Alors que la peur palpable de l’exil forcé et de la montée en puissance de l’islamophobie envahit la communauté musulmane de Crimée, au premier rang de laquelle la minorité Tatar, d’origine turque, redoute que les tourments de l’histoire ne se répètent inlassablement, la violence de l’oppression Stalinienne étant une plaie difficile à panser, Vladimir Poutine s’est voulu rassurant en ce début de semaine, après un vendredi 18 avril où l’angoisse fut
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