligés de respecter un ordre d’embargo éventuel envers la Suisse.
    En réalité, nous avons le même problème que les brésiliens: Ils sont totalement encerclés par des bases américaines et savent que tôt ou tard, ils auront à se défendre contre eux, et nous sommes totalement isolés en Europe. Les seuls avions qui nous permettraient vraiment de faire respecter notre indépendance seraient en fait, comme pour eux, et je vais en choquer plus d’un, les avions russes Su 30.
    Je sais bien que, politiquement, ce serait assez « hard », mais dépenser des milliards pour des carcasses qui risquent bien d’être inutilisables contre nos seuls vrais ennemis potentiels (il n’y a qu’à voir les commentaires des officiels allemands ou français à propos de la démocratie suisse quand ils sont invités dans notre pays) qui sont les EU et les l’UE.
    De toute façon et en toute logique, on a toujours beaucoup plus de « chances » d’être en conflit avec nos voisins immédiats plutôt qu’avec des gens qui sont à des milliers de km de chez nous, et nous restons une belle épine dans le pieds de l’UE qui, du seul fait de notre existence, ne peut pas prétendre qu’ils représentent la seule alternative viable, tant économiquement que du point de vue de des droits démocratiques. Et tôt ou tard, ils ne le supporteront plus.

  2. Posté par Jean SIMEON le

    J’ai regardé cet entretien où j’ai pu voir deux singes à la botte de la diaspora essayer de laminer le président Poutine que moi j’aime bien mais Gilles Bouleau et Jean-Pierre Elkabbach se sont fait avoir à leur propre imposture, et je dois dire que Poutine à du prendre sur lui pour ne pas les frapper, car j’ai vu 2 grands cons qui n’avaient rien à faire là, un qui aurait du être en retraite et l’autre pour qui je n’ai plus aucune estime eu égard à son comportement. Cependant j’ai beaucoup apprécié que le président leur a fait quelques remarques bien envoyées et très justifiées. Cet homme aurait du être interviewé par des gens honnêtes et loyaux par par ces 2 cons : honte à eux, et bravo monsieur POUTINE !!!

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.