Pourquoi les homosexuels se tuent ?

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Une des fables concernant l’homosexualité vient d’être mise à mal. Le taux de dépression et de suicide (un sur huit) des homosexuels tiendrait du rejet dont ils font l’objet venant de leur famille. Une étude vient d’infirmer cette allégation.

 

Dr Delaney Skerrett dirige une équipe de chercheurs de l’Institut australien pour la recherche sur le suicide et la prévention (AISRAP) dans le Queensland. Il a constaté que la principale cause de suicide chez les lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexués (LGBTI) était le stress lié à leurs partenaires « de cœur ». Ceci étant d’ailleurs en partie le cas pour les « hétéros » mais de manière moins fréquente. L’étude, qui a été publiée le 2 avril dans Asie-Pacifique psychiatrie, a constaté que «les personnes LGBT ont connu des problèmes de relation « plus souvent » que chez les hétérosexuels » 

Cela confirme des études antérieures constatant que les homosexuels sont également confrontés à des taux plus élevés de violence conjugale que les hétérosexuels. Une étude de 2007 dans le Journal de santé en milieu urbain, publiée par la New York Academy of Medicine, a constaté que 32 pour cent des homosexuels ont été abusés par au moins un partenaire au cours de leur existence. Leurs vies est faite de découragements ; ce qui les mène à la dépression et au suicide plus qu’à d’autres troubles psychologiques. Skerrett conclut de la manière suivante : la dépression afflige de façon disproportionnée les homosexuels actifs. Peter Sprigg, spécialiste des études politiques à la  Family Research Council , a déclaré à LifeSiteNews que l’étude ajoute : les causes du suicide et de la dépression dans la communauté homosexuelle sont plus complexes que ce qu’affirment les gays.

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4 commentaires

  1. Posté par Denis Calomens le

    @Cain : merci, mais peut-être qu’il serait judicieux d’éviter des formules que d’aucuns pourraient considérer comme étant outranciers et/ou à trop forte connotations religieuse ? La question est : veut-on se faire plaisir, ou faire avancer ces idées ? Dans le 2ème cas, m’est d’avis que la retenue et la mesure seraient les bienvenues…

  2. Posté par Cain Marchenoir le

    Parfaitement d’accord avec Denis. Appellons un chat un chat, sodomites et gomorhéennes feront parfaitement l’affaire

  3. Posté par Denis Calomens le

    LGBT, c’est effectivement long, mais c’est quand-même mieux que l’arnaque intellectuelle et le détournement du vocabulaire que constitue le mot « gai ». Selon tous les dictionnaires, « gai » et synonyme de jovial, heureux, de bonne humeur. Or , je me demande en quoi le fait d’être sexuellement attiré par les gens de son propre sexe aurait quelque chose de « gai » ou de « jovial »…? A moins bien sur (et c’est ma conviction) que l’utilisation et le détournement du mot « gai » ne soit qu’un emballage utilisé pour enjoliver la chose et la rendre plus « acceptable » aux yeux de la société ? Les gens sont libres de leurs choix, mais pourquoi ces « subterfuges » linguistiques ?

  4. Posté par Andrea le

    LGBTI, voila l’acronyme qui s’allonge. il faudra bientôt que Twitter allonge ses 140 caractères.
    Pourquoi ne pas dire NH, pour non-hétéro; ou NHS, non-hétérosexuels. N’en déplaise aux institutions anglaises…

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