Désinformation. Retour sur l’ « émotion » de Ueli Maurer

Uli Windisch
Rédacteur en chef
post_thumb_default

Les médias, non contents d’un traitement si partial, et une présentation négative unanime de U. Maurer, veulent, en plus, monopoliser et maîtriser les interprétations de cet événement et empêcher d’autres interprétations.
Encore une autre question que soulève cette crise révélatrice : pourquoi si peu de responsables politiques osent-ils critiquer ouvertement cette partialité, ce manque d’objectivité, ce monopole et cette orientation générale encore et toujours largement de gauche du Service dit public ? Oui c’est encore le cas actuellement malgré les dénégations et les accusations retournées. Ces politiques ont même voté une augmentation massive des moyens financiers de ce service dit public puisque les entreprises devront, elles aussi, payer la « Redevance ».

 

Faut-il vraiment  revenir sur la réaction du Conseiller fédéral Ueli Maurer à la suite du reportage de la télévision suisse alémanique SRF sur l’avion de combat Gripen, et à propos duquel le peuple suisse se prononcera lors des votations populaires du 18 mai 2014 prochain ?

La réponse est clairement OUI et les raisons sont nombreuses et une nouvelle fois particulièrement significatives par rapport à la situation des médias suisses et de notre monde journalistique.

Pour réaliser cette émission les journalistes ont donc été chercher un « expert » étranger (quel autre pays ferait cela ?), qui plus est socialiste, ou gauchiste suivant le point de vue, et qui travaille depuis plusieurs décennies, toujours comme « expert », sur le sujet de l’armée pour le Parti socialiste suisse (PSS). Faut-il aussi rappeler que le PSS a toujours dans son programme comme objectif la suppression de l’armée (à côté d’un autre « dépassement », celui du capitalisme).

Choisir un tel expert et en plus comme seul expert pour réaliser une émission, il y a bien de quoi faire une bouffée émotive !

Du point de vue journalistique d’abord cela nous paraît, grave, inadmissible. Et ce n’est pas le fait de vouloir jouer au naïf, du côté journalistique, comme si de rien n’était, qui va diminuer la responsabilité.

Une question à poser à propos d’une telle pratique est la suivante : un tel journaliste est-il véritablement journaliste ou un militant politique déguisé en journaliste ? La réponse est clair : ce n’est plus du journalisme de référence, ni une simple prise de position mais bien du militantisme  idéologique avec tout le travestissement et la tromperie que cela implique.

Quand verra-t-on un journaliste présenter un reportage sur l’armée avec compétence et responsabilité, voire avec patriotisme? Rien que d’évoquer une telle éventualité, indique son côté irréel par rapport au climat journalistique ambiant du milieu. On n’arrive même pas à imaginer un tel reportage. Cela montre à quel point on cherche à nous enfumer.

Le pire est certainement le fait qu’un  journaliste comme celui qui a réalisé le reportage en cause ne subira jamais aucune réprimande, ni sanction ; on l’entend déjà, lui et ses collègues, rirent sous cape en prenant l’air faussement choqué face à la vague de protestations.

On pourrait rappeler ici la sévérité du philosophe Karl Popper envers le monde journalistique, lui qui pensait avec un collègue qu’un journaliste devrait disposer d’un permis à points comme un automobiliste et qu’il se verrait retirer des points en fonction de la gravité des fautes commises jusqu’au stade où…Surtout qu’ici les choses se passent dans le Service dit public.

Imaginez les bouffées, réellement émotives elles, du milieu si une telle proposition n’était qu’évoquée publiquement.

Autre aspect essentiel que fait apparaître l’exemple de cette émission comme partiale à souhait. Après avoir d’abord joué au naïf, que fera ensuite ce type de journaliste ? Au lieu de reconnaître sa faute, il cherchera au contraire à ridiculiser le protestataire, « la victime », en l’occurrence U. Maurer, tout de même Conseiller fédéral. Ce dernier, tentant de préciser après la polémique, qu’il voyait sa mission et sa responsabilité comme étant celle de  protéger la Suisse, militairement, comme un père cherche à protéger sa famille, une métaphore comme une autre et surtout compréhensible par tous, on retournera le propos pour le ridiculiser en prétendant que le chef politique de l’armée infantilise le peuple ; alors qu’il cherchait simplement à signifier la nécessité d’une protection armée aérienne en lui donnant en effet une dimension affective, puisqu’ une menace de type militaire n’est pas une abstraction mais un danger bien réel, objet de craintes certaines et bien justifiées, même s’il n’est que théorique en ce moment. Le plus difficile étant évidemment de convaincre d’un tel danger dans une période plutôt calme et qui exclut des menaces à peine imaginables, du moins en ce moment. Or, gouverner n’est-ce pas prévoir ? Surtout en matière de dangers et de menaces invisibles, à l’heure actuelle. L’ambiance politique à gauche est telle que pour cette dernière une  éventualité de ce type ne peut être présente que chez des esprits paranoïaques ! Or il est connu que de la naïveté, à l’irresponsabilité, puis à la trahison, il n’y a souvent qu’un pas. Souvenons-nous de l’époque, pas si lointaine, où le monde politique rose-vert hurlait un slogan on ne peut plus clair : « lieber rot als tot », soit la soumission avant même la moindre menace.

Autre tendance médiatique que révèle cet événement.

Les médias, non contents d’un traitement si partial, et une présentation négative unanime de U. Maurer, veulent, en plus, monopoliser et maîtriser les interprétations de cet événement qui vont suivre, afin d’empêcher d’autres interprétations.

 Pendant plusieurs jours, les médias vont opter pour la piste de la ridiculisation de Maurer, en rappelant certains de ses propos déjà tournés en ridicule à plusieurs reprises dans le passé  (le fait qu’il voulait par exemple pour la Suisse «  la meilleure armée du monde », ou d’autres de ses propos qui se situaient à l’opposé du politiquement correct de la gauche, etc.). On s’efforce de ne laisser aucune prise à une vraie critique de ce dévoiement journalistique.

Voici un deuxième exemple de ce type d’enfumage médiatique qui consiste à vouloir monopoliser et imposer l’interprétation d’un événement contesté. Ce phénomène est tellement implicite qu’il n’est pas immédiatement perceptible par le commun des mortels. L’exemple est tiré du MatinDimanche 20 avril 2014, qui revient sur le sujet quelques jours après l’incident avec un titre qui annonce déjà cette pratique : « Maurer déclare la guerre à la TV alémanique », en  signalant tout de même que cinquante plaintes (un tel nombre de plaintes après une émission est tout à fait exceptionnel, voire unique) ont déjà été déposées auprès du médiateur par des téléspectateurs scandalisés par cette partialité idéologique des responsables de l’émission contestée. Que dit-on ? Que si U. Maurer s’est énervé contre cette présentation tendancieuse, c’est qu’en réalité cet énervement  était feint ! Il fallait y penser.

Bref, la TV n’est jamais coupable, voyons ! Et le rédacteur en chef de la télévision SRF, Christian Brenn, vient personnellement à la rescousse des auteurs de l’émission. Comment ? En tentant de faire croire une nouvelle fois que la TV est innocente car « Maurer a eu neuf minutes pour s’exprimer après le reportage » !  Malgré la cinquantaine de plaintes le red en chef tranche, croit trancher : « L’émission était objective ». Il faut oser.

Il en rajoute même à propos du reproche constant d’une télé trop marquée à gauche : «  Je ne peux plus entendre ce vieux reproche ». Mieux, il affirme encore que c’était peut-être vrai autrefois mais que « Ce n’est plus le cas depuis un long moment ». MDR :mort de rire. (Une journaliste de la TSR, inscrite au parti socialiste, m’a dit la même chose lors de ma dernière et unique intervention dans cette TV depuis deux ans)

C’est bien cela : non seulement refuser les critiques mais chercher à imposer une interprétation et à interdire les autres interprétations.

On attend toujours des noms de journalistes de droite ou même UDC, un parti qui représente tout de même le tiers de l’électorat.

En dernier lieu, dans ce même article, intervient l’estocade journalistique finale, avec une nouvelle forme d’accusation, toujours dirigée contre U. Maurer, cela va de soi : « Reste que Ueli Maurer a voulu surfer sur le sentiment antimédias souvent répandu au sein de la base de l’UDC. La manœuvre portera-t-elle ? Réponse le 18 mai. »

Objectif visé : cette fois on ne s’en prend plus seulement à U. Maurer mais à l’ensemble de son parti politique, dont les membres seraient quasiment seuls à être critiques envers les médias, ici à l’encontre de la TV.

Certes l’attaque peut être la meilleure défense.

Réponse : il faut s’exercer quotidiennement à éviter d’être dupe de ces stratégies perverses des médias, et travailler sans cesse au dévoilement de ces pratiques insidieuses et à leur renouvellement constant.

Revenons sur le reproche fait à Ueli Maurer de surfer sur le sentiment antimédias et de vouloir en profiter.

Tiens ! D’abord on admet que ce sentiment existe. Par rapport à ce reproche, on peut rappeler que, contre vents et marées, U. Maurer avait déjà critiqué clairement et sévèrement le manque de pluralisme des médias lors d’un colloque organisé par les médias eux-mêmes et auquel il avait été invité ? Cela avait soulevé une tempête avec de nombreuses vagues et sur le long terme. Il avait touché à l’intouchable : évoquer et critiquer l’énorme surpoids de la bien-pensance médiatique. Il avait ajouté une précision : la partialité et le manque d’objectivité du  Service public (Lesobservateurs s’élèvent aussi régulièrement contre ces déviances et contre cette situation monopolistique unique dans un pays démocratique !).

Encore une autre question que soulève cette crise révélatrice : pourquoi si peu de responsables politiques osent-ils critiquer ouvertement cette partialité, ce manque d’objectivité, ce monopole et cette orientation générale encore et toujours largement de gauche du Service dit public ? Oui c’est encore le cas actuellement malgré les dénégations et les accusations retournées. Ces politiques ont même voté une augmentation massive des moyens financiers de ce service dit public puisque les entreprises devront, elles aussi, payer la « Redevance ».

Ont-ils peur d’être moins invités, voire plus du tout ? Si c’était le cas ce serait particulièrement grave, car à ce moment-là les médias ne seraient plus le quatrième pouvoir mais l’un des premiers.

PS. A ceux qui osent encore prétendre qu’une grande partie des médias ne sont plus de gauche, on peut opposer un article récent paru pourtant dans Libération (11 avril 2014), journal de gauche français bien connu. On trouve là une autre réponse que celle du red en chef de la TV alémanique et de bien d’autres de nos journalistes.

Citons un peu juste pour être concret : «  Ce qui est en train de tuer la presse de gauche – car celle de droite se porte plutôt bien- c’est le politiquement correct… sauf à devenir entièrement financé par l’Etat (NDR comme notre service dit public !), on peut imaginer que la presse de gauche disparaîtra définitivement du paysage français d’ici quelques années… »

Autre perle tirée de cet article : le public « en a marre des prêtres, des instituteurs et des colons déguisés en journalistes… qu’on lui vende une idéologie usée et stupide… » . A lire en entier (ici).

Ces propos auraient-ils aussi une certaine pertinence pour le paysage médiatique suisse ?

 

 

 

 

 

 

 

9 commentaires

  1. Posté par Ueli Davel le

    Cher Adalbert vous avez certainement raison! Mettons la collègue de U. Maurer, Mme Sommaruga ou Mme Leuthard au commande du DDPS pour appaiser nos média et vous même. Ces dames sont parfaitement à même de couler notre armée, inviter la légion étrangère ou les tirailleurs sénégalais pour nous protéger. Vous nous dites que l’avion est sur papier, les budgets sont trop courts etc Soit mais que dite vous des milliards accordés au DETEC! Les technologies et l’état des infrastructures est parfaitement connu, pas souci de dépassement de budget tout baigne dans l’huile, les caisses de pensions, les nouveaux trains à deux étages dont on ne sais pas encore quand ils rouleront et à quel prix, l’aide au développements accordé aux transports genevoisdont dont le projet est déjà annoncé avec 2 ans de retard, un gare à Lucerne à plus de 2 milliards, celle de Lausanne à X milliards, la liste est encore longue. Quand à Keckeis ils est à la retraite, en mauvais état de santé. Il est pour le Raffale, lui, Keckeis tout seul! Pas un pays au monde n’en veut, celà fait plus de 10 ans que trois présidents Francais, les poches pleines de bacchisch essaient de le fourguer quelque part, sans succès! Selon Keckeis et vous même tous des incapables sûrement! Non, sérieusement, mettons Sommaruga ou Leuthard à la place de Maurer ainsi nous pourrons dormir tranquille.

  2. Posté par JeanDa le

    @Adalbert : Il ne suffit pas de regarder la tranche de saucisson de la gauche qui nous encourage à votre contre cet avion (qui n’est peut-être pas le meilleur, mais c’est le seul qui « fait le job » sans nous coûter la chemise et les pantalons avec).
    Il faut regarder toutes les tranches qu’ils vont nous refiler pour nous faire avaler, petit-à-petit, sa potée infâme : la suppression de l’armée, puis le rattachement « naturel » à l’UE.
    Alors je refuse de manger de ce saucisson-là.

  3. Posté par adalbert le

    Votre obstination à défendre envers et contre tout Ueli Maurer devient pathétique. La question posée au peuple suisse le 18 mai prochain n’est pas de savoir si l’on est pour ou contre l’armée, mais de voter pour ou contre le choix de l’avion Gripen. Or, le ministre Ueli Maurer avait dans un premier temps déclaré être « contre l’achat d’un nouvel avion », préférant qu’on garde cet argent pour l’armée de terre. Il s’est ensuite ravisé, contraint et forcé de choisir par dépit « l’avion le meilleur marché », autrement dit un avion de combat au rabais ! Le même Ueli Maurer s’est encore fait durement tancé par le parlement et les commissions parlementaires pour avoir présenté un très mauvais dossier sur le Gripen, critiqué aussi par les experts militaires (pas par le GSSA !). Pire encore, l’ancien chef de l’armée Christophe Keckeis, qui n’est pas un fieffé gauchiste semble-t-il, a vivement critiqué l’attitude du ministre U. Maurer sur ce dossier, notamment pour ses incohérences et ses multiples contradictions. De plus, selon les sondages, près de la moitié des électeurs du PLR et du PDC diront NON aux Gripen, ainsi qu’une forte minorité de l’électorat UDC. Le peuple se prononcera sur la crédibilité du ministre Maurer sur ce dossier et sur l’opportunité ou non de dépenser plus de 6 milliards au moins (et non pas 3,125 milliards) pour un avion fantôme qui n’a encore jamais volé et dont les premiers essais de vol ont été reportés par Saab à fin 2015 !

  4. Posté par Ueli Davel le

    J’allais oublier de complimenter m. Windisch pour son excellente analyse!

    Comme disent nos amis Français, ne serait possible de faire un « pacte de non participation » aux émissions coupe gorges et traquenard bien connue de la SSRSRG. Prévoir une modération bi/tricéphale assurant une partialité, seule garante d’une information objective. Nous payons finalement pour une information équilibrée et objective.
    Si Bernheim, les Gauchos de service de L’agence, Infrarouge, Rundschau, Forum, …. peuvent faire leur propagande gauchiste, un même temps d’antenne doit être accordé aux reste du monde de manière équilibrée. Assez de ces interviews guet-apens, assez de ces émissions satiriques de fond de basse-cour, assez de ces humoristes avinés ou/est frustrés.

  5. Posté par Ueli Davel le

    Déinformation institualisée et payée par notre impôts. Un des grands fossoyeurs de la démocratie et égoutier à temps perdu est le fonctionnaire humoriste Bernheim. On sent chez lui une haine raciste néofaschogauchoiste primère. Il suffit d’écouter son dernier délire radiophonique concernant U.Maurer. On a la très nette impression qu’il et ces petits camarades aimeraient envoyer, Maurer, Freysinger, Mörgeli et un bon tière des Suisse dans des Stalags ou Goulags.

    La déinformation de la SSRSRG de weckiénne et soutenue par un système infaillible a plusieurs niveaux soutenue par une armée de journaleux endoctrinés jusqu’ á la moelle, non substantifique cela, dans nos universités.
    Une constante: la dépendance à l’argent des contribuables.

    Un constatation: l’incapacité d’être, de penser, de vivre sans les mammelles de l’état salvateur qui les abreuves depuis le début de leur carrière vouée aux pauvres et aux orphelins de tout bords et aux doctrines marxiste.

  6. Posté par Nicolas le

    Ne pourrait-on pas concevoir, au-delà du désormais traditionnel discours sur la misère des médias, que le conseiller fédéral Maurer se ridiculise tout seul? En perdant son calme face à un journaliste certes hargneux, puis en allant faire amende honorable en osant dire que, lorsque l’on critique l’armée, il se sent comme un père devant défendre son enfant?
    En réalité, Maurer, n’a besoin de personne ni de rien pour, si l’on ose dire, se tirer des rafales dans les pieds.
    Et après tout, on a les ministres que l’on mérite…

  7. Posté par Jean-François Dupont le

    Oui il faut y revenir. Ce n’est qu’un épisode , mais il est au centre de ce combat que vous menez si bien pour défendre la pensée libre. Votre analyse est essentielle. Merci.

    Petit rappel, pour le côté épisodique: votre intervention à propos de la participation d’Uli Maurer à la nuit des médias le 13 septembre 2013:
    http://www.lesobservateurs.ch/2013/09/21/le-gauchisme-des-medias-ca-commence-a-suffire/
    et le texte du discours du Conseiller fédéral cette nuit là, qui mérite relecture (même en allemand):
    http://f.blick.ch/media/2441699-6305/Ansprache-des-Bundespraesidenten-Ueli-Maurer.pdf

    Est-ce que je me trompe? J’ai eu l’impression que le traitement de l’affaire qu’en a fait le Matin Dimanche de hier 20 avril 2014 était relativement nuancé et sortait du schéma habituel consistant à démolir unilatéralement et sans scrupules M. Uli Maurer.

    Monsieur Windisch continuez, vous contribuez à une évolution…

  8. Posté par JeanDa le

    Bonjour,
    Quel parti (il n’y en a qu’un de courageux) ou quelle organisation aurait le courage de lancer une initiative pour purement et simplement supprimer ce « service public » arrogant, obstiné, partial, biaisé, manipulateur, sournois, machiavélique et tout simplement nauséabond ?
    Je suis prêt à donner un coup de main et je n’ai vraiment pas l’impression d’être seul !
    Payons des journalistes chômeurs plutôt que des militants de gauche déguisés en journaleux, je fais le pari que ça coûtera moins cher et que la démocratie s’en portera mieux !

  9. Posté par Nicolas le

    Les citoyens téléspectateurs ne sont pas dupes. Gageons que le comportement de ces oligophrènes de gauche sera une fois de plus contre-productif, et qu’il servira en fin de compte la cause de leur adversaire. Réponse le 18 mai.

Et vous, qu'en pensez vous ?

Poster un commentaire

Votre commentaire est susceptible d'être modéré, nous vous prions d'être patients.

* Ces champs sont obligatoires

Avertissement! Seuls les commentaires signés par leurs auteurs sont admis, sauf exceptions demandées auprès des Observateurs.ch pour des raisons personnelles ou professionnelles. Les commentaires sont en principe modérés. Toutefois, étant donné le nombre très considérable et en progression fulgurante des commentaires (259'163 commentaires retenus et 79'280 articles publiés, chiffres au 1 décembre 2020), un travail de modération complet et exhaustif est totalement impensable. Notre site invite, par conséquent, les commentateurs à ne pas transgresser les règles élémentaires en vigueur et à se conformer à la loi afin d’éviter tout recours en justice. Le site n’est pas responsable de propos condamnables par la loi et fournira, en cas de demande et dans la mesure du possible, les éléments nécessaires à l’identification des auteurs faisant l’objet d’une procédure judiciaire. Les commentaires n’engagent que leurs auteurs. Le site se réserve, par ailleurs, le droit de supprimer tout commentaire qu’il repérerait comme anonyme et invite plus généralement les commentateurs à s’en tenir à des propos acceptables et non condamnables.

Entrez les deux mots ci-dessous (séparés par un espace). Si vous n'arrivez pas à lire les mots vous pouvez afficher une nouvelle image.