L’Italie est notre maison et nous les vraies victimes.

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NDR. Nos lecteurs nous écrivent . Article repris par Lesobservateurs.ch et traduit par Danielle Borer que nous remercions très sincèrement. L’auteur de l’article, original en italien, est Ida Magli, anthropologue et écrivain, auteur de plus de vingt ouvrages.

 

Les Italiens sont les vraies victimes de l’immigration incontrôlée. Cette immigration qui les oblige à subir une invasion est d’une violence inacceptable.

Ida Magli

Magli IdaBon

La société italienne est l’une des plus avancée sur le plan scientifique, juridique, artistique et technique.

Ce que nous ne pouvons et ne voulons pas, c’est être contraints de nous comporter comme si, au contraire, nous étions de  pauvres sauvages privés de pensée rationnelle,  se jetant à terre devant les catastrophes en criant et s’accusant d’être coupables de la souffrance du monde et en implorant le ciel avec l’espoir que la prochaine fois, le ciel et le monde seront plus cléments.

Par conséquent, que nos gouvernants arrêtent de se comporter comme des chamans en terre africaine, avec drapeaux mis en berne, suppliant les dieux et demandant une minute de silence avec en fond sonore, le triple appel d’une corne de brume. Maintenant, assez de mensonges. Nous voulons affronter la question des immigrés à Lampedusa avec l’esprit rationnel avec lequel nous sommes habitués, en Italie, à résoudre les problèmes et non avec la mentalité de ceux qui, en Afrique, invoquent la pluie.

Ce n’est pas nous qui avons tué les victimes de Lampedusa. Ils n’étaient pas Italiens, ils venaient en Italie de leur propre chef, sans autorisations, sans place de travail, mais aussi sans nécessité absolue de fuir leur pays : ils n’étaient pas poursuivis par des ennemis, ils avaient leur maison et, comme presque partout en Afrique, ne manquaient ni de nourriture ni de l’essentiel pour survivre. En fait l’Afrique est pauvre uniquement parce que les Africains ne font rien pour ne plus être pauvres et sont incapables de s’organiser.

Ils se sont embarqués en dépensant de grosses sommes, poussés par certaines organisations criminelles que tout le monde connaît parfaitement en Afrique, de même que tout le monde sait qu’entrer en Italie sans autorisation signifie violer une loi, existant non seulement en Italie, mais dans tous les pays, dans toutes les parties du monde. Une loi inscrite partout depuis les origines des sociétés humaines, inscrite dans le cœur, dans l’esprit de tout être humain, une loi qui est un droit pour chaque être humain : avoir sa propre maison, sa propre tente, sa propre grotte, son propre hangar, son propre paravent, est un droit inviolable. Personne ne peut ni ne doit entrer sans y être invité par celui qui y habite; il ne peut même pas occuper cet espace avec son ombre. Il n’a jamais été nécessaire d’expliquer cela parce que chaque homme, depuis l’âge de pierre jusqu’à nos jours, l’a toujours su, même ceux qui viennent à Lampedusa.

L’étranger, l’inconnu, a sa propre [culture], l’apporte avec lui et, que se soit positif ou négatif, il ne peut en “contaminer” les autres sans que ceux-ci lui en ai donné la permission. Le territoire Italien est la maison des Italiens. On ne peut entrer dans aucune maison italienne, pas même la police, sans autorisation. Celui qui le fait, est un criminel que la justice italienne condamne même s’il n’a rien volé. Il n’y aucune maison en Italie, même petite et pauvre, qui n’ait devant sa porte un paillasson : le paillasson est le signal non pas que tu dois te nettoyer les souliers mais, que si tu le franchis, tu te décontamine pour entrer dans un nouvel espace, un espace sacré pour la personne qui y habite.

Nos gouvernants, [...], exercent une violence terrible à l’encontre des Italiens en les obligeant à subir chaque jour l’invasion d’étrangers et en chargeant leurs épaules des malheurs de ces gens comme s’ils en étaient responsables.

Les enfants qui, en classe, ont du observer une minute de silence pour les morts de Lampedusa, s’en sont étonné et ont demandé des explications à leurs enseignants : pourquoi ?

Nous n’avons jamais observé une minute de silence pour nos jeunes hommes morts en Afghanistan, et pourtant ils étaient Italiens et ont été tués pour servir leur pays, pour nous servir.

 

Auteur : Ida Magli

Source : http://voxnews.info/2013/10/10/ida-magli-italia-e-casa-nostra-noi-le-vere-vittime/

Traduction : Danielle Borer

2 commentaires

  1. Posté par Philippe le

    Merveilleux discours de bon sens et de pragmatisme….merci Ida Magli

  2. Posté par Judex le

    La première étape et la plus importante à passer avant d’entreprendre un plan de mesures radicales pour stopper cette invasion est d’abord de démanteler rapidement et radicalement l’UE. Tant que ce cauchemar totalitaire exercera des pressions sur les nations européenne elle ne pourront jamais défendre leurs frontières et leur cultures contre ses hordes barbares. Nous vivons en direct et impuissants les pages du livre prophétique du livre de Jean Raspail: « Le camps des saints » et je crains que le même et tragique épilogue nous attende: s’incliner et accepter cet invasion sans broncher ou mourir sous les balles des forces armées de nos propres gouvernements.

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